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Moi : Alors c'est aujourd'hui, le grand départ ?

J'étais entourée de cartons, ma chambre est devenu un grand bazar..

Irma : Oui c'est aujourd'hui, mais sache que tu est toujours la bienvenue ici.. quoi qu'il arrive.

Moi: Hmm.. j'ai aucune envie de m'en aller.

Cette maison est remplie de souvenirs, tout les moments passés ici resterons parmi les meilleurs que j'ai eu durant toute mon existence.

J'avais aucune volonté de partir.

Irma: Tu dois te bâtir seule à présent, rester ici ne pourra t'aider à avancer. Et je te rappelle que se sont les ordres de ton père..

Moi: Mais, il est mort.

Papa est mort, et même en étant dans une tombe de quatre coudé sur deux, il réussi à me mener la vie dure.

Irma: Malgré cela, les ordres sont les ordres et tu sais que je resterais toujours fidèle à sa.

Moi: Oui je sais..

Au moins j'ai essayer.

Habiter dans un appartement en ville ne me fascinais pas plus que sa.
Je compte vivre l'indépendance et c'est quelques choses de tout nouveau pour moi.

Irma: Aller, ton oncle t'attend dehors.

La douceur d'Irma est la première chose qui va me causer beaucoup de manque.

Tonton Sofiane.. un des frères de mon père qui a fais son apparition dans ma vie une ou deux fois.

Quelqu'un en qui je vais remettre ma vie, mais que je ne connaît à peine.

Sofiane: Tu ressemble à ta mère.

Moi: J'en sais rien, elle est morte.

Il a levé les yeux au ciel suite à ma remarque.

Sofiane: Et le même caractère que ton père..

Je suis monté en voiture après avoir charger mes affaires et j'ai fais mes adieux à Irma.

Le chemin étais assez long, Irma habitait en campagne tandis que mon nouveau lieu de résidence est en centre ville.

Vu l'embarras qui pesais sur nous, mon oncle a donc décidée de casser le silence.

Sofiane: Je vais pas être là souvent donc c'est quelqu'un qui va s'occuper de toi à ma place quand je ne serais pas là.. j'ai beaucoup d'affaires en ce moment.

Moi: Ouais le même discours que papa en gros.. c'est bon je connaît tout sa.

Sofiane: Ton père c'était un bon, alors parle pas de lui comme ci c'était le plus gros des enfoiré.

Moi: Oui tu m'en dira tant.. assez bon pour abandonner sa fille en maison de campagne chez une inconnue sans lui rendre visite ou bien même prendre de ses nouvelles par exemple ?

Sofiane: Tu peux pas comprendre parce que personne ne t'a jamais dis pourquoi les choses se sont déroulées de cette manière.

Moi: Remarque ! C'est mieux qu'il ai pas voulu endosser son rôle de « père » parce que sans cette décision, jamais je n'aurais eu la vie que j'ai pu mener jusque la.

Sofiane: Tu comprendra.. - Quelqu'un que je connaît s'occupera de toi. Et tu le connaît aussi.

Moi: Qui ?

Sofiane: Son père étais un très bon ami à ton père, il à quelques années de plus que toi. Tu passais du temps avec lui quand t'étais petite.

Moi: Sa répond toujours pas à ma question.

Quand les armes parlent, les lois se taisent. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant