Dans l'écho de ma voix grave et mélancolique,
Résonne un chagrin profond, une blessure authentique,
Chaque note est un soupir, chaque mélodie, une larme,
Dans ce monde où la tristesse souvent désarme.
Je danse dans l'ombre, une danse solitaire,
Les mouvements racontent ma peine, ma lumière,
Malgré ma voix sombre, je rêve de lumière,
Mais l'obscurité persiste, elle est ma compagne austère.
Les larmes, souvent, se cachent derrière le masque,
De l'idole que je suis, une lueur dans le crépuscule rasque,
Pourtant, je garde espoir, malgré la douleur qui m'étreint,
Que la musique pansera mon âme, qu'un jour je me sente saint.
Je chante ma tristesse, ma douleur et mes angoisses,
Dans l'espoir que mes paroles touchent, qu'elles soient une ébauche,
D'une compréhension profonde, d'une empathie partagée,
Même si la tristesse habite, un jour elle s'effacera, allégée.
