Colocataire en colère {Killua ×Reader}

Chapitre 21

Pdv [Tp] :

On est rentré tout les deux en panique dans l'appartement.

Moi : Récapitulons, admettons que Lilyana se soit faite enlever par les gars de... de L'arène, cela voudrait dire qu'ils m'ont retrouvé, et que son enlèvement et une provocation pour que je vienne la chercher ! Et ils vont aussi penser que je suis super conne et qu je vais tomber dans le piège sauf que j'ai compris, mais c'est exactement ce que je vais faire parce que je veux pas laisser mon amie à la main de ces monstres et...

Killua : Commence déjà par te calmer, assied toi et mange un truc tu parles trop vite.

Je fit ce qu'il me dit eg calma ma respiration. Le stresse me montait à la tête formant un nœud dans mon ventre. J'avais très peur pour Lilyana, et je craignais que ces horribles personnes lui ai fait du mal.

Killua m'aidait à prendre sur moi pour ne pas que je pique une crise, et a vrai dire, il devait avoir du mal, j'étais très nerveuse et je remuais dans touts les sens prête à bondir sur la moindre chose suspecte. Même mon pauvre chat y est passé, je le plains en cette instant car il a faillit mourir pour la au moins deuxième fois depuis qu'il vit avec nous.

La nuit était déjà tombé depuis un moment et l'obscurité reignait dans toute la ville. Et je m'étais assise sur le canapé regardant par la fenêtre. Je ne trouvais rien de mieux à faire que de me ronger les ongles jusqu'au sang, Killua m'avait arrêté déjà plusieurs fois, mais cela ne servait à rien et je continuais à me les arracher pour essayer de diminuer mon stress.

La pression m'avait même fait perdre tout appétit, je n'arrivais pas à avaler ne serait-ce qu'un seul grain de riz.

Mon colocataire me retira pour la énième fois les doigts de la bouche. Les gouttes du liquide rouge s'échappait du bout de mes doigts mais je n'en ressentais pas la moindre douleur.

Aussitôt je reporta mon cinquième doigt toujours intact à ma bouche mais avec un réflexe inattendu de sa part. Killua me l'attrapa et la tira vers lui m'emmenant moi-même sur lui.

J'étais à présent totalement allongé sur son torse et le fixait droit dans les yeux.

Killua : Arrête toi à la fin ou bien tu finiras sans tes mains.

Moi : D'accord...

Je baissa le regard légèrement honteuse de min comportement. Mais contre toute attente, mon ami me releva le menton de ses fins doigts pâle et m'embrassa le front. Cette simple action pouvant paraître normal pour quiconque, était comme recevoir tout l'or du monde pour moi. Je sentis le rouge me montait au joues et ce fût la même chose pour mon colocataire. Sa présence était asser rassurante. Surtout pour le danger qui se présentait à moi. C'était plus d'une vie en jeux qui se pariaient en cette instant même.

Killua : Je suis sûre qu'elle va bien, puis, si ta théorie est bonne, ils s'en serviront comme monnaie d'échange, ce qui fait que revenir à la tuer, serait perdre un moyen supplémentaire de te récupérer.

Moi : Oui et non... ils l'ont certainement pris pour qu eje revienne, mais ils n'hésiteront pas à la tuer pour me briser encore plus... ce sont des monstres, ils sont bien pires que moi.

Killua : Comme tu le dis si bien, on a tous des secrets, même moi, et je connais aussi des gens affreux que je déteste, et pourtant, même si on fait tout pour s'en éloigner, tout nous ramène toujours à eux, car ils sont malheureusement rentré dans nos vies...

Je serra du plus fort que mes petits bras me le pouvaient mon ami et fermant les yeux la tête posée sur lui. Il en profita pour passer sa main dans mes cheveux et caresser mon crâne.