UUMMBBRREELLLLAA

Chapitre I : Les Bodlays

Note de l'auteure : Parfois sur Wattpad au lieu d'écrire Umbrella qui signifie Parapluie en italien, la traduction me note parapluie sans que j'arrive à changer cela !!! Je suis vraiment désolée donc si vous lisez Bonjour Parapluie ! alors qu'il devait y avoir marqué   Bonjour Umbrella !  ne vous inquiétez pas !

                                                  Mille excuses et bonne lecture !!!

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-Gardez cette enfant folle furieuse pour vous ! Et qu'elle ne remette jamais ses pieds ici ! Hurla mon ancienne tutrice à Mme Maker.

Mon ancienne tutrice n'a jamais été à la hauteur. Elle m'a toujours détesté et j'ai tout fait pour car je ne la supportais plus elle et ses enfants. J'ai saboté sa fête d'anniversaire en lui offrant un paquet cadeau plein d'araignées. J'ai été renvoyé de l'école prestigieuse où elle m'avait inscrit dès les deux premiers jours car j'ai empoisonné un élève de l'école. Et encore beaucoup d'autres choses pour lui gâcher l'existence et surtout pour qu'elle me fasse partir de son horrible foyer comme l'ont fait toutes les maisons que j'ai fréquentées avant celle-ci. J'ai aussi fréquenter des orphelinats mais je m'amusai à faire peur aux autres pensionnaires. Mme Maker me disait que je n'allais pas tarder à aller en prison et je la croyais. C'était un jeu pour moi de me faire haïr des familles qui m'accueillaient. Je ne vais pas le nier, j'adore ça. Mme Maker était chargée de me trouver une famille. Pas de chance pour elle. Nous étions dans sa voiture lorsqu'elle me dit :

-Ecoute, UMBRELLA. Cette fois c'est vraiment la dernière maison. C'est ta dernière chance d'avoir une famille.

-Je ne veux pas de famille. Dis-je. Umbrella c'est mon nom.

-Je suis sûr que c'est faux tu ne la sais peut-être pas encore mais sans famille tu passeras ta vie seule et...

-Ne gaspillez pas votre salive.

Elle soupira. Je n'ai jamais eu de famille ça ne me manque pas, je n'en veux pas.

Nous arrivons devant une petite maison un peu biscornue qui était la seule maison sur des kilomètres à la ronde. Elle se situe non loin de la frontière entre notre monde et le deuxième monde. C'est sûrement pour ça qu'ils sont les seuls à habiter ici beaucoup de gens ont peur de ce deuxième monde. Pas moi. Si c'est la porte des enfers je devrais bien m'y amuser.

La famille qui va essayer de vivre avec moi nous attendait devant la porte de la maison.

Bon courage, vous en aurez besoin.

Une femme énorme habillée en vert avec un tablier de cuisine, un homme aux yeux globuleux derrière ses lunettes rondes et des jumeaux, certainement vu leur ressemblance, ils avaient tous les deux de grosses joues roses. La fille était tellement laide qu'elle présentait à un porc en surpoids. Le garçon était pareil mais en plus d'être hideux il avait l'air bête comme ses pieds. Mme Maker et moi sortons de la voiture.

-Umbrella, je te présente les Bodlays. Les Bodlays voix Umbrella. Dit Mme Maker avec sourire qui me donne la nausée.

-Bonjour UMBRELLA ! Je suis sûr que tu vas te plaire chez nous ! S'exclama la grosse dame.

-Viens on va te montrer ta chambre ! Dirent les jumeaux en m'entraînent avec eux. Ils avaient l'air étrange. Quelqu'un a choisi de clochait chez eux. Je mettais peut-être trompé, cette maison pourrait être intéressante.

Les jumeaux me font entrer dans leur maison qui est comme eux, c'est-à-dire, laide et elle dégageait une atmosphère que je n'avais jamais ressentie. Quelqu'un a choisi ne tourne par rond dans cette maison.

-Voilà ta chambre ! Ajoutèrent les jumeaux. Ils ne voient pas pouvoir parler individuellement.

-Tu voudrais jouer avec nous ? Continuez-ils.

-J'ai à faire. Répondis-je

-Ca veut dire oui ?

-Ca veut dire non.

Ils se répartissent en soupirant

Eux aussi ils s'attendaient à une grande sœur aimante. Ils pouvaient toujours rêver.

J'aperçu la voiture de Mme Maker s'éloigner et les parents rentrent. J'observe ma chambre. Trop de couleur. Les murs étaient roses bonbons et les lits jaunes. Voir cela me donne la chaise de poule. Les Bodlays avaient une curieuse façon de décorer leur maison. Les murs passer du bleu au orange du orange au rose du rose au vert sans que l'on comprenne pourquoi.

Sur la frappa à la porte.

-UMBRELLA ! C'est moi ! C'est la mère des Bodlays. Bien installé ? Oh si tu le souhaites tu peux m'appeler maman...

-Ne vous fatiguez pas je ne compte pas rester longtemps dans ce vomi d'arc-en-ciel. Lui répondis-je

-Tu ne te plais donc pas chez nous ?

-Cela dépendra de vous.

Elle marque un temps d'arrêt.

-Tu as raisons ma fille ! Maintenant, viens manger !