Des mots anonymes

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Je me réveille les pieds dans le vide, j'ai fait un rêve assez particulier cette nuit. Je mets du temps à sortir de mon lit et quand j'y arrive enfin je me prend la porte de ma penderie en plein dans la tête.
La journée commence mal.
Je prends un t-shirt blanc et un pantalon vert dans mon armoire puis va chercher des chaussettes, je les enfile puis descend dans la cuisine.
Mon frère me salut d'un bonjour bien trop énergique pour l'heure actuelle tandis qu'Inosuke mange ses tartines.
Je me prépare vite fait des oeufs brouillés, puis part m'asseoir sur la table. Je manger en silence tout le long du petit déjeuner tandis que Genya et son sanglier d'ami bavardent joyeusement.

Je me lève de table, rentre dans la salle de bain pour me brosser les dents mais je remarque un pin's en forme de tornade accompagné d'un mot posé sur le lavabo, surpris je commence à lire le petit mot :

Cher Shinazugawa, j'espère que ce présent te plaira. J'ai eu un peu de mal à choisir mais tu m'a dit aimé la forme des tornades alors j'ai opté pour cette option. En espérant te voir aujourd'hui avec ce pin's. Toute mes salutations.

Le mot n'était pas signé, je me mit à paniquer légèrement. Comment cette personne avait pû rentrer dans ma salle de bain ?! Le mot date d'aujourd'hui car hier il n'y était pas.
Et puis je n'avait jamais dit à qui que ce soit que j'aimé la forme des tornades, même si c'était totalement vrai.
Je mit le pin's dans ma poche et me brossa les dents.
Je sortis enfin de chez moi après avoir mit mes chaussures et avoir salué ma mère.

Je rejoins Obanai et Mitsuri sur le chemin et Mitsuri continue à nous parler de la petite qu'elle babysitte.

-Elle a enfin fait ça déclaration est c'est réciproque ! Je suis si contente pour elle.

-Ouais c'est cool. Et toi Sanemi ça avance ta déclaration ? Me demande Obanai

-Déclaration de va te faire foutre !

-D'accord, d'accord.

Et nous continuons à marcher en discutant.
Arrivé au lycée je me dirige vers mon casier pour déposer mes affaires de l'après midi. Quand je l'ouvre je remarque un bout de papier au fond.
Je l'attrape et remarque que c'est une photo de moi. Plutôt confus je regarde la photo sous tout les angles, et quand je la tourne je trouve quelques mots écrits à l'encre rouge:

Je te tuerai Shinazugawa Sanemi, je te le promets. Tu ne pourras pas m'échapper temps que tu n'auras pas arrêté de voir Giyuu.

Je regarde le mot avec incompréhension. Je ne comprends pas. M'éloigner de Giyuu ? Et puis quoi encore ?!
Qui pourrait m'écrire ça ?!
En plus, il n'était pas là hier et il est assez tôt pour pas mal d'élèves.
Comment ça c'est retrouvé là ?
Et puis l'arrière plan de la photo, c'est ma chambre. Personne n'y est jamais entré.

Je panique légèrement, et décide d'aller en parler à Obanai et Mitsuri.

-Wow, tu as une vie palpitante toi, me dit Obanai.

-Il y a quelqu'un qui te stalke ?! S'écrit Mitsuri.

-Ça me fait un peu penser à un jeu vidéo, quelqu'un qui menace une autre personne pour que la personne s'éloigne d'une autre personne.  Fait remarquer Obanai.

-Yandere Simulator ? Demande Mitsuri.

-Oui.

-Mais- on est pas dans un jeu vidéo !

-Desolé Sanemi.

-Bon, moi je pense qu'il faudrait trouver qui c'est et essayé de voir ce qui se passe. Propose Mitsuri.

-Ouais, c'est une bonne idée. Merci les gars.

Je les remercie puis part sur le toit.

Sur le toit je vois Giyuu avec Sabito. Ils discutent et rient tous les deux.

Je m'approche d'eux à pas de loup, et pose ma main sur l'épaule de Giyuu, se qui le fait sursauter.

-Aah, oh, c'est juste toi. Tu vas bien ?
Demande Giyuu

-Oh, tiens tiens, bonjour Sanemi. Me dit d'un ton sec Sabito.

Je décide d'ignorer Sabito.

-Je vais bien, et toi Giyuu ?

-Je vais bien aussi. Tu as quel cours aujourd'hui ? Me répond Giyuu.

-Oh, j'ai sport, math, français et philo.
Et toi ?

-J'ai des math, de anglais, du français et des sciences de la vie et de la terre.

-Le prof de Svt s'est pas casser les deux jambes ?

-Oh, si mais on a un remplaçant. Me répond le jeune homme au cheveux corbeau.

-Ah, d'accord. Bon je te laisse j'ai cours. À bientôt !

-À bientôt Sanemi. Me répond Giyuu

-Au revoir Shinazugawa. Me dit sèchement Sabito.

Je me dirige vers ma salle de classe en repensant à la lettre dans mon casier.
Qui pourrait me menacer comme ça ?
Pourquoi cette personne voudrais que je m'éloigne de Giyuu ?

Qui sa pourrait être ?

Je soupir légèrement paniqué par la situation. Pourquoi ça m'arrive à moi ce genre de choses ?!

Je continue à me prendre la tête en entrant dans la salle de mathématique.

Je soupir et laisse la journée se passer.
Il ne sais pas passer grand chose avant 14 heure.

Je marche sous un toit, quand j'arrive juste sous le toit je vois un seau plein d'haltères s'écraser à quelques centimètres de moi.

Je commence à paniquer. C'était une tentative d'assassinat ?!

Ça peut pas être le hasard !

Je regarde sur le toit, espérant voir la personne qui à tenter de me lancer un seau d'haltères pour que je m'écrabouille. Je vois juste le mouvement d'un manteau vert et jaune.

Je fronce les sourcils et soupir.
Je continue ma journée en faisant attention de pas finir écrabouiller sous je ne sais quoi.

Je rentre chez moi après être allé chercher Genya. Je monte dans ma chambre, balance mon sac sur le sol près de mon bureau et me laisse tomber sur mon lit.

Je prend mon téléphone, flemme de faire mes devoirs. J'ouvre quelques applications, scroll un peu puis je me lève enfin pour m'installer à mon bureau. Je sors mon aquarelle et me mets à dessiner des paysages.

Je dessine, peint et trace pour relâcher le stress, la panique et les évènements de la journée.

Je n'entends pas ma mère m'appeler pour venir manger et termine de peindre avant de me coucher et m'endormir.
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Désolée ! Ça fait super longtemps qu'on a pas posté 😭!
C'est un poil compliqué avec la rentrée 😐

Le chapitre est plutôt un chapitre de "comblage"

Bref, j'espère que vous avez aimé quand même et j'espère que vous avez passé une bonne rentrée !
Pour ceux qui sont rentrés.

Bref on vous dis au revoir et on se revoit au chapitre suivant !

-1090 mots-

Le fantôme de l'académie Kimetsu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant