Chapitre 2

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    Après la mort des deux cadavres, j'étais renter dans la cuisine pour chercher des couteaux ou une arme pour me défendre mais Dan ne semblait toujours pas réagir depuis l'attaque. Je m'approchai de lui et plaça une main réconfortante dans son dos mais il me repoussa gentiment.  Mais comment lui en vouloir alors qu'on venait d'être attaquer par des morts et que moi, son frère avait tué deux personnes ou plutôt ancienne personnes. De plus, maintenant le monde qu'on connaissait ne serait plus jamais pareil mais je n'ai pas le choix d'avancer sinon on meurt et puis pour mon frère qui m'a toujours protéger jusqu'à maintenant, je dois être fort.

    Les larmes  apparaissait sur le visage de Dan alors je le pris dans mes bras et il blottit sa tête dans mon torse. Nous restâmes ainsi pendants longtemps mais la nuit allait bientôt arriver et nous devions partir. Après le moment de tendresse je devais retrouver  mon esprit pour continuer et je remontai dans ma chambre pour prendre nos sacs et les remplir de nourriture, d'eau et surtout d'arme. Les armes que nous avions prises étaient primaires pour l'instant. J'ai pris le manche du balai et enlevé la parti qui sert à nettoyer pour pouvoir attacher de chaque coté des couteaux et ainsi rester à distance des morts qui voudrait nous dévorer et mon frère lui à pris des couteaux mais il faudra vite lui trouver des armes qui l'éloigne des cadavres pais pour l'instant ceci fera très bien l'affaire. Dan voulu poser ses yo-yo mais je le retiens en lui disant de les garder, on ne sait jamais.  

    Il devait être vingt-deux heures quand nous sommes partis de la maison, nous devions agir vite si nous voulions encore avoir des chances de trouver des affaires pour se défendre car des le matin il serait trop tard. Dans notre ville nous n'avions pas de poste de police mais il y avait encore mieux, un magasin de chasse, où on pourrait trouver tous se qu'il nous faudrait. Nous sortîmes alors dans la rue et constations que toute la rue était plonger dans le noir alors il n'y avait pas que nous qui étions priver d'électricité, raison de plus de se dépêcher. Nous avions laissé les corps à la vue de tous dans le jardin car nous ne contions pas revenir, il fallait partir de la ville car la population de la ville jouait contre nous.

    Nous voila dans la rue et un cadavre déambulais  seul,  nous avions deux choix soit l'éliminer, soit l'éviter. La meilleur solution me parut de l'éviter car nous ne pouvons pas l'éliminer avec discrétion et nous ne savons pas combien ils sont. Très vite je visualisai le parcours que nous devions empreinte pour le contourner et fut surpris de temps qu'il nous faudrait pour arriver vers le magasin et même à ce moment je ne savais pas quoi faire mais peu importe maintenant nous parlions de survie. J'avançai vers la direction opposer  au cadavre quand je vis que trois en sortait dans cette direction, nous n'avions pas le choix mieux valait en combattre un que trois et avec chance les autres ne l'entendrais. Je vis signe à Dan de changer de direction. Mais de l'autre coté aussi de nouveaux ennemis étaient apparus. Je reculai alors nous devions retourner dans la maison pour se cacher le temps qu'il faudrait.

    Je refermai la porte le plus silencieusement possible mais  trop tard un cadavre nous avait vu je ne sais pas trop comment puisqu'on était dans le noir et seul la lune nous éclairait pour voir devant nous. Mais il nous avait vu et commença à courir vers la porte alors la discrétion je n'y pensais pas vraiment et referma d'un coup sec la porte qui dans le silence le plus totale et le plus anormal se fit entendre comme le hurlement d'un bébé dans une église. Par la fenêtre je vis tous les autres courir eux aussi cers nous mais heureusement il ne pourrait jamais casser la porte.

   Nous nous assîmes derrière la porte en attendant qu'ils partent. Aucun bruit contre la porte ce n'était pas normal et je tournai la tête vers mon frère qui lui aussi avait compris que quelque chose arrivait et nous fîmes un tour du réez-de chaussée sans rien voir. Heureux, nous nous posâmes sur le canapé pour se reposé car nous cœur avait battue des records tellement la pression était intense pour nous. D'un coup nous entendîmes, un bruit de verre et le chien hurler à la mort. Je pris mon armes et me leva directement jute à temps pour voir une dizaine de cadavre arrivé vers la fenêtre. Je compris alors qu'ils étaient passés par le velux de notre chambre et que ce n'était pas de simple mort, ils avaient une force incroyablement développer mais qu'aussi ils n'étaient pas dénuer d'intelligence ce qui compliquerait les choses. Mon temps de réflexion m'avait fait perdre de vue notre survie et déjà, les morts étaient den bas de l'escalier alors je vis un couteau se planter dans le crane d'un cadavre qui tomba à terre et emporta avec lui ses compagnon dans la dégringolâtes. Je pris mon bâton et le planta dans un premiers crane, je n'avais même pas regardé d'où venait le couteau car je savais que c'était mon frère. Enfin, il avait compris l'importance de survivre et de tuer ces saloperies sans remords. Ils en restaient encore huit, nous ne pouvions gagner contre le nombre je les enjambai pendant qu'ils étaient encore à terre. J'étais bientôt suivi par mon jumeau. Nous montâmes les escaliers et arrivâmes dans notre chambre. J'aidai mon frère à monté sur le toit par le velux. Mais j'entendais déjà les morts qui se levaient pour nous déguster.  

    Quand mon frère fut monté je pus voir par la porte le premier des zombies qui arrivait.  Je recula et un yo-yo frappa l'ennemi et s'enroula autour de la tête. Mon frère tira des toute ses forces et la tête se détacha  du corps. Mais la corde était inutilisable maintenant alors mon frère la lança le reste de son arme. Pendant ce répugnant spectacle j'avais fais une pile avec des affaires qui trainait dans ma chambre pour monter par le velux. A peine je fus monté qu'un autre arrivait et Dan détruisit la pile. Dans bas, ils ne pouvaient monter, alors avec mon bâton je les plantai tous un à un et vite une nouvelle pile de sept cadavre se fit. Essoufflés, nous nous posames sur les tuiles du toit. Mais à peine nous nous allongeâmes, j'entendis un son venant de l'extérieur. La maison était encerclée et les morts montaient grâce aux plantes qui étaient disposés le long du mur ; Nous n'avions pas le temps de se reposer. Il nous fallait une solution et nous ne serions même pas condamner à errer mais tout simplement mange vu les nombres qu'ils étaient.

    C'est alors que quand tout l'espoir m'avais quitté que je vis une voiture.

Évolutions ou régressionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant