Il paraît que la musique réchauffe, cette affirmation n’est en aucun cas fausse.
Les phonèmes qu’éprouve ton cœur à chaque battements me calcinent, me brûlent d'une passion pure.
Ton cœur a la puissance du feu infernal mais il purifie l’âme et la revigore
cette flamme de destruction nourrit mon corps et celui des dieux d’une énergies folle.
Les battements de ton cœur me rappellent ceux des oies sauvages qui voyage pour chercher chaleur
je fais partie de cette formidable migration et j’ai trouvé asile dans le brasiers d’émotion que rejette tes pupilles.
Tes yeux sont un monde de sérénité, tu y es reine des flamboimants
et j’y demande protection dans ce vestige digne du firmament
plaine, forêts, lac, rivières, il t'arrive de laisser goutter ce monde pour étancher la sécheresse des cœurs.