Mon cou enchaîné étroitement,
Collier d'argent que tu serres
Jusqu'à ce que je n'ai plus d'air,
Jusqu'aux marques, jusqu'à sang.
Je fais abstraction en les cachant.
À mes dépends je te protège.
De rouge carmin tu tâches mon beige
Saisissant le gris à mon cou qui pend.
Éreintée, je tombe à genoux,
Faible et prise de toux.
Tes actes pour moi sont illisibles.
Les dégâts ne sont pas invisibles,
Mais ma peur ne me laisse pas le choix,
L'amour est la seule chose que je vois.
Goûte donc à ta victoire,
La saveur obscène du pouvoir.
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𝐉𝐎𝐔𝐑 𝐌𝐀𝐔𝐒𝐒𝐀𝐃𝐄
Non-FictionÀ toi qui habite dans chaque cellule de mon corps, qui s'immisce dans mon quotidien, qui me ramène à des choses que je veux effacer. Quand bien même tu as empoché ce qui ne t'appartenait pas, je veux te livrer de ma personne. Je te hurle ma haine, m...