haine

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finalement je pensais que tu avais compris, tu t'es excusé d'avoir agis comme une merde avec moi et je t'ai cru parce que je te croyais toujours mais tu as recommencé, une nouvelle fille, tu lui prouve ton affection en public en plus. je suis jalouse. je n'avais le droit à toi que quelques heures, quelques nuits, en secret. pourquoi elle? elle n'a rien fait pour toi. voilà la rage à pris le dessus. je pensais que notre histoire allait s'estomper en douceur et tranquillité mais ça n'est pas le cas, je suis énervée et tout mon corps hurle de t'avoir connu, tu es devenu un regret alors que rien que deux jours en arrière tu étais ma seule raison d'avancer. est-ce le point de non retour? est-ce que je ne suis plus capable de dissimuler ma colère et toute la rancoeur que j'éprouve à ton égard ? je te promets que je n'ai jamais rien souhaité qui pourrait te porter préjudice mais c'est trop pour moi cette fois, j'espère qu'elle va t'utiliser comme tu l'as fait avec moi et que tu tomberas amoureux d'elle, pardonne moi de vouloir que dans ta chute tu te brûles les ailes pour que quand tu ramperas à mes pieds, aux pieds de celle qui ne t'a jamais trahi, je puisses me moquer de toi et te tourner le dos. j'ai l'envie de détruire tout ce qui me relie à toi et de crier sur tous les toits que tu as gâché une partie de moi mais c'est pas vrai et tu le sais, je n'arrive pas à te détester complètement, le dégoût que j'ai pour toi c'est pour me protéger et entourer de papier de soie mes larmes qui n'appartiennent qu'à toi. je me noie dans les paroles de musiques qui me font penser à toi, énonçant un peu plus les regrets que le temps passé à engendrer.
en espérant qu'elle te rende heureux, si elle y arrive, si elle accomplie la mission que je m'étais fixé il y a maintenant deux année.
je t'ai fait lire ces pensées que j'ai, celle qui restent cachées en secret, au fond de mes notes et qui m'apaisent lorsque mon esprit se brouille et que la seule solution est de cracher mes sentiments au fil des lignes. ce brin de moi qui t'a fait pleurer tu m'as dis, j'ai eu de la peine de t'en avoir causé mais j'avais besoin que tu lises ce que mon coeur criait.
j'ai ironisé «  j'ai hésité à en faire un livre », « fais-le » tu as répondu.
et si je le fais vraiment ? c'est malsain de partager mes plus profondes pensées à des inconnus ? ou serait-ce libérateur? je n'ai pas envie que les gens sache qui est la personne à qui j'écris, je ne souhaite pas que tu ai une mauvaise image aux yeux des gens.
amour encore présent.

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