Chapitre 26 : Une flamme. Un amour.

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J'enfile ma chemise de nuit. Il fait tellement froid dehors qu'il y a des buées sur les fenêtre et pourtant moi, j'ai chaud comme si c'était l'été. Je sais que je pourrais pas dormir la nuit, alors je décide de faire un tour pour potentiellement calmer cette chaleur.

J'ouvre doucement la porte qui grince un peu, je vérifie que personne se trouve dans les couloirs et c'est parfait ! Je peux me balader seule sans en avoir besoin de parler.

Je retiens quand même les couloirs que je prends, je n'ai pas envie de me perdre... J'arrête ma marche un instant devant une immense fenêtre par rapport au autres pour contempler la lune, elle brille si fort dans la nuit, je suis comme hypnotisée par sa lumière douce et faible. Et dire que je suis un Lunien. Mes pouvoirs viennent de cette lune et non d'autres. Quelque chose me picote mes doigts, je viens de me rendre compte que ma main est posée sur la fenêtre, je la retire et ressens toujours ses picotements.

Alors que je réfléchissais à ce contact, cette maudite chaleur est de retour et m'enveloppe tout le corps.

Merde

Je regarde à ma droite. Non. À ma gauche ? Grave erreur. Il est là. Je peux le voir avec la faible lumière de la lune, je peux remarquer qu'il a l'air essoufflé. Émir a une chemise de
blanche deboutonner je ne peux pas loupé ses abdos cacher et un patalon bordeaux ses cheveux qui sont plus en bataille que d'habitude. Est-ce qu'il ressent la même chaleur ? Peu importe, je dois partir et je pourrais respirer.

Je fis un pas en arrière et le brun me dit :

- Tu le ressens aussi.

Il avait dit comme si ça répondait à ses pensées.

Je ne dis rien.

Alors que j'étais sur le point de partir, par pur maladresse qui ne m'arrive jamais. Je tombe par mon propre pied ! À une vitesse étonnant, Maël...Émir ? M'attrape mon coude et je me redresse.

- Myrabelle. Dit-il lentement en me forçant le voir

Un frissons me parcours le corps, Maël m'avait dit mon prénom tant de fois avant sa...disparition mais cette fois-ci c'est plus intense et profond.

- Lâche moi.

Ma demande était un soufle. Ma respiration avait légèrement accéléré à cause sa beauté envoûtant : il me dépasse d'une tête, ses cheveux brun mi-longs qui touche presque ses épaules robuste, sa peau un peu bronzer, ses yeux brun presque rouge me détail attentivement et pour finir ses lèvres en forme d'Arc, qui je regarde un peu trop longtemps.


- S'il te plaît...

Au lieu de me lâcher et me laisser partir, le brun m'attire vers lui, enroule son bras fermement autour de ma taille et avec son autre main il carresse ma joue. Doucement avec son pouce, l'homme effleure ma lèvre inférieure avec désir. Je suis comme piégé par cette situation et mes sentiments étrange pour lui, mon cerveau dit de partir, mais tout mon corps veut rester près de lui.

- Non...je ne veux pas. Je ne peux pas.

Nos corps se collent. Son visage est si proche du mien. Son soufle fouette mon visage, j'entend son cœur et sa respiration s'accélèrent. Je crois que chez moi aussi. Ses yeux examinent chaque trait de mon visage et je le fais aussi, d'ailleurs, je ne sais pas pourquoi ce sentiment que je ressens pour lui apparaît soudainement.

Les pages de mon histoire, T.1 : Le Grand MageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant