chapitre 18

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Paul

- Papaaaaaaaa !!!!!!! Steeeeeeeeeven !!!!!!!! Réveillez vous !!!!!!!

Je ne l'ai pas entendue se faufiler dans ma chambre, mais putain je la sens bien...
Lilou est en train de prendre mon lit pour un trampoline, et tout d'un coup elle se jette sur nous.

- Allez !!!! Levez vous, j'ai trop faim !!!!
- Mmmmm... Mais c'est dimanche... Le dimanche c'est dodo...
- Tu t'es tout plein reposé hier avec Steven. Aujourd'hui je veux faire plein de trucs !
- Bon on se lève... Vas t'allumer la télé le temps qu'on se douche vite fait, et on vient préparer le petit dej.
- Ouiiiiii !!!!! Trop bien !!!!!!!

- La tornade s'est envolée ?
- Oui mais je te préviens, si on ne se dépêche pas elle sera là dans quelques minutes. La télé la retient jamais très longtemps.
- J'ai remarqué... On partage une douche vite fait ?
- Je sais pas si ça ira plus vite de partager. J'ai une gaule d'enfer...
- Oh un petite branlette réciproque ça peut aller vite...
- Putain si tu me chauffes comme ça c'est clair que ça va pas durer...

On se précipite tous les deux sous la douche. On se dévore, on se colle, nos queues se frottent frénétiquement.
J'empoigne la bite de Steven qui fait de même avec la mienne. On se masturbe mutuellement fermement, et quelques mouvements nous suffisent pour éjaculer fortement.
Je vois mon sperme couler contre son ventre, emporté par l'eau de la douche, et j'ai l'impression de ne jamais rien avoir vu de si beau.
Mon front reposé contre le sien, je suis si bien, je pourrais rester comme ça pour toujours.

- Tu sais que je ne vais plus pouvoir me passer des réveils dans ton lit... Je sais pas ce que tu as fait à ma libido, mais je crois que je n'ai jamais été aussi excité de ma vie.
- Bon sang moi non plus... Par contre il va falloir qu'on sorte de là si on ne veut pas que ma fille déboule et nous trouve à poil.
- Je suis d'accord, trouver ses parents à poil c'est jamais agréable...
- J'imagine bien vu ce que tu nous as raconté...
Allez en avant, je suis comme ma fille, j'ai faim.
- L'exercice physique ça creuse toujours...
- Et bien vu tout l'exercice que j'envisage de faire avec toi, je vais devoir prévoir des provisions supplémentaires...
- Ok pour moi. Allez on y va.

- Qu'est-ce que tu veux pour le déjeuner ma chérie ?
- Je veux des oeufs, des saucisses et des toasts !
- Tout ça ? Et bien tu as très faim alors...
- Oui !
- Steven ? Le menu te convient ou tu préfères autre chose ?
- Ça me convient parfaitement. Je nous fais couler un café pendant que tu nous montres tes talents de cordon bleu ?
- Oui s'il te plaît. Noir et bien serré.
- Mmm un homme selon mes goûts...
- Papa, y'a ton téléphone qui a sonné pendant ta douche. J'ai fait comme tu m'as dis, j'ai pas répondu.
- C'est bien ma puce. Voyons qui ose nous déranger de si bon matin. Ohhh...
- Tu en fait une tête... Y'a un problème ?
- Ma mère... Ça n'annonce rien de bon... Vaut mieux que je la rappelle immédiatement, la faire attendre n'arrangera rien. Je vais mettre le haut parleur, profite du spectacle...

- Allô maman. Bonjour. Je suis étonné de ton appel.
- Mais pourquoi mon chéri ? Ton père vient de me dire que vous aviez eu quelques mots, mais tu sais comment il est... Il est parfois soupe au lait, mais ça lui passe vite. Je voulais être sûre que tu vas bien avec toutes ces responsabilités qui te pèsent.
Tu sais que tu devrais penser à te reposer parfois. Des vacances ça fait toujours du bien. Ça permet de prendre du recul...
- Je sais bien maman, mais tout va bien en ce moment, je te l'assure.
- Ah très bien ! Tu as de la chance parce que moi je suis totalement au bord de l'explosion.
- Ah oui pourquoi ?
- Avec le comité des bonnes œuvres du country club on est en train de préparer le prochain gala de bienfaisance. Je voulais qu'on parraine la reconstruction d'un kiosque historique à central parc, mais cette mégère de madame Walters a convaincu le comité de parrainer un foyer pour délinquants.
Pfff c'est déjà un travail monstrueux, mais quand en plus on est en désaccord avec la cause, c'est encore pire. Ces gosses devraient plutôt être en taule ou sous les ponts, plutôt que de se prélasser à nos frais.
- Je comprends... En tous cas je suis sûre que de toutes façons tu feras un travail formidable.
- Bien sûr, comme toujours. Allez je te laisse, nous sommes attendus pour un brunch.
Au revoir maman.
- Oui, oui... Au revoir.

Une Nounou Particulière.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant