Chapitre 2:La dure réalité

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*scène du réveil de Clary a l'infirmerie de l'Institut en média *
J'émergeai lentement du sommeil, ouvrant lentement les paupières. La première chose que je vis fus l'éclat aveuglant des rayons du soleil qui pénétraient par les énormes fenêtres. En regardant autour de moi, je remarquai les petits lits de camps placés côte à côte, la plupart dépourvu de matelas. J'en conclue donc que je me trouvais dans une infirmerie. Le décor semblait ancien, avec ses murs recouvert de bois polis et des énormes armoires en chênes servant de rangement a divers équipement médicaux. Lorsque je posais de nouveau de regard sur les murs, je la remarquai. La rune angélique était gravé un peu partout dans la salle, signe que je me trouvais très probablement dans un établissement appartenant a des Nephilims.
- Pas possible... murmurai-je pour moi même.
C'est alors qu'une voix féminine retentit.
-Il était temps! s'exclama la voix, qui, en l'occurrence, appartenait à Isabelle Lightwood, qui s'avançait dans la pièce. Ont a tous cru que tu n'y survivrais pas, ajouta-t-elle.
Je hurlai-plus surprise qu'effrayer- et je foutu le camp en bas du lit, me retrouvant à quartes pattes par terre. Je me relevai précipitamment en époussetant mes vêtements et regardais Isabelle, complètement médusée. Quand à elle, elle me fixai d'un regard neutre.
-Quoi t'as jamais vu une autre fille avant? me demanda-t-elle sarcastiquement.
Mais je n'étais pas du tout de cette humeur en ce moment. Alors qu'elle faisait de nouveau un pas vers moi, je l'arrêtai.
-N'avance surtout pas! lui criai-je, paniquée. (Je me pris la tête entre les mains et tirai sur mes cheveux) C'est pas possible, c'est juste pas possible! me répétai-je inlassablement.
Je pointai un doigt dans sa direction en hurlant :
- Tu ne peux pas être réelle, je dois rêver, c'est pas possible!
Je grondai, frustrée de ne rien comprendre. Comment cela pouvait-il même se produire? Des chasseurs d'ombres, ça n'existe pas! Et pourtant, voilà que je me retrouvai devant l'un d'eux. Alors que ces personnages était issue de l'imaginaire. Alors que mon cerveau tournait a toute vitesse à toute vitesse, essayant de trouver une explication plausible, j'entendis une autre voix s'exclamer :
-Mais qu'est-ce qui se passe ici?
Alec venait d'entrer par les grandes portes de l'infirmerie et partit rejoindre sa sœur. Exaspérée plus que jamais, je hurlai:
-Ah non, pas toi en plus! Je dois sûrement hallucinée.
Il décida de m'ignorer et s'adressa directement à sa sœur:
-Mais qu'est-ce qu'elle raconte?
Isabelle haussa les épaules.
-Aucune idée. (Elle me regarda avant de continuer) Je crois qu'elle ne réalise pas trop ce qui se passe. Mais elle semble connaître une bonne partie de la vérité à ce que je voit.
-Et bein évidemment que je sais! Vous êtes juste des trucs que j'hallucine, la voilà la putain de vérité!
Ils se tournèrent vers moi, tout les deux affichant un air qui disait "o.k. elle est vraiment folle."
-Je crois qu'elle disjoncte là, déclara Alec.
-C'est clair, renchérit Isabelle.
Je les regardait, légèrement vexée, avant de déclarer:
-Je ne sais pas pour vous, mais je crois qui si vous rencontriez un zombie pour la première fois, vous auriez la même réaction que la mienne.
-Les zombies, ça n'existe pas, déclara Isabelle.
-Bein, justement! m'exclamai-je.
Elle me regarda, l'air aussi perdue que je l'étais, avant que Jace n'entre à son tour dans la pièce.
-Qui a parlé de zombies? demanda ce dernier.
Exaspérée par toute cette présence surnaturelle, je levai les bras au ciel avant de demander;
-Eille, c'est tu moi là, ou vous vous léguer tous contre moi pour me rendre folle? Parce que si c'est ça, c'est vraiment pas marrant votre truc. J'aimerais mieux tomber face a face avec un vampire qui brillent au soleil comme dans Twilight.
Jace me regarda fixement, ce qui me gênait.
-Quoi? grognai-je.
Il se tourna vers ses compagnons.
-Et bien, on peux dire qu'elle a le sens de l'humour cette gamine.
-Pauvre con...murmurai-je.
-Et du culot en plus de ça! s'exclama Jace. Comment tu viens de m'appeler gamine.
-Pauvre con, t'as bien entendu,Jonathan, dis-je lentement en insistant sur son vrai prénom.
D'ailleurs, ce dernier en resta bouche bée.
-Je déteste qu'on m'appelle "gamine", ajoutai-je a son intention. C'est pas parce que j'ai seulement 14 ans que j'en suis une pour autant.
Le chasseur d'ombres haussa un sourcil mais ne dit rien. Sentant poindre un début de migraine, je déclarai:
-Ok, je crois que j'ai vraiment besoin de changer d'air.
Sans écouter leurs protestations, je me précipitait hors de la pièce en me précipitant sur les portes. En sortant, j'accrochai Magnus qui se trouvait justement là. Je me retournais et nous nous regardâmes quelques secondes. Ses yeux étincelèrent soudain, tel ceux d'un chat et je m'enfuis en courant dans les couloirs alors que je l'entendis murmurer mon prénom.
* * *
Je regardais mon frère.
-Tu as une idée de ce qui vient de ce passée?
Alec haussa les épaules avant de déclarer :
-Aucune idée, mais nous devons savoir d'où cette terrestre tiens ses infos sur nous. Elle en sait déjà beaucoup trop a mon goût.
J'acquiescai au parole de l'on frère. Nous devons savoir comment a telle pu obtenir de telle infos sur nos origines.
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Bon, un chapitre de plus! désolée de ne pas pu l'or souvent pas l'école finit jeudi prochain et je dois absolument étudié pour mes examens finaux. Comme plusieurs autres d'ailleurs.

Alors, vous en pensez quoi de mon perçage de plomb version "terrestre"?
Avez vous devinez qui parlait dans le dernier paragraphe? cette fois, je vous laisse devinez seul! je vous dirai toutes le réponses a la fin de la fiction, a moins que ça mêle tout le monde. À bientôt et oublier pas de commenter :)

La cité des ténèbres:une autre finOù les histoires vivent. Découvrez maintenant