Chapitre IX - La première fois

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Bonjour à tous, 

Effectivement, le chapitre précèdent était médiocre. Je vous l'accorde, c'était compliqué pour moi de ne pas tout écrire en un seul et unique chapitre. Car je voulais quand même laisser un peu de suspense et pouvoir terminer ce passage sur un deuxième chapitre. 

Je ne sais pas si beaucoup ont remarqué le changement de comportement de Elisabeth, sur sa cousine un eu bizarre dont on ne connait pas réellement les intentions.

Une chose est sûr, c'est que nous allons les découvrir lors de ce chapitre. Nous allons également découvrir une nouvelle facette d'Elisabeth.

Bonne lecture.

(:

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Un bruit me réveillait, je me redressais regardant autour avant de voir Brahms sortir par les murs de ma chambre

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Un bruit me réveillait, je me redressais regardant autour avant de voir Brahms sortir par les murs de ma chambre. Il devait être aux alentours de 3 heures du matin, je frottais mes yeux alors qu'il se couchait à mes côtés se tournant face à moi. Il me regardait dans les yeux, silencieux.

"Je suis désolée" Je murmurais, pinçant mes lèvres.

Il secouait la tête avant que sa grande mains ne remonte à mon visage pour caresser ma joue, ses yeux vert observant mon visage avec attention. Il s'avait que j'avais ce mauvais pressentiment, que quelque chose de mauvais ce tramait mais je n'arrivais pas à mettre le doigts dessus. Il se penchait pour déposer un doux baisé sur mes lèvres pulpeuse.

"Elle vient d'aller se coucher, je l'ai surprise entrain de fouiller dans la maison." avouait-il en murmurant.

"Elle t'a vu ?" chuchotais-je.

Il secouait la tête. "J'étais derrière les murs, Betty."

J'hochais la tête avant de me nicher au sein de son étreinte, posant ma tête contre ses pectoraux. Son odeur d'amande m'avait manqué, je glissais mes mains froide sous le tissus de son haut avant de les poser dans son dos. Je le sentais frissonner sous mon touché, ses bras s'enroulaient autour de mes épaules. Il était si calme et avait une aura si reposante, je nichais mon visage contre ses muscles, humant son odeur. Je sentais ses muscles se détendre, il me rappelait la musique de SZA "Big Boy". Quelque chose en lui me rassurait, je ne savais pas vraiment ce que c'était. Était-ce le fait qu'il soit capable de tuer des gens ? De tuer pour moi ? Par ce qu'il m'aimait ? J'avais clairement le syndrome de Stockholm. En quelque sorte, il ne m'avait pas agressé moi. "Brahms."

Il répondit par un simple "Hm", pour me faire comprendre qu'il m'écoutait.

"J'ai vraiment un mauvais pressentiment avec elle..." Je soupirais contre son torse musclé. 

Brahms Heelshire / I'll be goodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant