Moon watching us

POUR TROUVER UNE CREATURE

Coucou ! Je ne suis pas morte, allez au revoir ! Non je rigole :D alors franchement cette absence est a moitié justifiée, j'étais dans ma période second brevet blanc ( que j'ai complètement raté si vous vouliez savoir ) ensuite j'ai du préparer mon oral blanc d'Histoire Des Arts ( et la par contre j'ai assuré ). Attendez il y a un pervers de soixante ans qui me regarde... Ah non il vient de partir ! Ouf ! Oh un écureuil ! ( aka le chien dans là-haut ) il y a des jeunes qui s'embrassent dans le parc, je suis deeeeg ! Je croyais que le pervers était partit mais en fait non, c'était pour mieux se rapprocher de moi ! Ah le vicieux ! Il est sur le banc à côté de moi ! Je devais accrocher à mon cou une pancarte disant : je pue. Peut être que ça le fera fuir ! J'espère que vous allez bien ! Moi oui ça va, sachez que ce chapitre est pleins de rebondissement ! L'action commence MAINTENANT ! C'est le deuxième chapitre le plus long que j'ai écrit pour cette fiction, le premiere étant de 8500 et quelque mots, celui ci en faisait 7025 ce matin avant que je finisse le chapitre bref je vous emmerde la ?
Bon chap'
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Stiles se réveilla tranquillement, bercé par les bras du mec derrière lui. C'était qui déjà le mec derrière lui ? Ah ouais le poilu du samedi soir... Pourquoi avait il rajouté "du samedi soir" après ? Bonne question. Parce que du samedi soir ça fait pensé à la fièvre du samedi soir. Sauf que la fièvre c'est péjoratif. Donc quelque qui a la fièvre est forcément malade. Donc si l'homme derrière lui est malade et qu'il a de la fièvre, il va forcément lui refiler la maladie. Hors de question !
- Qui est dans mon lit ?
- Stiles tais toi et dors.
Le bras se resserra autour de sa taille.
- Mais qui est la ?
- Bah c'est moi... répondit l'homme blasé
- Mais c'est qui "moi" ? Gémit l'humain
- Bon Stiles tu commences pas hein ! Des le matin tu fais chier le monde ! Tu m'étonnes que j'ai la fièvre.
- Nooon ! T'as la fièvre ?
- Bah oui, pas de quoi être fière, c'est ta faute...
- Je suis génial !
Le loup se releva et le regarda droit dans les yeux.
- Euh... Non. Pas tant que ça.
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- Coucou Scott.
Alison s'approcha de son petit ami et lui déposa un bisou sur le bout du nez.
- Coucou répondit-iI d'une voix un peu moins assurée et plus endormit
- T'as toujours en tète la mort de Peter ?
Il se releva d'un coup.
- Je vais l'écarteler et lui planter un pique d'acupuncture dans chaque veine qui parcourt son corps ( oui vous avez le droit de grimacer )
- Scott ?
- Oui bébé ?
- Qu'est ce qu'il m'a prit de t'en reparler si tôt le matin ?
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Melissa se réveilla. D'habitude, même le dimanche elle se réveillait tôt, la faute à ses horaires de travail absolument infâme. Mais aujourd'hui elle s'était réveillée tard. Enfin tard, c'était un bien grand mot sachant qu'elle s'était levée à dix heures. Elle s'était réveillée à cette heure, non pas parce qu'elle était fatiguée mais qu'elle avait envi de prendre du temps pour elle. Non, ne rigolez pas, Peter ne lui avait pas fait implanter un virus de la flemme attitude mais iI lui avait en quelque sorte ouvert les yeux. Ça sonnait un peu film américain quand elle se répétait cette phrase mais elle s'en fichait, elle était contente. Pas heureuse, mais contente.
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Lydia se réveilla en sursaut. Elle avait fait un affreux rêve, et encore maintenant elle se sentait épiée. Elle alla regarder par la fenêtre, juste pour vérifier. Il fallait qu'elle en parle à Deaton. Elle descendit prendre son petit déjeuner. Alors qu'elle se servait du lait elle sentit la présence, toujours derrière elle. Ça l'oppressait. Elle savait qu'il n'y avait rien, son esprit lui jouait des tours, voilà tout. Elle se retourna. Elle lâcha son verre de lait.
- Tu pourrais prévenir quand tu rentres dans une pièce !
- Qu'est ce qu'il y a ? Je suis toujours ta mère, dans cette maison il n'y a que toi et moi.
- Oui et bien tu m'as fais peur !
Lydia prit une balayette et une éponge et entreprit de nettoyer les débris de verres. Dix minutes plus tard, alors qu'elle se maquillait (1) et vérifiait son maquillage dans son miroir de poche, elle aperçut une présence derrière elle. N'en pouvant plus elle se retourna. Sa respiration se coupa.
- Où êtes vous ! Qui êtes vous cria-t'elle
Elle pleurait presque. C'était frustrant merde ! Elle se sentait regardée, épiée !
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Stiles se décida enfin à sortir du lit. II eu presque la frayeur de sa vie lorsqu'il vit une intruse dans sa cuisine. Il entendait presque d'ici la voix de Derek : "À la base c'est ma cuisine..."
Il chassa cette idée de son esprit.
- Mais vous êtes qui ?
-... Euh... Marie ?
- Ah oui ? Ah ouii ! Marie comme Marie le pipi... Je comprends pas pourquoi les gens appellent les autres Marie... Qu'est ce que je raconte ?
- Euh... Tu veux du pain grillé ? Je me suis permise de préparer le petit dej'...
- Oui oui !
Ils s'assirent à la table et commencèrent à parler de tout et de rien.
- Dit, commença Marie, j'pensais en toucher deux mots à Deaton.
- A propos de...?
- De ce que j'ai vu hier...
- Mais pourquoi ? demanda Stiles, suspicieux, il ne manquait plus que Marie soit au courants pour toutes les créatures magiques qui peuplent Beacon Hills
- Et bien, peut-être que c'était un animal malade, il faudrait faire quelque chose...
- Ah ! S'exclama l'humain, heureux qu'elle ne connaisse rien aux créatures magiques, oui tu as raison, tu devrais lui en parler !
- Ou... Peut-être que c'est une bête qui vient d'un cirque, exemple un loup-
- Auquel cas il t'aurais déjà mangé... se dépêcha-t'il de dire, ça ne peut pas être un loup, sinon tu ne serais plus la.
- Hey dis donc, siffla Marie, c'est que tu t'y connais en lycanthropie ! Enfin j'imagine...
- Euh...
Derek arriva.
- Vous parlez de quoi ?
- De lycanthropie s'empressa de répondre Marie, Stiles était justement en train de me dire à quel point ça le passionnait !
- Ah oui ? C'est nouveau ça Stiles ?
Le loup-garou avait appuyer sur chacune des syllabes. Comment ? Derek était en colère ? Non pas du tout.
- Explique moi tout alors Stiles !
- Euh... Alors les lycanthrope plus souvent appelé loup-garou sont des êtres mi-homme, mi- ?
- Loup ! S'écria Marie comme une petite folle
- Très bien, ils sont souvent grognon, de mauvaise humeur, surtout le matin
- Euh... Stiles ? Demanda Marie, tu les tiens d'où ces informations ?
- Ma bibliothèque personnelle. Donc comme je le disais, ils sont souvent de très mauvais poils, oui vous pouvez rire à mon vieux jeu de mot (2) ils adorent les pancakes, ceci était une blague et ont une force surhumaine, bien plus de force que celle qu'ose affiche notre cher et tendre Derek !
Derek grogna. Débilité quand tu nous tiens.
- Reprenons notre sérieux, les lycanthropes sont géniaux mais attirent tout le temps des problèmes.
S'ensuivit un regard noir entre les deux hommes de la pièce.
- Non mais c'est vrai quoi ! Non Marie je n'ai pas d'exemple mais c'est la véritable vrai réalité.
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Lydia gara sa voiture sur le parking encore vide du cabinet de vétérinaire. Si vous vous posiez la question, oui Deaton était surement le seul vétérinaire qui ouvrait son cabinet un dimanche matin. Calmez vos ardeurs il ne s'agissait que d'un dimanche par mois.
Elle entra dans le bâtiment et appela le médecin.
- Deaton ? Deaaaton !!
- Je suis dans le cabinet répondit-il d'une voix un peu étouffée
Elle le rejoignit et découvrit l'homme observant un chien inerte.
- Que lui ai-t'il arrivé ?
- A qui ?
- Au chien !
- Oh ! Je ne sais pas trop... II est très essoufflée, II a du courir toute la nuit. En plus avec cette pluie qui est tombée, ça n'a pas du arranger sa situation.
- Le pauvre souffla-t'elle
Elle tendit sa main en direction du chien et sentit immédiatement sa peur. A force de vivre avec des loup-garous elle avait apprit à reconnaître ces signes là. Elle recula donc sa main de peur de le stresser encore plus.
- Il a un maître ?
- Non, en tout cas, s'il en a un celui-ci n'a pas prit la peine de l'emmener se faire tatouer.
- C'est un très beau chien en tout cas.
- Mmh acquiesça le vétérinaire au fait pourquoi est ce que tu venais ?
- Ah oui ! Depuis ce matin j'ai l'impression d'être observée.
- Peut être un lien avec ta banshee ?
- Je ne sais pas, je venais de faire un cauchemar et depuis que je me suis réveillée, j'ai l'impression qu'il y a quelqu'un-
- Où quelque chose !
- Oui ou quelque chose qui me regarde, m'observe si tu préfères.
- Un cauchemar dis-tu...
- Oui...
- De quelle sorte ?
- Et bien, c'était dans la forêt. Je n'étais pas personnage de l'histoire mais il y avait une espèce de cerf face à un énorme loup noir.
- Un chien comme... Celui ci ? demanda-t'il en le pointant du doigt
- Non non pas du tout, il était énorme, peut être la taille et la carrure d'un... Frigo ? Un gros frigo ! En plus il avait les yeux rouges.
Deaton vérifia que les yeux du chiens n'étais pas rouges pour être sur.
- Et donc ils étaient face à face et le "cerf" avait peur, il tremblait littéralement. Je me suis réveillée au moment même où le loup se jetait sur le pauvre animal avec la gueule grande ouverte. Depuis ce cauchemar, je me sens observée.
- C'est bizarre, tu avais déjà fait des cauchemars de ce type ?
Lydia fit non de la tête.
- Bon écoute, ne le prends pas mal mais si ça se trouve c'est juste que tu psychotes un peu...
- Oui j'imagine, avec toutes ses histoires, je suis devenue folle. Il le fallait bien un jour.
- Lydia ce n'est pas ce que je sous-entendais
- Oui, oui bon au revoir j'ai quelque chose a faire.
Elle quitta le bâtiment au pas de course. En réalité elle n'avait absolument rien a faire. Elle voulait juste partir car le terrain devenait glissant. Elle savait très bien qu'elle ne pouvait pas ignorer toutes ses voix et donc que ça allait forcément altérer sa santé mentale un jour ou l'autre. Si d'une part ça ne l'a dérangeait pas qu'elle dise qu'elle ai des problèmes, d'une autre le fait que ce soit ses amis qui commençaient à s'en rendre compte la dérangeait un peu plus.
Elle devait prendre l'air.
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- Stiles ?
- Oui Derek ?
- Hier c'était la pleine lune...
- Mmh...
Le loup attendit que cette information face son petit bonhomme de chemin jusqu'au cerveau de Stiles.
- Attend, quoi ?
- Hier c'était la pleine lune...
- QQQQUUUOOOIIII !! Mais Scott ! Et les chasseurs ! Et les problèmes ? Ils arrivent quand ?
Il se retourna.
- On ne sait jamais que les problèmes soient derrière moi...
- Marie est derrière toi, fit le loup en rigolant
Il se re-retourna. Manifestement il n'avait pas vu la jeune fille et essaya de se justifier :
- Non attend, je voulais pas dire ça ! Enfin si mais comme je savais pas que t'étais là. Ce n'était pas contre toi mais contre les problèmes. Enfin j'espère pour toi que tu n'es pas un problème. Non parce que sinon grand et méchant Derek va devoir s'en occuper et ce ne sera pas gentil.
- J'imagine chuchota le lycanthrope
- Si t'es un problème il fait le dire, on te fera moins mal...
- Stiles ! s'insurgea son compagnon, arrête de dire des débilités blessantes et dit quelque chose de bien et d'intéressant !
- Faute avouée, à moitié pardonnée...?
- Enfin ce qu'il veut dire intervint l'alpha c'est qu'il ne pensait pas à toi lorsqu'il s'est retourné. C'était une image.
- Oui oui ne vous inquiétez pas, répondit-elle avec un grand sourire, j'avais bien compris ! Mais pourquoi la pleine lune pourrait vous apporter des problèmes ?
Derek tilta. Marie n'était pas au courant à propos des loup-garous.
- La merde souffla Stiles qui en était arrivé à la même conclusion
- Et bien... Commença Derek
- En fait, le coupa l'adolescent, Derek déteste aller a la mer, sauf que lors de la pleine lune, la mer est plus agitée tu vois et donc c'est plus dangereux d'aller se baigner... Et Derek adore ça.
- Vous faites des bains de minuit c'est ça ?
- Euh... Oui... Mais il s'amuse à me couler.
Derek piqua un far devant ces accusations complètement erronées. Il ne dit rien cependant, sachant très bien que lui, n'aurait pas fait mieux.
- Mais pourquoi juste pour les pleines lunes ?
- Et bien je te dis, la mer est plus agitée.
- Mais elle l'est tout le temps... En plus la mer la plus proche de Beacon Hills est à trois heures et demi !
- Et bien on décide juste de n'y aller que le jour de la pleine lune.
Derek se dit qu'elle commençait à sérieusement à lui taper sur le système. Pourquoi ne pouvait elle pas croire que tous les soirs de pleine lune ils faisaient trois heures et demi de routes juste pour aller faire un bain de minuit ? Parce que ce n'étais pas vrai... Et pas croyable de toute façon.
- Et pourquoi vous avez pensé à Scott ?
- Il vient souvent avec nous ! déclara d'une voix précipitée l'alpha
- Et c'est quoi cette histoire de chasseur ?
- Euh... Le truc c'est qu'on a des amis qui sont chasseurs et qui nous rejoignent des fois. Le problème c'est qu'on leur avait dit qu'on venait et finalement comme on a oublié on va surement se faire taper sur les doigts.
- Mais avec tout ce monde, vous n'allez pas me faire croire que vous nagez vraiment...
- Qu'est ce que tu veux qu'on fasse... ?
- Je ne sais pas. Votre truc, ce genre de réunion c'est un peu comme une secte non ? Vous pratiquez des jeux sexuels ? C'est dangereux... Surtout à côté de la mer...
Si le chef de meute avait eu quelque chose dans la bouche il l'aurait surement recraché de suite.
- Pourquoi tu dis ça Marie ? C'est nul ton truc.
- Non, je ne sais pas ! Ne vous braquez pas c'était pour rigoler. Si c'est vrai ce n'est pas gra-
- Mais on ne fait pas partir d'une secte sexuelle !! grogna Derek
- D'accord d'accord !
- Marie j'voulais te demander quelque chose... commença le loup
- Oui ?
- Pourquoi est ce que tu as les oreilles pointus ?
- Derek ! s'insurgea le plus jeune
- Ce n'est qu'une question, vu les formes, elle n'est surement pas née avec et j'ai du mal à croire que tu puisses faire de la chirurgie esthétique pour avoir des oreilles pointus.
- Tu te trompes, je suis née avec ces oreilles. Est ce que l'on pourrait changer de sujet, j'ai toujours eu des complexes a cause de ça...
- Oui bien sûr ! s'empressa de dire Stiles
Elle ment pensa Derek. Elle ment tellement mal que je me demande comment le grand détecteur de mensonge aka Stiles n'a pas pu remarquer. Enfin bon, pour le moment il n'avait pas de problème... Pas avant cinq minutes tout du moins, donc il se dit qu'il n'avait rien à dire sur les mensonges de Marie.
- J'ai un match de Lacrosse ce soir ! Scott vient de me prévenir. Du coup il faut que j'aille a l'entraînement.
- Je t'accompagne ! s'exclama la jeune femme
Le loup grogna. Même si Stiles acceptait leur relation et qu'il n'avait aucun doute sur sa loyauté, celle de Marie était négociable.
L'hyper-actif perçu très bien le grognement de son compagnon et aucun doute non plus que Marie l'avait entendu aussi.
- Il ne va rien m'arriver, dit il en direction de l'alpha, je ne vais faire que jouer sur le terrain.
- Oui oui, c'est pour ça que je m'inquiétais !
Stiles rigola. Mon œil oui !
- Le coach m'a donné rendez-vous en avance...
- C'est à dire ?
- Bah tu sais... Comme j'suis nul... Et que j'ai loupé des entraînements je vais m'entraîner un peu juste avec lui !
- Ce matin ?
- Ce matin.
- Et bien allez y, j'irai parler à Scott à propos de... De notre bain de minuit d'hier soir.
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Peter ne savait pas trop quoi penser. La soirée qu'il avait passé hier en compagnie de Melissa l'avait émerveillé. Il voulait la revoir ! Mais le problème c'est qu'il ne voulait pas avoir l'air insistant et qu'elle croit qu'il l'a pourchassait. Ou pire, qu'elle croit qu'il était un pervers. En plus, Scott risquait de faire une drôle de tête si il commençait à faire sortir Melissa tous les week-end.
Melissa avait eu l'air d'apprécier, elle aussi, la soirée mais il espérait juste qu'il n'était plus considéré comme un connard potentiel. Comme ce connard qu'il avait été quelques mois plus tôt.
Il avait un plan. Il voulait regagner la confiance de Melissa. Évidemment après ce qu'il avait fait, ça n'allait pas arriver en un claquement de doigt. Mais avec de la persévérance et de l'amour surtout, ça lui semblait possible. A moins que...
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- Scott ! Tu ne voudrais pas nuire au bonheur de ta mère, si ?
- Mais tu ne vois pas ? Elle est obnubilée par cet homme ! C'est une sirène ce mec !Il attire tout ce qui bouge ! Elle ne voit pas ce qui saute aux yeux du monde entier !
- C'est l'amour...
- Non ! Moi je t'aime vraiment ! Ce n'est pas pour autant que je vais dire que tu as des goûts musicaux incroyable !
- Eh ! Je croyais que tu aimais ce que j'écoute...
- Non... Personne n'aime ton "Clovis 322" (ndrl chapitre 29 )
- Parce que personne n'écoute !
- Justement ! Demande toi pourquoi...
- Je ne sais pas si tu dis ça sur le coup de la colère ou non mais je trouve ça extrêmement blessant. Pourquoi tu ne m'a jamais rien dit ?
- Parce que je t'aime !
- Non, si tu m'aimais tu ne me le dirais pas en criant !
- Tu veux que je cris plus fort que toi c'est ça !!
- NOON !
- T'ES SÛUUR !?
Les deux amoureux se regardèrent un instant. Ils éclatèrent de rire. C'était débile et enfantin (3).
Scott s'approcha de sa petite amie et la prit dans ses bras. Il l'embrassa tendrement. Entre deux baisers, Alison dit :
- Par contre j'oublie pas ce que tu as dis à propos de mes musiques.
Et elle l'embrassa.
Ils furent interrompus par les vibrations du téléphone de Scott.
- Merde c'est Derek ! Il veut me parler...
- Tu crois que c'est encore des emmerdes en perspectives ?
- J'imagine.
Quelques minutes plus tard, Derek se garait devant la maison du bêta.
- Salut Derek !
- J'ai une question.
Bonjour l'entrée...
- Oui ? dit-il, tendu
- Hier on était quel jour ?
- Quoi ? C'est ça ta question ? Tu pouvais me la poser par message. Ou juste regarder sur ton agenda électronique...
- Tu ne t'es pas transformé donc ?
- Ah je, ah bah... Ah bah non...
Il y eut un silence.
- Qu'est ce qu'il s'est passé ?
- À toi de me le dire...
- Je ne sais pas ! Hier je ne sentais même pas la présence de la lune ! Même quand j'arrive à me contrôler, je l'a sens essayant de prendre le dessus sur mon corps. Là, rien. Je ne peux pas te donner des informations. Je ne comprends pas plus que toi.
- Mmh... C'est bien ce dont je me doutais. Je ne l'ai pas ressenti non plus... Enfin, beaucoup moins que d'habitude. Je passe voir Peter et ensuite Deaton. J'ai à leur parler.
- Je viens avec toi !
Alison intervint :
- Scott... Je ne pense pas que ce soit un bonne idée !
- Pourquoi ? demanda l'alpha
- Parce que je suis un loup-garou aussi et que j'ai le droit de savoir ce qu'il se passe.
- Mh d'accord !
Scott n'osa pas dire que c'est parce qu'il voulait voir Peter. Voir s'il avait des remords ou des regrets par rapport à la soirée d'hier.
- Allons y alors !
Après avoir déposé un rapide baiser à sa chère et tendre, Scott accompagna Derek chez Peter.
Alison resta quelques instants dans la chambre de son petit ami. Elle regardait ses photos. Elles étaient presque toutes avec Stiles. Il y en avait une avec sa mère et une de son père. Celle-ci ressemblait à une photo d'identité. Peut être l'avait il volé dans la boîte spéciale de sa mère ? La boite spéciale c'était une boite quelconque qui contenait tous les objets ayant un lien avec son ancien mari. Même s'il elle n'avait pas eu que des heureux moments avec lui, elle n'avait pas supporté de devoir se séparer de ses babioles alors elle les avait gardé. Bien sur elle ne les regardait jamais... À ce que disait Scott.
Elle sortit de la chambre et entreprit de trouver Melissa pour lui dire au revoir.
- Bonjour... dit elle avec politesse quand elle l'a vit attablé à la table du salon penche sur des papiers
- Oh bonjour Alison ! Comment vas-tu ?
- Bien bien !
- Je suis désolée, Scott n'est pas là... Il vient de partir en coup de vent-
- Oh je sais il avait à parler à quelqu'un. J'étais avec lui à l'instant.
- Avec lui ?
- Oui... J'ai dormi avec lui en fait...
- Il aurait pu me prévenir, j'aurai préparer quelque chose à manger. J'espère que vous vous protégez quand même ?
- Euh... Là n'est pas la question. Vous saviez que votre fils détestait Peter ?
- Quoi... Que- comment ?
- Si je suis venue hier c'est parce qu'il voulait me parler de lui.
- Attend... Mais je sais qu'il le déteste ! Tu m'embrouilles, écoute j'ai déjà eu une histoire avec Peter. Si Scott le déteste c'est parce qu'il m'a laissé tomber pendant une soirée.
- Je pense qu'il le déteste en parti pour cela mais aussi parce qu'il a déjà eu des affaires avec lui...
- C'est à dire ?
- Disons qu'ils se sont déjà battu parce que Peter a essayé de faire du mal a quelqu'un.
Melissa commençait à tirer une drôle de tête. C'était déjà dur de voir que les deux personnes qui l'a rendait plus heureuse se détestaient, mais alors savoir qu'ils pourraient ne plus jamais s'entendre.
- Il faut qu'ils se voient !
- Vous n'avez donc pas écouté ce que je viens de vous dire !
- Si ! Justement ! Si ils se confrontent-
- Soit tout va mieux !
- Oui oui !
- Soit il n'y a plus aucun espoir !
- Oui... Tu sais quoi ? Il faudrait que je donne rendez-vous à Peter... Il faudrait qu'ils se rencontrent ! Pour moi, ils vont forcément faire une effort.
- Si vous le dites...
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- Alors ? demanda Marie
- Alors quoi ? répondit Stiles
- Vous et Derek ça fait longtemps ?
- Ça va...
- Tu me dis si je suis trop intrusive dans ta vie privée mais... Tu sais quand on s'échangeait des lettres tu me décrivais ton père comme étant un père aimant mais tellement protecteur qu'il ne voudrait pas que tu ailles vivre chez quelqu'un avant d'être sur que c'est le bon.
- Ça l'est ! Ça l'est ! Mon père est 100 % d'accord avec ma relation !
L'écoles cent regarda Marie en coin de l'œil. Il l'a vit lui jeter un regard interrogateur.
- Bon okey ! 99 % !
- Sinon le Lacrosse ça se passe bien ? Tu m'avais dis que tu débrouillais pas mal.
- J'ai dis ça ? Ah ah laisse moi rire ! Non, je t'ai dis que j'en faisais et tu as imaginé toute seule que j'en faisais bien !
Marie pouffa.
- C'est quand même drôle qu'on se soit croisé de cet manière ! Si quelqu'un écrivait notre histoire sur wattpad, les gens crieraient surement "Cliché !"
- Tant mieux qu'on soit pas sur wattpad alors !
Stiles gara sa Jeep devant le stade. Ils sortirent... Enfin, ils eurent le temps de poser un pied sur le sol.
- Kiki ! T'as emmené une poulette ! C'est pas en lui montrant tes merveilleux talents en Lacrosse que tu vas l'attirer dans ton lit !
Marie parut étonnée.
- Je suis désolée qu'il parle comme ça de toi ! Tu n'es pas un morceau de poulet ! Enfin si tu en étais un, tu serais super cher-
- Parce que que je suis bonne ?
- Non, parce que tu es rare...
L'hyper actif se dirigea vers les vestiaires. La jeune fille, quand à elle, alla dans les tribunes. Le coach l'a rejoint un peu plus tard.
- Hey dit, le p'tit Kiki, tu vas pas te le faire hein ?
- Euh... Non.
Elle paraissait déconcertée devant la franchise de ses phrases.
- Non parce que j'l'aime bien mon Kiki, je dis pas que t'es un fille méchante mais je pense pas que tu sois son genre de fille.
- Il est en couple, je ne suis pas une briseuse de couple.
- Tant mieux, s'il arrivait que tu ne sois ne serait-ce qu'une seconde en couple avec lui... Il réfléchit longuement, les yeux dans le vide.
- Monsieur ?
- Avec qui sort-il ?
Elle commença à parler mais fut couverte par les cris de Stiles sortant des vestiaires.
- Ça faisait longtemps coach ! C'est pas en lui montrant vos incroyables talent de dragueur que vous allez l'attirer dans votre lit !
- Trois tours de terrain Kiki !
L'entraînement pu commencer une dizaine de minutes plus tard.
Comme d'habitude il n'échappa pas aux remarques telles que :
- Il est trop tard pour te sauver. Par contre moi je peux encore me purifier pour m'éviter de devenir comme toi.
- Comment fais tu pour avoir aussi peu de réaction devant une balle ?
- Même ma grand mère fait mieux que toi !
- Kiki ! Si la balle te passe sous le nez, il faut aller la récupérer, pas me regarder !
Le coachs de prit la tête dans les mains. Qu allait-il faire de lui ? Il ne pouvait pas le renvoyer, il avait forcément besoin de vingt-huit joueurs. Toutes les autres personnes qui avaient demander ce poste était encore plus nul que Kiki. Pour dire le niveau de ce lycée !
- Marie, trouve un truc pour le motiver, j'ai plus d'idée.
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Peter entendit quelqu'un toquer à sa porte d'entrée. A son flair il voyait deux personnes. Il reconnaissait bien évidemment son neveu, bien que son odeur soit caché par celle de son compagnon humain. Il avait l'impression de connaître la deuxième personne mais son odorat ne captait que la tension (4).
Il descendit pour ouvrir à ses deux invités, il découvrit sans surprise l'alpha puis, vit Scott. Il ne s'y attendait pas à celle là. Il ne savait que trop penser de sa leur relation. Avant ce n'était pas l'amour fou mais ils se supportaient. Quand à maintenant...
- Cher neveu ! Cher... Il hésita... Bêta de mon neveu ! Que me vaut ce plaisir !
- On a des problèmes.
- On en a toujours. Soit explicite s'il te plait, quels genre de problèmes ?
- De graves problèmes.
- Ça nous aide beaucoup. Une tasse de thé ?
Ils s'assirent en silence. Scott n'avait rien dit depuis leur arrivé, quoi qu'il ai un peu grincé des dents devant l'hésitation de Peter.
- Peter commença Derek après avoir bu un gorgée du contenu de sa tasse
- Derek.
- La lune ne s'est pas montrée très présente hier soir.
- Ah oui ? Hier c'était la pleine lune ? Je n'avais pas remarqué...
Et pour cause ! Il baissa la tête. Il savait que Scott allait répliquer d'une seconde à l'autre. Il attendit mais rien ne se passa. Alors il leva la tête et regarda le bêta occupé à se ronger les ongles. Bon, pas de problème pour le moment.
- la question c'est "comment se fait-il qu'on ai rien ressenti ?"
- Peut être la drogue proposa Scott qui avait l'air de se réveiller d'une longue nuit de sommeil, bah oui, continua-t'il, peut être que nous avons été drogué.
- C'est plausible dit Peter, quand on est drogué on ne ressent pas les mêmes choses de la même manière.
- Vous oubliez qu'on ne peut pas être drogué, on ne ressent ni les effets de la drogue ni ceux de l'alcool.
- Avec de l'aconit peut être ?
- Ce n'est pas possible ! tonna l'alpha, nous ne pouvons pas avoir été TOUS drogués !
- Pourquoi pas ?
- Et par qui ? Hein ! T'as maman peut être ?
Derek faisait franchement peur à voir. Les deux hommes restant se regardèrent malgré la colère qui les animait : Derek ne s'énervait jamais. En tout cas quand il le faisait c'était soit quand Stiles parlait trop et encore... Ou quand il apprenait quelque chose qui le dérangeait. Comment ? Derek ne supporterait pas de ne pas avoir la main mise sur toute la situation ?
- C'était juste une proposition. Personne n'en sait plus que les autres sur ce qu'il vient de se passer.
- Peut être Deaton ? proposa Peter
- On voulait passer le voir répondit Derek plus calmement
- Pourquoi être venu me voir avant ? Je ne suis qu'un Oméga, et encore, je suis inoffensif.
- Tu restes un loup-garou. Et puis, ne sait-on jamais, peut-être que le problème venait de nous. Maintenant que nous savons que ce n'est pas le cas, au revoir.
Sans plus de cérémonie, il partirent aussi vite qu'ils étaient venu.