Cauchemar inattendu

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Un jour, au cours d'un de mes voyages pendant un arrêt bien mérité à l'auberge je vis un homme moqué et passant pour un fou auprès des occupants de ce rupestre endroit.

J'avais réussi à entendre quelques mots que le jeune homme avait prononcé qui m'avait intrigué au plus haut point et qui éveilla en moi un vif intérêt. Je me suis empressé de l'inviter à ma table pour me raconter son histoire. Voici le bien étrange récit que j'ai entendu ce jour-là.

Je suis coupable. Coupable, d'avoir voulu cambrioler et voler. Mais, je ne suis pas coupable de meurtre ni d'autres atrocités que l'on m'accuse.

Voici ce qui s'est réellement passer et déroulé cette nuit-là.

Avec deux de mes amis nous avions repérer une grande maison qui ressemblait beaucoup à un manoir. On s'était dit que cet endroit devait abriter beaucoup de richesse et d'objets de valeur. Et que donc, faire un cambriolage nous aurait rapporté beaucoup d'argent.

J'étais sans travail et donc sans revenu, il me fallait impérativement de quoi subvenir à mes besoins. Je suis comme tout le monde, j'ai un loyer à payer, une famille à nourrir et de quoi vivre tout simplement.
Apparemment, mes amis n'étaient pas à leur coup d'essai, l'un d'eux avait même fait de la prison pour le même genre d'actes que nous allions connaître.

Son nom est Eudes, nous nous connaissons depuis Toujours. Il est mon meilleur ami, j'ai confiance en lui plus que n'importe quel autre personne au monde. Nous avons fréquenté la même école. Nos parents étaient des très bons amis et presque tous les ans nos familles allaient en vacances ensemble. Nous nous sommes séparé seulement les cinq ans d'université. Tous les deux avions la passion pour la randonnée et les longues balades en forêt. Le jour où nous nous sommes revus il avait bien changé, il était à présent plus grand, maigre, aux cheveux longs et noirs. Notre autre compagnon de travail était Herbert. Je le connaissais que très peu et nous avions encore moins l'occasion de discuter. Lui et Eudes s'étaient rencontré en prison et il ne comptait pas retourner dans le sud retrouver sa famille. Avec le recul, je pense de ce cambriolage venez de lui.

Plusieurs soirs de suite, nous avons tourné autour de la demeure pour connaître les habitudes des occupants et de la famille qui a résidé. Au bout d'une semaine, nous n'avions vu toujours personne. On s'était dit que les personnes qui y habiter était peut-être parti et nous pensions que cet endroit était vide de toute vie.

Nous avons alors décidé, le huitième jour, de rentrer par effraction. On c'était équipé de divers outils, de pieux et de maillets pour fracturer la porte d'entrée et nous avions des grands sacs pour pouvoir transporter tous les objets que nous allions subtiliser.

À la nuit tombée, nous sommes entrés en escaladant le portail puis nous nous sommes rapprocher de l'entrée et avons commencé ce pourquoi nous étions la.

La bâtisse ressembler fortement à ce qui s'apparentait à un vieux manoir. La propriété était traversée par une rivière et abritait des fontaines et des bassins peuplés de nénuphar. De l'extérieur la demeure semblait être construite de façon à être imposante ou tout du moins à en donner l'impression. Elle ressemblait un grand pavé sur deux étages. Le second, dont on pouvait apercevoir les fenêtres plus petites, devait être les combles où devait résider les bonnes. Les fenêtres du rez-de-chaussée et de l'étage était gigantesque et de grand rideau était tiré à l'intérieur ce qui ne permettait pas de déceler ce qui s'y trouvait. Les pierres qui formaient l'architecture du manoir était complètement abîmer et griser par le temps écouler.

Une fois à l'intérieur, après avoir mis environ dix minutes pour ouvrir la porte en forçant avec nos outils, je pouvais découvrir un intérieur complètement décrépi dont la poussière et des pierres provenant des murs détériorer par le temps joncher le sol fais d'un carrelage issu d'une mode ancienne. En face de moi, se trouver un vieil escalier en bois à moitié circulaire et dont la vétusté me faisait craindre une chute à la première tentative de passage.

Une fois familiarisé avec l'ambiance du lieu et après que mes amis et moi nous nous sommes accommodés à l'odeur de renfermé que cet endroit nous faisait inhaler, je leur ai suggéré en chuchotant:

- Si nous voulons aller vite et gagner du temps, chacun devrait fouiller une pièce différente et remplir son sac de tout ce qui lui semblerait intéressant.

Nous nous sommes alors séparés. Je suis allé à l'étage par l'escalier situé en face de l'entrée pendant que mes amis s'occuper du rez-de-chaussée.

Je suis rentré dans la première chambre à gauche en haut de l'escalier. les murs étaient blancs et vert, il y avait des cadres avec de vieilles photos partout. De long rideau rouge cacher les fenêtres, Il y avait aussi un tapis de la même couleur au milieu de la pièce. Le lit était placé entre les deux fenêtres et était habillé de draps et d'une couverture blanche. En face se trouver une vieille commode en bois massif et sur sa gauche des étagères poussiéreuses avec quelques livres anciens poser dessus.

Je commençais à fouiller et je remplissais mon sac de toute sortes d'objets. Mais j'avais beau chercher je trouvais que de vieilles bricoles et donc rien d'intéressant a volé. À ce moment-là, j'ai décidé de fouiller une autre pièce. J'avais aperçu dans le couloir une porte qui me semblait différente des autres car il y avait un étrange dessin dessus.

Je me suis précipité à l'intérieur mais je me suis retrouvé face un intérieur complètement vide dont l'ancien papier peint était complètement déchiré et dont les lambeaux constituer au milieu de la pièce. J'ai rapidement fais le tour avec ma lampe torche et je m'apprêtais à sortir de la pièce dans soudain j'aperçus une phrase écrite sur un des murs. Elle disait: « si vous le pouvez encore, partez ». Et tout en lisant cette phrase je me suis aperçu que l'encre utilisé pour l'écrire n'était d'autre que du sang.

J'ai eu une certaine montée d'angoisse mais je me suis rapidement calmé car l'idée que d'autres personnes aient pu s'introduire dans le manoir bien avant nous la traversée l'esprit. Le mot aurait très bien pu être écris par des petits malins voulant effrayer d'autres visiteurs.

Tout cela était tout de même étrange car après tout la bâtisse semblait toujours être habité et toujours être un lieu de vie actif bien que celui-ci semble vétuste. Herbert nous avait informé que un mois avant que nous commençons à faire des rondes il voyait régulièrement par les fenêtres des lumières provenir de l'intérieur du manoir.

je n'avais pas plus de temps pour me poser des questions car je devais me dépêcher de trouver un quelconque butin à dérober.

Je suis retourné dans le couloir et j'ai franchi la porte qui se trouvait juste en face et je me suis retrouvé dans la salle de bain. C'est à cet instant, que les choses étranges ont vraiment commencé à arriver.

Tous les murs de la pièce était tapissé de sang séché, la baignoire et le lavabo était rempli d'organes et de lambeaux humains et en levant un court instant la tête j'aperçus un grand trou dans le plafond donnant sur un grenier à moitié effondré ou à l'intérieur se trouvait plusieurs corps humains pendu en décomposition avancée.

C'est alors que de grand bruit de coups violents se fit retentir au rez-de-chaussée suivi d'un cri strident venant de l'un de mes amis. La peur me paralysa quelques secondes puis je me suis précipité en bas pour voir ce qu'il s'était passé car désormais un grand silence régnait dans le manoir.

Je descendis lentement les escaliers en tenant fermement entre mes mains un chandelier que j'avais pu ramasser.
Une fois arrivé dans le long couloir en bas de l'escalier mes oreilles fut alerté par de légers sons de mastication. J'entrepris alors de pénétrer prudemment dans la cuisine. Tout en avançant je pouvais entendre ma respiration devenir de plus en plus forte et je découvris devant mes yeux qui s'écarquiller que se trouver avec frayeur la provenance de ces étranges bruits.

Une créature faisant au moins deux mètres de hauteur se leva doucement en me regardant. Elle ressemblait en tout point à un homme et été que très peu vêtue, sa peau était d'un rouge sombre et elle avait les griffes acérées. Je leva lentement la tête et pu voir qu'elle portait autour du cou un collier fait de doigt humain et en continuant apporter mon regard vers le sommet de cette créature je découvrais un visage monstrueux orné de deux grandes cornes. Je vis très vite qu'à ses pieds se trouver le corps à moitié dévoré et démembré d'un de mes amis.

Et tout en me fixant, ce monstre crachat de sa large bouche aux dents acérées une partie du bras fraîchement arraché de mon camarade. Les yeux rouges de la bête ce sont alors mis à briller et elle se mit à me foncer dessus.

Puis ce fut le trou noir, je me suis réveillé sur le béton froid de ce qui devait être le sous-sol. La plus terrible des douleurs c'est alors accaparer de tout mon être puis elle a laissé place à la panique quand je me suis aperçu qu'il me manquait la moitié la jambe droite.

Au loin, dans cette grande cave voûté, je pue rapidement constater qu'une dizaine de créatures démoniaque toutes avec un aspect différent résider dans ce lieu.

J'avais entrevue la fin de ma vie et le cauchemar qui allait suivre.

Dans les fines lueurs des bougies qui éclairaient l'obscurité abyssale de l'endroit où je me trouvais, un homme surgit soudainement. Il était vêtu d'une longue cape et capuchonner. Sur ces longs habits se trouver des tranches symboles païen.

Les créatures se ruèrent vers lui et à ce moment précis, il frappa avec un maillet une gemme scintillante situé sur une stèle au milieu de cette cave humide. Une grande lumière rouge ébloui alors l'endroit.

Malheureusement, ce qui se passe ça ensuite reste un mystère car je me suis réveillé non loin de là dans les bois et bien que j'avais perdu ma jambe droite, j'avais reçu les soins nécessaires. Je suppose que maintenant que je vous ai raconté tout cela vous me prenez désormais pour un fou comme le reste des habitants de ce village.

Après avoir écouté attentivement cette histoire, je lança un regard sérieux à mon interlocuteur, je lui dis:

- L'endroit où vous avez mis les pieds, se trouve être le manoir D'Émile Derose. Je suppose que vous le connaissez, au moins de réputation. Et comme beaucoup d'autres je vous donnerai ce conseil, ne vous approchez plus jamais cet endroit, il se peut qu'il soit à jamais maudit.

Je ne pouvais pas en dire plus car ce qui s'est passé ce jour-là se trouve être la pire erreur que j'ai commise de toute mon existence. Ce jour-là, j'ai aussi bien mis en danger ma femme et mes deux fils que le monde entier. Car en voulant enfermer les créatures se trouvant dans notre monde, j'ai accidentellement ouvert une nouvelle brèche ce qui a provoqué l'arrivée de tant d'autres.

LE SOMBRE HÉRITAGE DE LA FAMILLE DEROSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant