*Désolée pour les autres religions*
Aux confins du temps, la prophétie résonne,
Trompettes célestes, mélodie qui étonne,
La fin du monde, les anges l'annoncent en personne,
Un jour viendra, quand chaque cor sonnera d'automne.
Première trompette, un hurlement retentit,
La terre frémit, et la peur s'infiltre et grandit,
Un cri dans les cieux, l'écho d'un destin interdit,
L'humanité sait que l'ère nouvelle se dessine en récrit.
Deuxième trompette, des montagnes enflammées,
L'éclat des étoiles, l'univers tout entier réclamé,
Les cieux bouleversés, des éclats de désarroi semés,
L'avènement proche, tout ce qui fut, tout ce qui est, altéré.
Troisième trompette, une étoile tombe du firmament,
Amertume et chagrin, une épreuve dans ce tourbillon géant,
Les rivières souillées, la vie cède à l'événement,
La fin s'annonce, plongeant l'humanité dans l'ébranlement.
Quatrième trompette, les ténèbres obscurcissent la lueur,
Un tiers de la lumière s'éclipse, l'âme en labeur,
Un jour ne dure qu'une fraction, une durée en torpeur,
L'agonie de l'éclat, l'avertissement du Créateur.
Cinquième trompette, un abîme s'ouvre, fumée et ténèbres,
Les démons s'échappent, semant malédiction et funèbres,
Un combat spirituel, des âmes cherchent une étoile en glèbe,
Dans cette bataille finale, le bien et le mal en un combat célèbre.
Sixième trompette, l'armée du mal en marche,
Des cavaliers de l'apocalypse, la terre est en starch,
Les guerres et les fléaux, un monde sombre et lâche,
Le jugement approche, chacun devant sa propre arche.
Septième trompette, silence dans le ciel, une pause,
Le temps suspend son souffle, tout converge en cause,
La création toute entière se tait, se repose,
Le règne du Christ se lève, le monde enfin s'arroge.
*N'attrapez pas ma veste s'il vous plaît*
