Colocataire en colère {Killua ×Reader}

Chapitre 32

Cocaine on the table liquor pourin', don't give a damn.
Dude your girlfriend is a groupie, she just tryna get in
Sayin "I'm with a band"

Rockstar ☆

Bref je carbure je carbure !

Juste, vous auriez des recommandations de Killua×reader je suis à court et ceux que je trouve ne me plaise pas...

Merci !

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Pdv Killua :

On était collé contre le mur du local.

[Tp] se rongeait le peu d'ongles qui lui restait certainement parce que la peur d'être retrouvé la terrifié.

Et je pouvais complètement comprendre.

On vient de s'embrasser... Bordel de merde c'est bien réel !

Peut-être que je ne réalisais toujours pas, qu'il y a de cela même pas quelques minutes, mes lèvres goûtaient les siennes.

Sucré et chaude.

Parfaite.

Je l'observa, encore une fois.

Ses longs cheveux soyeux, ses beaux yeux bleus, son petit nez, ses belles lèvres encore gonflés par nos baisers.

Ses immenses cernes.

Moi : [Tp] ? Tu ne dors pas ?

Elle me regarda, droit dans les yeux, me procurant un long frisson.

[Tp] : Si ne t'en fais pas, je dors bien, très bien même.

Si je ne la connaissais pas comme maintenant, je l'aurais crus.

Et elle est une très bonne menteuse. Je le sais.

Alors je comprends, où se cache la tromperie dans ses yeux.

Caché derrière un voile, descendu au plus profond d'elle.

Elle ne nous ment pas qu'à nous. Elle se mens à elle-même.

Pourquoi ?

Pour se protéger de la vérité.

Elle a du se le répéter tellement de fois. Je vais bien. Non [Tp], tu as toujours eus besoins d'aide. Et maintenant je suis là, je vais t'aider, je te le promet.

Ma main se posa sur sa cuisse, instinctivement. Normalement. Comme si tout était parfaitement normal.

Comme si nous étions sur notre canapé, à regarder la télévision, ou à manger des pizzas.

Encore une fois, ses pupilles se vissèrent dans les miennes.

Elle se rapprocha, lentement et silencieusement. Jusqu'à que seulement quelques millimètres ne séparant nos deux corps.

Ma main remonta, puis redescendis, exerçant des mouvements sur sa cuisse.

Elle observait mes gestes. Puis ses fins doigts se posèrent délicatement sur les miens.

Elle s'y accrochait, me guidant.

De lents gestes sur le long de sa jambe, de son genou, au pli de sa jupe, et inversement.

Je sentais sa peau douce sous mes doigts.

Sa tête reposait sur mon épaule, elle avait la bouche entrouverte et les paupières fermées.