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Selem aleykoum

On ce dirige au grec quand ....

{...}

Je suis juste choqué et déçu de cette scène

J'ai vue mon père avec une femme et un enfant

Bien sûr que dans le fond je le savais qui mener une autre vie mais le voir en face de moi mon cœur c'est émietté en mille morceaux.

Ahlem là aussi vue et pour vous dire qu'elle allait foncé sur lui mais je la retiens.

Je voulais le laisser mener sa vie tout seul ce n'est plus mon problème

Je l'es considérer comme une personne que j'aimais mais à partir de maintenant sa restera juste mon géniteur point .

Ahlem : viens tout de suite on va lui défoncé sa grand mère

Moi : laisse le

Ahlem : mais Anissa j'espère que tu vois ce que je vois là

Moi : oui mais laisse le profiter

Ahlem : et ta mère ? Anas ?

Moi : je pense le dire à Anas mais pas ma mère je veux pas qu'elle souffre

Ahlem : non mais c'est quoi ce vieux fdp

Moi : laisse le allah s'en chargera

Ahlem : genre ta un beau frère et une belle mère

Je n'est pas répondu car sa me fait trop de peine sah

Moi : Bon aller viens on va manger

Nous rentrons au grec quand sobhan'allah y'avait Anas et Abdel au grec

Anas : Venez l'es bagra

Ahlem : celui qui dit qu'il est l'es

Anas : commence pas

Ahlem : ok chef

Abdel : y'a quoi Anissa ? T'es pas contente de nous voir ou y'a heja

Ahlem me regarde elle m'insiste a leur dire

Anas : parle y'a zebi

Moi : juste promets moi que tu pête pas une crise stp

Anas : InshAllah

Moi : promets le moi

Anas : putain parle Anissa

Moi : J'ai vue papa avec une femme et un enfant

Anas : QUOI

Moi : Calme toi

Il prend sa canette qui l'a jette par terre ensuite il a pris la chaise de derrière puis la balancer a l'autre bout du grec

L'oncle de Farid vient nous voir

LDF = l'oncle de Farid

LDF : Anas tu fais quoi là

Anas : je vais casser ma tête

Abdel : Calme toi Anas déraille pas

Anas : Oh il est où ce fils de timpe

Il pousse Abdel puis il cours dehors

Je lui aurais jamais dû lui dire

Nous courrons derrière lui

Miskina Ahlem elle était déterminée

Abdel était juste derrière Anas alors que nous on est bien loin

La Chronique d'Anissa : Mais je l'aimerais à Jamais Où les histoires vivent. Découvrez maintenant