À bout de souffle

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Aucun mots

Juste les déchirements de mon âme
Aucune sensation

Seulement des yeux rougis par mes larmes

Je suis condamné à être un ange déchu
Dont l'auréole est brisée et dont les ailes ont été arrachées

Dont le sourire a été effacé et les rires, étouffés

D'aucune utilité,je suis mon propre fardeau

Fléau

C'est toujours de ma faute

Je sens comme un étaux m'emprisonner
Fatiguée de lutter

Exténuée de survivre

Je me laisse couler

Je commence à suffoquer

1,2,3, plus la force de respirer

Les yeux fermés,le supplice est terminé

Et ma dernière pensée fut le souvenir de toutes ces fois

Où je voulais juste être aimé...

𝐌𝐞𝐬 𝐢𝐥𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant