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Le point de vue de Valentina :

"Et si je te le montrais à la place ?" Il a murmuré et s'est tourné vers mes yeux.

Choc. C'est le seul mot que je peux utiliser pour décrire ce que je ressens en ce moment. Et aussi la faim.

"Que veux-tu dire ?" J'ai joué à l'idiot. Bien sur, j'ai compris ce qu'il voulait dire.

J'aime la façon dont mon esprit fonctionne.

Vincent a posé son majeur sur mon menton et l'a soulevé pour qu'il soit plus proche de son visage.

Il ne m'a pas répondu. Il a juste souri.

J'ai décider de continué cet acte stupide et j'ai fait semblant d'avoir peur.

"Alors tu vas me torturer et personne n'entendra mes cris pour m'aider ?"

"Ce n'est pas le genre de cris que je veux entendre sortir de toi, tesoro." Dit-il en libérant mon menton de son emprise et en plaçant sa main près de ma tête.

J'ai paniqué alors j'ai dit la première chose qui m'est venue à l'esprit.

"Mais tu es gay."

Je me déteste.

Ses yeux s'écarquillèrent sous le choc et lui souris maladroitement.

"Comment ça, je suis gay ? D'où ça vient ?" M'a-t-il demandé en me regardant surpris.

"Je-euh. Je pense que tu as un visage gay. Oui. C'est ça. Tu as un visage gay." Je lui ai dit et ses lèvres se sont entrouvertes sous le choc.

Ils ont commencé à sourir mais avant que je puisse le voir sourire, il s'est levé et s'est retourné.

Le verrai-je un jour sourire ?

Il se dirigea vers son bureau et s'assit sur la chaise devant les fenêtres.

Je me levai du canapé et m'approchais de lui.

"Ne pense pas que j'ai un problème avec le fait que tu sois gay. L'amour c'est l'amour. Je te soutiens."

"Comment cette pensée vous est-elle même sortit de l'esprit ?"

Il m'a regardé sévèrement et je lui ai souri.

"Je-euh. J'ai en quelque sorte parlé a Leonardo." Je lui ai dit et il a soupiré.

"Je vais tuer ce putain de salaud. Valentina, je ne suis pas gay." Il m'a dit lentement et j'ai hoché la tête.

Je suis allé parlé mais il m'a interrompu.

"Tu sais ce que j'aime ?" Il m'a demandé.

"Je m'en fiche." Je lui ai dit mais dès que j'ai réalisé ce que je disais, je me suis couvert la bouche avec mes mains.

Il décida de faire comme s'il ne l'avait jamais entendu et continua.

"J'aime torturer et assassiné les gens. Ce que j'aime encore plus, c'est quand je les laisse dans un cachot froid pendant des jours, mourrant de faim là-dedans, sans savoir quand ils mourront. C'est ce que j'aime. Voir leur sang partout sur le sol et leur cris sont réduit au silence par le ruban adhésif sur leur bouche. J'aime la façon dont je leur donne un avant-goût de l'enfer avant qu'ils puissent y entrer pour l'éternité."

Que diable.

Il s'est levé de son bureau et s'est approché de moi. J'ai reculé d'un pas et mon visage cachait une lueur de peur.

"Tu mens, n'est ce pas ?" Je lui ai demandé en espérant qu'il plaisantait.

"Bien sur que oui. Ce n'est pas ce que j'aime le plus. Ce que j'aime le plus, ce sont leur réaction. J'aime le fait que les gens soient terrifié même en entendant mon nom. J'aime le fait que tout le monde ait peur de C'est comme ça que je sais que je peux faire ce que je veux, quand je veux. Le simple fait de savoir la peur que je provoque me donne la chair de poule."

His Guilty Pleasure de @xxvasxx 🔄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant