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Aujourd'hui je me suis réveiller tôt.
La nuit a été longue et j'ai pris du temps à m'endormir, je suis pas encore habitué à mon nouveau cocon mdr.

Je vais prendre une douche histoire de me rafraîchir un peu, la journée va être robuste alors après la douche je suis partie prendre un déjeuner.

Avec tout ce que je vais achetée, j'vais avoir besoin de gros bras et d'aide.. donc j'ai bien retenue ce que Sofiane m'a dis et je l'appelle.

Moi: Allô ?

Sofiane: Bien installée ?

Moi: Mouais tranquille, dis moi, aujourd'hui j'ai plusieurs achats à faire et j'ai besoin de quelqu'un qui pourrais potentiellement m'accompagner, tu pourrais venir avec moi ou pas ?

J'étais super enthousiaste mdrr.

Sofiane: Amina ?

Moi: Mmh ?

Sofiane: J'suis à Amsterdam.

Moi: Non non.. Me fais pas pas appeler Zayed je t'en supplie !

Haaaa, fin de l'enthousiasme en une demi seconde.

Sofiane: Pourquoi sa s'est mal passer ? Tu veux que je lui parle ?

Moi: Nan c'est pas sa ! C'est juste qu'il est froid, aigris..

Sofiane: Tranquille tu va t'y faire, y'a pas de mal a supporter Zayed, et puis quand t'étais petite tu le kiffais.

Moi: Oui, mais les temps ont changé la ! C'était y'a au moins une décennie..

Sofiane: T'es prête ou pas ?

Moi: Bah oui, je m'habille en mème pas une minute.

Sofiane: Ok je lui dis de venir chez toi maintenant, à plus.

Moi: Quoi ?

Il à raccrocher, MERDE !

J'avais pas trop envie de me coltiner Zayed.. c'est pas a son encontre mais c'est juste que j'ai l'impression que je vais passer une mauvaise journée en sa compagnie.
Lui et moi ont a pas l'air d'être sur les même longueurs d'ondes donc bon, l'ambiance sera a son comble.

Les minutes passes et j'entend des clefs ouvrir la porte de chez moi.

Je me retourne et je vois Zayed entrer.

Il avait les clefs de mon appart ? Mdr décidément..

Moi: Désolée de t'avoir déranger.. si j'avais su je me serais débrouiller et j'aurais même pas pris la peine d'appeler Sofiane.

Il me jette un coup d'œil.

Zayed: J'suis garer en bas dans le parking de la résidence, je t'attend dans la voiture.

Il referme la porte derrière lui et s'en va.

Je me met un peu d'Houd, meilleur parfum ! Et je descend en prenant le soin d'éteindre les lumières.

Quand les armes parlent, les lois se taisent. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant