Vers sous la pluie

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À cette fille de la pluie et ses motsdans lesquels je me noie

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À cette fille de la pluie et ses mots
dans lesquels je me noie.


























I

J'ai voulu lui écrire une lettre à elle,
Mais en le faisant les mots m'ont manqué,
Voyez vous elle est d'un étonnant naturel,
Que de simple vers ne sauraient vous la conter.

Elle dit qu'elle aime les rimes alors,
Je lui en écrirai des centaines s'il le faut,
Mais devant ma feuille j'ai souvent tord,
Comme si elle avait ensorcelé mes mots.

Ainsi réduite au silence, mon coeur cri.
Ses sourires s'effacent, les ondes demeurent,
Fugaces souvenirs d'un instant infini,
Mais face à ses mots, pourquoi compter les heures ?

Elle écrit des âmes brisées, des monde innconus,
Comme s'il cela devenait facile parce qu'elle le dit.
L'océan à sa porté, elle plonge alors qu'il a plu,
Sombre songe d'été, c'était une fille de la pluie.

Elle avait l'eau au creux de son coeur,
Les bulles qui flottaient étaient sa source vitale.
Grande inspiration à qui donner ses pleurs,
Douce tentation, élément fondamental.

Mes poèmes déchirés finiront dans l'orage.
Les sentiments, tempête qu'on ne peut éviter,
Au creux de mon coeur faisaient rage,
Ô quelle délicate averse ponctuée de félicité.

Et un jour elle partira, c'est toujours comme ça.
Le soleil sourira, le sien déjà là-haut,
Je rêverais d'elle quand Séléné aura pitié de moi,
Mais j'aurais croisé la route d'une enfant de l'eau.
























Le soleil sourira, le sien déjà là-haut,Je rêverais d'elle quand Séléné aura pitié de moi,Mais j'aurais croisé la route d'une enfant de l'eau

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A cette fille de la pluie qui remplit les océans avec sa douceur.
























II

J'ai rêver d'un brin d'espoir,
Idiotie, je l'ai recroisé dans le noir,
Cette fille de la pluie qui sourit
Avec des rêves qui frôlent l'infini.
Elle m'a parlé de douceur, de bonheur,
Je l'écoutais avec candeur.
Elle disait qu'un "princesse" n'était rien
Mais le petit prince était déjà sien.
L'art s'anime sous ses mains,
Muse des jours sans lendemain,
Apollon l'écrit, Orphée la chante.

Je lui dédie la mer qui me hante,
Vagues qui s'échouent, chant incessant,
Cette fille de l'eau au cœur incandescent,
Ô passion brulante, rage d'envie,
Si seulement j'aimais un peu plus la pluie,
J'aurais pu la rejoindre, mais retour à la réalité,
Comment dire - Je suis là si jamais,
Quand les seuls mots échappés,
Riment tel un mauvais film bigarré.

Je crois que je l'aime bien
Cette femme à qui l'océan est sien,
Mais c'est tellement dur les proses
Pour exprimer ce genre de chose.
Promesse oubliée, laissez moi clamer
Mes mots maladroits et compliqué;
Je t'offre mes non qui valent des oui,
Mes - Je meurs sous ta plume, qui me tiennent en vie
Et comme je ne sais dire "Merci",
Je te dédie un peu de poésie.






































Promesse oubliée, laissez moi clamerMes mots maladroits et compliqué;Je t'offre mes non qui valent des oui,Mes - Je meurs sous ta plume, qui me tiennent en vieEt comme je ne sais dire "Merci",Je te dédie un peu de poésie

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C'est sans doute un peu maladroit, quelque peu étrange mais voilà, c'est pour toi.


IvresseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant