Chapitre 1

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 On se lance dans une fanfiction dans laquelle où je ne sais pas avec qui (t/p) finira. On verra bien au fur et à mesure de l'écriture ;)

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Il m'arrivait parfois d'avoir ces pensées. Et si je détruisais le monde ? Si je détruisais tout ce qui existait, serais-je enfin en paix ?

Arrête, c'est mal.

J'essayais de stopper ses pensées néfastes, et j'y arrivais très bien.

Tout au long de mon enfance, j'avais apprit et comprit comment être avec les autres. Sourire quand il le fallait, pleurer, rire, s'énerver se plier. Tout ça bien sûr, avec l'aide précieuse de mes chers et adorés parents.

Pour ma mère, j'étais comme mon père, et pour lui je n'en sais rien. Il était partit à mes 5 ans.

Au final j'avais fini par être le souffre douleur de ma mère, je supportais, chaque critiques, coups, insultes.

Tout.

Je gardais tout en moi, sans montrer aux très peux amis que j'avais ce que je vivais.

Tout le monde voyait ma mère comme une sainte, une femme battue qui avait finie seule, avec un enfant.


Je subissais chaque jour d'être née.

- Pourquoi je t'ai gardé avec moi suppôt de Satan !

- Pourquoi tu vies ?

- Tu devrais vendre ton cul au moins tu me servirais à quelque chose.

Je subissais chaque jour d'être en vie.


Mais, je me rassurais en me disant que c'était sûrement sa façon de m'aimer.


Et voilà qu'une dizaine d'année plus tard, elle trouva un nouveau mari et fit un nouveau enfant. Ma petite sœur que j'aimais plus que tout, Evie.

Je détestais mon « beau-père », mais grâce à lui je savais qu'elle genre de personne je ne voulais pas à mes côtés plus tard.


- Vas ranger le garage (t/p).

- Maman n'a pas demandé à toi de le faire ?

- Arrête de me faire chier et vas-y.

Je soupirais et me plia à lui, encore une fois, comme tout les jours.


- Il est 18h30 !

Je m'empressai de commencer à faire de quoi manger pour le repas du soir.

- (t/p), j'ai soif.

Je regardai Evie et lui fis un petit sourire avant de lui donner de quoi boire.

- Tu n'as pas demandé à papa ?

- Si, mais il m'a dit « demande à (t/p) ».


Je tournai la tête pour avoir une vue sur le salon afin de voir ce que mon beau-père faisait. Et comme à son habitude, il était avachit sur le canapé à regarder la télé.

- Gros po-

Je préférais ne pas terminer ma phrase, je ne voulais pas qu'Evie m'entende critiquer son père.

Le dîner était prêt, la table mise, ma mère était rentrer du travail elle n'avait plus qu'à mettre les pieds sous la table, mon beau-père aussi.


Geto Suguru x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant