Amour prisonnier...?

Libère-moi !!!

Dans un immense commissariat commença notre histoire. Petite, angélique et délicate, Sarah était une jeune fille de seize ans, aux cheveux longs, clairs... ou même brillants, et aux  yeux bleus. Seulement, ça, c'était les qualités que nous connaissions sur Sarah, un de nos personnages principaux, mais le reste de sa personnalité sera dévoilé au long de cette histoire.

Vous l'ai-je assez décrite ? Je ne pense pas...

Commençons donc:

Les problèmes avec cette fille étaient très courants. La raison pour laquelle c'était le cas, était qu'elle possédait un dangereux défaut nommé l'imprudence. Toutes les fois où elle avait failli mourir, où elle avait fait d'horribles bêtises (...) étaient infinies. C'était pour cette raison que ses parents étaient très sévères avec elle. Je dirais même, très très durs. Ils avaient raison, mais pas jusqu'à la taper. Pourtant, ils le faisaient assez souvent. Prenons exemple sur...

Au travail de son père, sa famille était complète, mais pas exactement tous au même endroit. Devinez qui il manquait...
Sa mère dit alors à ses enfants:

-Je vous avais dit de rester avec elle... putain, elle me saoule ! Comment est-ce qu'elle pense que votre père réagira ?!!

Pendant ce temps, celle-ci était seule, n'importe où elle pouvait être. Mais le hasard créa une certaine rencontre. La fille en premier à cette mystérieuse personne:

-Salut ?

Il la regarda, puis lui dit, d'un air vraiment arrogant:

-Qu'est-ce que tu me veux ?!!

-Juste parler avec toi... les gens ici doivent s'ennuyer et déprimer... méritent-ils vraiment d'être enfermés ici. Perso, moi, je pèterais un câble...

-Je pense que ça ne te ferait pas de mal... commença-t-il à lui répondre, y'a pas à se balader comme ça dans un lieu aussi dangereux où ils regorgent plein d'enfoirés ayant fait de la merde...

-Est-ce que ton emprisonnement est lié au fait que tu parles aussi mal ??? lui demanda-t-elle, d'un air comme "désespéré". Il ne lui répondit à son tour, puis elle lui pria:

-Laisse-moi te regarder, et je te permets de me le faire aussi...

-J'espère que ça en vaut la peine... lui dit-il toujours de la même manière, donc aussi arrogante. Elle s'approcha de la prison, puis il lui dit:

-Ne t'approche pas de moi !!! Est-ce que tu sais ce que tu es en train de faire ???

Seulement, la fille lui répondit:

-Je fais ce que je veux, quand je veux... tu n'as aucun ordre à me donner...

-Comme tu voudras... lui répondit-il. Lorsqu'elle ouvrit la prison, ils ne se voyaient pas, comme depuis tout à l'heure. Lorsqu'ils se virent, Sarah dit au garçon, le regardant dans les yeux, avec les siens grand ouverts:

-Ton visage est terrifiant...

Elle se rendit compte de ce qu'elle venait de dire, puis se rattrapa:

-Enfin, je veux dire... tu dois terriblement souffrir... mais tu es...

-Si tu m'adresses encore une fois la parole, tu seras alors obligée de me sortir d'ici ! lui dit-il. Elle recula alors, sans rien lui dire. Une fois qu'elle fut partie, il baissa les yeux, mais par surprise pour lui, elle revint, lui disant, en souriant:

-Salut !

Il lui dit alors:

-Tu le fais exprès ???

-Je t'ai promis ton marché de libération dans ma tête. Cela fonctionne-t-il ??? demanda Sarah au garçon. Il lui dit alors:

-T'aimes les embrouilles, toi ???

-J'aime les problèmes qui peuvent aider, donc ceux-là. Mais si je te libère, promets-moi de ne rien faire de mal à qui que ce soit...

-Je t'obéirai, maîtresse... » répondit-il à la fille. Elle réfléchit, puis s'arrêta net. À ce moment-là, quelqu'un arriva. Sarah se cacha, toujours dans la taule de ce mystérieux personnage. Cet homme lui dit, en s'approchant de lui, puis en lui tirant le teeshirt très violemment vers lui, il lui dit, d'un air très haineux:

-Sale enfoiré !!!
Seulement, ce qui sauva le garçon, c'est le chef, demandant:

-Retrouvez immédiatement ma fille !!!
Le jeune homme comprit de qui est-ce que Sarah s'agissait. Lorsqu'elle revint, elle lui dit, en se rapprochant de lui:

-Ok, monsieur... je vois dans quelle situation tu es... un peu près...

-Cette fois, ton imprudence payera, Beauté... je te le jure... lui répondit-il, assez affaibli comparé il y a quelques secondes...
Elle le fit donc, puis ils s'enfuirent.