questions sans réponses//Fanfiction la passeuse de mots

chapitre 1: réflexions

Après ces mots de la part d'Aidan: " Nous verrons, Passeuse de mots, nous verrons. Prépare-toi, oh oui, prépare-toi bien, il reste encore plusieurs parties à jouer.", je ne me sent pas bien, un orage se prépare dans ma tête. Voyant ma détresse, mes compagnons accourent.

-ça va, qu'est-ce qui t'arrives ? ? me demande Killian passant un bras sous mes épaules.

-Je...ne me sent...pas bien. achevais-je en m'écroulant dans ses bras

Rien d'autre ne comptait autant que de permettre à mes jambes de se reposer.

-apportez-la dans son lit, je vais chercher quelque chose. ordonne Reina en partant

-je m'en occupe. tranche Killian en me prenant dans ses bras sans laisser le temp à Abel et à Alric d'en placer une.

Abandonnant les autres là, le voleur m'emmène dans la maison. A la dérobée, je profite d'être contre son torse pour m'imprégner de son odeur. Il me dépose dans mon lit puis s'assied à coté de moi

-tout va bien Amour ?

pour toute réponse, je pose ma tête sur ses genoux et ferme les yeux lorsqu'il effleure mes cheveux.

C'est à ce moment que Reina revient avec une de ses fioles, elle s'apprête à faire une remarque mais le regard de Killian l'en dissuade. il me relève en gardant une main dans mon dos pour me soutenir. Reina me tends la fiole violette, comme mes yeux songeais-je. Je l'avale en fermant les yeux pour mieux savourer son gout: miel, myrtille et autre chose, je ne saurait dire quoi.

Quand je rouvre les yeux, Reina s'est éclipsée.

-je ne voudrais pas t'arracher au plaisir d'admirer le légendaire Killian Nightbringer, mais il faut faut dormir, Rosenwald. me dit mon guide en me regardant avec un sourire en coin.

-tu as raison, les plaisirs ne peuvent jamais durer. lui répondis-je en rentrant dans son jeu.

Je me met à l'aise dans mon lit tandis que Killian se rapproche de moi et dépose un baiser sur mon front. Des petits doigts chauds se baladent sur ma colonne vertébrale.

-bonne nuit Een valaan

- Qui te dit que je vais dormir ? lui répondis-je avec malice