Quand la lumière s'assombrit,
Intervient un insignifiant tourbillon,
Celui de rester seule dans l'oubli,
Un esprit en intense ébullition.
Des milliers de couteaux,
Un corps écartelé, brisé,
Des lames si affûtées,
Que le voilà en lambeaux.
Il suffit d'un souffle de mots,
S'abattre sur moi avec rage,
Pour que devienne le rivage,
La source de tous mes maux.
Face à tous ces cauchemars,
Le tourbillon devient subtil,
La voilà cette paix hostile,
Qui me glisse à l'abattoir.
Du magma en fusion,
Du feu et des explosions,
C'est la douleur de l'esprit,
Lorsque qu'il est démuni.
Tel l'envol d'un papillon,
Je ferme les yeux,
Et remplis de frissons,
Je fais le vœu d'aller mieux.
Les maux sont peu à peu,
Des cauchemars enfouis,
Loin de nous, on oublie,
Ces instants si piteux.
Les couteaux ferment les plaies,
L'esprit retrouve sa douce paix,
Avec dans les pensées,
De ne plus jamais sombrer.🦋
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Juste s'évader
Poetry[RECUEIL DE POÈMES] Prenez une pincette de mots, rajoutez des rimes, laissez vous guider et mélangez le tout, de vos émotions, de vos sentiments, de vos ressentis. Vous aurez alors ce que nous pouvons appeler un poème. Il n'y a qu'à suivre la recett...