La Chronique d'Anissa : Mais je l'aimerais à Jamais

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Selem aleykoum

Je me retourne et vois ....

{...}

Adel , je sais pas ce qu'il veut mais j'ai vraiment pas le temps de discuter

Adel : Selem Anissa tranquille ?

Moi : Aleykoum el Selem, oui cv el Hamdoulilah

Adel : Hamdoulilah je voulais te demander on va graille ensemble ?

Moi : heu j'ai pas le temp Adel en plus j'ai rien dit à ma mère et elle m'attend je vais aller lui acheter du pain

Adel : oklm mais je t'accompagne

Moi : fait ce que tu veux

J'avance et lui il était juste à côté de moi

Adel : pourquoi tu fait la distante comme ça

Moi : je fais pas la distante tu raconte quoi

Adel : Ba avec Abdel tu souris ta des bons del avec lui et quand c moi tu me calcule même pas un peux

Moi : vous pouvez arrêter de toujours mettre Abdel dans la conversation putain vous zehef c'est un truc de ouf

Adel : pourquoi tu me fait la nerveuse là et pelo moi je te dis tu me parles pas comme ça

Moi : tu crois tu me fait peur en plus pfff

Adel : W'allah que si je respecte pas ton frère je t'aurais donner une gifle pas deux

Moi : bref passe le selem à ta mère et laisse moi tranquille

Je l'entends parler derrière sa barbe mais je dis rien et je par direction la boulangerie.

Je vois des garçons de l'âge de mon frère faire ce qu'on doit pas faire, je baisse direct la tête qu'Allah les guides .

Avec les choses quand on dit « Ouais mais on a que sa pour vivre » ou «  faut sauver la miff de la misère » sa marche pas avec moi car y'a d'autre façon de gagner de l'argent.

Bref j'arrive à la boulangerie et je vois plusieurs copine de ma mère que je salut même la boulangère c'est une pote de ma mère car c'est une tunisienne mdr

Moi : Selem tata j'aimerais 2 baguette stp

La boulangère : Selem benti comment elle va ta mère *en coupant l'es baguette en 2 *

Moi : Hamdoulilah

Elle me passe les baguettes et je pars en la saluent.

...

J'arrive à la cité et je vois Adel venir vers moi en furie avec la bouche ouverte.

Qu est-ce qu'il c'est passé ?

Adel : VA TE FAIRE FOUTRE TOI ET TON CHIEN DE LA CASSE DIT LUI BIEN QU'IL AILLENT CE FAIRE ENCULÉ

Il reprend sa route

J'ai rien compris à ce qu'il me dit jusqu'à que Farid vient me voir ( vous vous rappeler celui qui a aider ma mère à ramener ses valise jusqu'à la maison)

Farid : Ta rater Anissa tu vois Abdel il a cognée Adel

Putain je le sentais cette histoire arrivé

Moi : pourquoi ?

Farid : w'allah que je sais pas demande lui à Abdel

La sonnerie de son téléphone retentit

Farid : Bon je te laisse Anissa ma mère m'appelle passe le selem à ta mère

Moi : Ok je te laisse