Chapitre 9

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PDVd'Antoine :

La scènede sa chute vient de se dérouler à une vitesse fulgurante. J'airéussi à attraper Aigle comme je pouvais et je vois Amy. Son visageest en sang, ses habits déchirés et elle a des blessures, jel'appelle mais elle est les yeux fermés et je comprendsimmédiatement qu'il y a un problème. J'enlève son pied de l'étrieret appelle les pompiers. Ils arrivent rapidement mais c'est uneéternité pour moi, je cris son nom sans réponse ni même uneréaction de sa part. Quand les pompiers arrivent ils me poussent luimettent un collier cervical et la mettent dans une coquille, medemande de prévenir le contact d'urgence et ils partent. Je prendsmon téléphone, sa fiche et je commence à taper le numéro. C'estle numéro de mon père. Je l'appelle lui dit qu'Amy est blessée, devenir en urgence à l'hôpital. Je rentre le cheval que j'avaisbloque dans l'autre moitié du manège, prend ma voiture et je foncela-bas aussi. A mon arriver une hôtesse m'ouvre la porte des urgenceet mon père parle au médecin dans le couloir.

-Monsieur,je vous préviens avec ses antécédents nous sommes obliger de lamettre dans un coma artificiel.Je tombe dénue. De quoi ilparle.

-Je comprend très bienla situation, faites au mieux pour elle et sa santé.

-Je dois vous posé unequestion. Est-ce encore dû à des violences ?

-Non, ce compte ci elleà fait une mauvaise chute à cheval.

Lemédecin acquiesce est rentre dans la salle à cote d'eux. Je suissous le choque. « ses antécédents », « coma »,« violence » ces mots trottent dans ma tête. Je restesans bouger et mon père me remarque, il devint blanc.

-Qu'as-tuentendu ?

-Cequ'il y avait a savoir. Pourquoi je ne suis au courant de rien ?Pourquoi c'est toi son contact d'urgence ?

-Antoineje ne peux rien te dire sauf qu'elle n'as personne qui soitdisponible en cas de problème.

-Encoreet toujours des secrets quand est ce que je vais avoir des réponses.

-Jene sais pas mon fils, il n'y a qu'elle qui soit en mesure de tout tedire.

Je comprend qu'on me dira rien et file voir le médecin qui estressorti pour lui demander où est sa chambre. Je fus surpris envoyant le médecin regarder mon père qui fit juste un oui de latête.

-Votreamie se trouve en réanimation au deuxième étage chambre 112.

-Merci

Je fonce mais devant cette porte un flash me revient. Les gyropharesdes pompiers que j'avais vu monter cette fameuse nuit. Non ce n'estpas possible que ce soit pour elle, pourquoi ils serraient venu lachercher. Une part de moi ne veut pas y croire mais ça expliqueraitcertaines choses. Mais si elle s'était simplement senti pas bienpourquoi on ne pourrait pas me le dire.

Un jeune me pousse pour entrer dans la chambre, il me sort de mespensés, j'allais l'arreter jusqu'à se qu'il prononce son nom enpleur.

-Amy,ma mymy, pas encore, pas maintenant. Ma petite princesse s'il teplait revient moi.

J'allaispartir, Son copain est la.

-TUDOIS revenir tu t'es battu tous ces mois en rééducations, tu astant de chose à vivre.Bats toi. Encore une fois pour nous.Tu es lapetite sœur dont je rêvais, je veux pas te perdre.

Donc cegars n'est pas son copain mais ducoup c'est qui. Je me replace sur lepas de la porte et il se retourne comme ci il venait de se souvenirqu'il avait heurter quelqu'un pour rentrer.

5 ans aprèsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant