One-shot - Sakayanagi Arisu

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(Sakayanagi pov)

Aujourd'hui, notre enseignant annonça qu'un élève avait décidé d'abandonner l'école suite à "une longue réflexion personnelle".

Le plus étrange étant que cet élève en question était le témoin de l'affaire opposant la classe C à la classe D, Sakura Airi.

Ce n'est pas la première fois qu'une chose aussi étrange s'est passé. Il y a quelque semaines, une rumeur fut lancé sur la classe B, semant le trouble dans leur classe.

J'ai trouvé cela bien étrange.

On dirait qu'une force inconnue essaye de détruire l'intégralité de ses concurrents.

Je ne peux déterminer si elle est en classe A ou en classe C, étant donné que ce sont les seuls qui ne se sont pas fait attaquer. Mais je pencherai plus pour la classe A, car Hashimoto a délibérément ignoré ma proposition de me rejoindre.

En effet, quand je lui ai fait la proposition, il a prétexté vouloir réfléchir. Et peu importe mes relances, il répète la même chose. Il ne veut décidément pas me rejoindre.

Quand je lui ai lancé un ultimatum, il m'a dit: "Je préfère avoir plus d'informations pour savoir qui a le meilleur leadership".

Décidément, il ne fait que nous faire tourner en bourrique.

Et puis, il y a ce Kiyora Fukiko. Son nom de famille me rappelle vaguement quelque chose. Je ne sais quoi penser de lui.

Flash-back

Aujourd'hui, mon père devait voir un de ses vieux ami. Son nom était Olias Fukiko.

Je le connaissais comme étant un des plus grands gérant de fond du Japon, même si comparaît à d'autres, il fait pâle figure.

D'après mon père, il avait un garçon de mon âge. Un autre de ces enfants de riche pourris gâté.

Je n'avais que peu d'attrait pour les enfants de mon âge. Tous si ennuyant. Aucun n'était un génie naturel.

Ce mystérieux garçon au cheveux brun, nommée Kiyotaka, attira longuement mon attention, le fils de Sensei. Un génie artificiel.

J'avais hâte de pouvoir l'affronter de nouveau afin de prouver la domination de l'intellect naturel.

Une fois arrivé devant la demeure des Fukiko, mon père m'aida à descendre de la voiture.

Il sonna à la porte. Quelques secondes plus tard, un homme au cheveux corbeaux et à l'allure élégante nous ouvrit. Il devait avoir l'âge de mon père. Il portait un costume sobre et élégant qui montrait une certaine sévérité.

- "Enchanté, cher ami. Entrée donc, Sakayanagi-San."

L'homme s'adressa à mon père.

Papa - "Merci bien, Fukiko-Sensei."

Cet homme était donc l'ami de mon père.

Nous entrions dans la demeure de Fukiko-Sensei, et à l'instant où j'avais une vision d'ensemble de la maison, je l'ai scanné.

La maison était aussi sobre que son possesseur. Il ne semblait pas avoir de jouet. Mise à part un jeu d'échec dans le côté de la maison, il n'y avait aucun moyen de divertissement, ni même une télé.

Moi - "Vous jouez au échecs, sensei ?"

Il me regarda avec indifférence.

Fukiko-Sensei - "Pas particulièrement. Mon fils joue beaucoup au échecs, et il est plutôt bon."

On dirait qu'il en vaut un minimum la chandelle.

Père - "Je pense que vous pouvez jouer ensemble pendant que l'on parle."

A l'instant où il finit sa phrase, Fukiko-Sensei sembla quelque peu irrité.

Fukiko-Sensei - "Désolé, mais mon fils est extrêmement occupé. Il étudie beaucoup."

Père - "Vraiment ? Mais je pense que ça ne lui ferait pas de mal de s'amuser un peu avec un autre enfant. Vous savez, ma fille est très avancée pour son âge. Je pense qu'ils peuvent s'entendre."

Fukiko-Sensei semblait... en colère ? J'avais l'impression qu'il s'est senti insulté par la remarque de mon père.

Avec une ride du lion sur le front, il soupira.

Fukiko-Sensei - "Bien. Allant lui demander."

Il appela un de ses majordome.

Fukiko-Sensei - "Demander à Kiyora si il souhaite jouer avec la fille de Sakayanagi."

Après une courbette, le majordome s'en alla.

Moi - "J'ai hâte de voir si il s'agit d'un réel génie ou d'un usurpateur."

Je dis cela avec mon sourire habituel.

Fukiko-Sensei - "Plaît-il ?"

Il me regarda avec un profond dédain. Mais mon attitude ne s'est pas détruit.

Moi - "J'ai hâte de savoir si c'est un génie naturel ou artificiel."

Fukiko-Sensei - "Ça n'existe pas. Le génie ne s'exprime que par son travail."

Moi - "Oh~ C'est totalement faux. Les génie sont déterminé à la naissance. Celui qui nie le fait accompli est un imbécile."

Il se calma, puis pris un sourire condescendant. Il se baissa à mon niveau et me caressa la tête.

Fukiko-Sensei - "Haha Ma petite, tu apprendra avec le temps que seul le travail et la volonté détermine qui nous serons dans notre vie. Tu es jeune, il est normal de croire que tu es spécial."

Il se redressa, et ressera son col.

Alors qu'il allait parler, le majordome revint, mais sans le garçon de Sensei.

Fukiko-Sensei - "Alors ?"

Majordome - "Le jeune maître a dit qu'il n'avait pas de temps à perdre à jouer avec une gamine."

Il a l'air très poli ce petit.

Majordome - "J'ai bien essayé de le persuader de venir,  mais comme vous ne lui aviez pas donné d'ordre, il avait trouvé ça futile."

Je ne sais pas si il est sur de lui ou juste malpoli, mais je le trouve détestable.

Fukiko-Sensei - "Je vois."

Avec une totale indifférence, il se tourna vers moi.

Fukiko-Sensei - "Mon majordome va s'occuper de toi pendant que moi et ton père nous parlons."

Je ne sais pourquoi, mais j'avais l'impression d'avoir été manqué de respect.

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Un chapitre vraiment très court. Mais je promet que le prochain sera plus long. J'ai beaucoup de travail donc ne m'en voulais pas sur la faible fréquence de téléchargement.

J'ai fait d'autre livre, n'hésitez pas à voir mon profil.

Le cynique: cote fanfiction ocOù les histoires vivent. Découvrez maintenant