Chaque matin en me levant je me lamentais du fais de vivre dans un monde ou des gens croyaient encore au fait que chacun d'entre nous possédait une moitié à qui il était lié pour le reste de sa vie dès lors qu'ils s'unissaient . Le plus désolant encore était de constater que ce n'était que la pure réalité ; ouvrir ces yeux chaque matin et se rendre compte du fait de ne voir le monde qu'en gris ; ne pas connaître le goût d'une mangue , d'une fraise ou même encore le fais de ne pas pouvoir ressentir la fraîcheur d'une goûte d'eau sur sa peau les jours de pluie . Mais que l'on ne peut se permettre d'arrêter de vivre pour autant car même si on y crois pas l'espoir de rencontrer celui avec tout cela peut être débloqué comme des niveaux de jeux vidéo continue d'éveiller notre esprit et nous pousse à sortir chaque matin même si ce n'est que pour être déçu le soir venu.
C'est sur ces pensées que la jeune femme au cheveux noir ébène décida de quitter son lit pour prendre la direction de la salle de bain ; elle en avait mare de vivre en se sachant incomplète pas sur le plan émotionnel comme certains d'entre nous mais sur le plan physiologique . Elle voudrais pourvoir avoir accès à ces facultés qui lui manque sans avoir à rencontrer une quelconque moitié qui viendrai débloquer celles-ci comme des niveaux dans un jeu vidéo ; et qui plus est ne pourrait probablement pas supporter son caractère de femme ménopausée . Il est bien vrai qu'elle n'avait que la vingtaine mais son caractère aigri lui donnais de temps à autres les attributs Comportementaux d'une femme ayant atteint la cinquantaine sans homme dans sa vie après les avoir tous repoussés dans sa jeunesse car « ils n'étaient pas à son niveau » ;
Elle se mît devant sa glace comme chaque matin avant de se glisser sous la douche froide à 6h du matin .
C'est ainsi qu'elle pris un ruban à la texture légère pour nouer ces cheveux en un chignon qui mettait en valeur les traits fins de son visage et ces yeux noisette puis se vêtit d'un joggers noir avec un t-shirt unit de la même couleur et une paire de Nike Jordan noir blanche . Elle avait comme référence en matière de couleur sa génitrice une femme au teint beaucoup plus claire et aux traits beaucoup plus prononcé en raison de son âge avancé . Elle fit la traditionnelle bise d'au revoir à sa mère et prit le chemin de la fac sans prendre la peine de prendre de quoi déjeuner.
Elle emprunta le même chemin qu'habituellement Celui qui passe devant la grande fresque murale en face de l'air de basket ; celle ci incarnais la déesse gaguya : Le mythe issue du pays du soleil levant raconte l'histoire de kaguya-hime une fillette qui a été découvert un beau matin par un vieux coupeur de bambou et que celle-ci était niché au cœur d'une pousse de bambou ; la demoiselle au cheveux ébène aimait particulièrement cette fresque ,car en connaît l'origine et l'histoire du personnage représentée sur cette œuvre d'art . A chaque fois qu'elle empruntait ce chemin elle se sentais comme transporter par l'histoire derrière cette magnifique image , mais toute chose ayant une fin elle du sortir de son cocon dès lors qu'elle entendit la voix de cet homme à la peau aussi blanche que celle d'un macchabée , aux traits faciaux identiques à ceux du comte Dracula dans hôtel Transylvanie de même que sa voix on aurait dit une version humaine de lui ou tout simplement son sosie; il ne lui manquait alors que la cap et les canines pour être officiellement l'incarnation du comte Dracula ; elle se rendit alors compte qu'elle était arrivée à destination et ne pouvait éviter ce dernier .
_mademoiselle Thomson dépêchez-vous ceci n'est pas une cours de récréation ou vous pouvez prendre votre temps pour faire ce que bon vous semble. Vous êtes dans une institution privée avec des règles strictes et des sanctions pour des cas comme vous qui n'on aucune gêne à ignorer le règlement . Dis l'homme à la peau pâle et au cerne aussi foncées que même si elle en voyait pas de couleur elle pouvait savoir que ce dernier était en manque cruel de sommeil .
_je vous présente toutes mes excuses monsieur Gordon cela ne se reproduira plus je vais de ce pas dans ma salle de cours . Dis elle avec ce ton faussement aimable qui dissimulait en réalité le dégoût et le mépris qu'elle éprouvait pour cette être à l'ego surdimensionnée et la carrure morbide .
_bien dans ce cas je fermerai les yeux pour cette fois d'autant plus que vous êtes brillant sur ceux à la revoyure mademoiselle Thomson . Dit-il en s'accentuant sur le mademoiselle Thomson.
C'est sur ces mots là je pris la direction de la salle 2b au premier étage .
La salle de cours avait la même odeur qu'habituellement celle la chaleur qui règne entre des individus qui s'aiment et s'apprécient ; celle d'une semi-harmonie qui c'est instaurer entre des individus d'un commun accord de manière à ce que personne ne dépasse les bornes et que chacun garde la place qui lui est attribuer dans la société; c'est de cette manière que l'on pouvait constater que les liés sont d'un côté et les non liés sont d'un autre côté favorisant ainsi un équilibre relationnel entre chaque camp .
Nos cours allaient débuter lorsqu'ont reçus un communiqué nous demandant de descendre dans l'entrée la cours de l'école car un bus nous y attendait pour notre excursion dans une grande entreprise de la ville pour qu'on puisse en apprendre plus sur les débouchés de la filière qu'on a choisit dès notre dès notre entrée en premier année de faculté de gestion .