Dans l'obscurité de la nuit profonde,
Là où les songes s'éveillent et se fondent,
Un cauchemar se glisse, silencieux,
Éveillant nos peurs les plus sérieuses.Les ombres dansent, s'étirent et s'étendent,
Des terreurs inconnues en nous se répandent,
Un labyrinthe sombre de pensées tordues,
Où l'esprit se perd, confus et perdu.Les monstres surgissent des coins sombres,
Le cœur s'emballe, le souffle encombre,
Le réel et l'irréel se mêlent en un seul fil,
Dans ce cauchemar, un étrange exil.Mais au matin, la lumière revient,
Les cauchemars se dissipent, sans chagrin,
Laissant derrière eux une leçon apprise,
Que même dans l'obscurité, l'espoir persiste.Prochain thème ?