chapitre 4 :

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Chapitre 4:

Thanatopracteur : Le nouvel arrivage de ce matin, oui le jeune garçon. Vous êtes sur qu'il est mort hier soir ?
Non non, puisque j'ai observer sa bouche et ces extrémités...
C'est miraculeux je n'est jamais vue ça. Son cœur c'est arrêté mais son corps et... comme s'il était encore en vie ! Je fait quoi ducoup ? J'ai essayé de contacter ça famille mais il n'en a pas....

Wallas:... hum...

Thanatopracteur :comment ? Oui son cœur c'est arrêté je vous dit j'ai vérifié, 3 fois. Hum hum, d'accord... OK pas de problème.

Wallas : ... excusez moi j-

Thanatopracteur :Au revoir madame, je vous dit à tout à l'heure alors.

Wallas remarqua qu'il était attaché au lit et qu'il ne pouvais pas bouger.

Wallas : détaché moi! Qu'est-ce que je fait ici! Que c'est il passé!

Wallas essayait temps bien que mal de se détaché mais il n'avais plus de force. Comme si sont énergies étaient drainé par quelque chose...

Thanatopracteur: OH MON DIEU, QUE QUE...

Wallas : qui a t 'il ? Détaché moi ! Attendez... pourquoi je suis tout nue ? Qui êtes vous !

Thanatopracteur : QU'EST-CE QUE ... ATTENDEZ...JE DEVIENT FOU, FINI LES HEURES SUPPLÉMENTAIRES A PAS D'HEURE !

Wallas : bien bien, vous avez fini ? Je ne me répéterai pas , détaché moi!

Wallas, désorienté et frigorifié, se retrouvait attaché sur un lit dans une morgue. Le thanatopracteur, complètement dépassé par la situation, le libéra en tremblant.

Thanatopracteur : Pardonnez-moi, jeune homme, je... je ne comprends pas comment cela est possible. Vous devriez être... enfin, vous savez...

Wallas, confus et choqué, chercha à rassembler ses pensées dans cette situation inattendue.

Wallas : Mais je... je suis sensé être mort... Qu'est-ce qui m'a pris d'ailleurs ? Quel idiot... J'ai si froid... Mes vêtements... Rendez-moi mes vêtements !

Le Thanatopracteur commenca à pleurer et courru vers la sortie.

Thanatopracteur : Sale démon! comment est-ce possible !

La porte de la morgue claqua et résonna dans toute la salle,
Et puis une voix s'entendirent.

Ophio : wallas on à foiré.

Wallas: Ophio ! Que ce passe t-il ?

Ophio: hey, doucement je viens aussi de me réveiller tout comme toi.

Wallas: Ophio... Le champignons ne nous a pas tué.

Ophio: oui en l'occurrence sherlock.

Wallas: il faut qu'on sorte d'ici. Tout de suite.

Ophio: on est pas pressé... On est pas bien, la, tout les deux, dans une sale sombre qui pu, dans le froid et tout nue! Dépêche toi de t'habiller et sort d'ici je t'en prie.

Wallas pris une blouse blanche acrochés au porte manteau à l'entrée et deux charlottes pour ces pieds.
Ils courrus alors en direction de la sortie.
Wallas se diriga alors vers l'arrêt le plus proche.
Il rentra dans le bus qui arriva quelques seconde après.

Wallas: bonsoir monsieur !

Le conducteur regarda wallas de haut en bas puis continua tranquillement à conduire comme s'il avait l'habitude de voir des fou tard le soir.

OPHIOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant