Le ciel est un voile d’une couleur formidable mais on se lasse vite du manque de pétillant.
Tes yeux se détournent de la paroi céleste pour trouver plus bariolé.
C’est à toi que je parle, guerrière aux milles facettes, ton corps est un vortex, que dis-je une voie lactée.
La Vénus de nos jours apparaît et le ciel se retire, reflétant un monde plus coloré.
Ton courroux céleste, tu le calme avec une ardeur et une volonté qui met à genoux tes fidèles et tes plus vaillants ennemis.
Les flammes de l’enfer te brûlent mais tu ne cries pas, tu leur joues une mélodie cardiaque et les embrasse avec tes mains.