Chapitre sans titre 5

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Ce jour-là...

 J'ai écrit ce passage dans un moment de faiblesse, je suis donc désolé pour les fautes, ou la mocheter de mes mots, j'ai juste était guidé par ma douleur. 

J'ai toujours eu des moments de folie, (des crise de colère ingérable) pour mince et mince raison, certaine faible, débile, absurde. Et d'autre dans des moments d'impuissance. Des moments où les mots de sont plus assez puissant pour dire exprimer  se que l'on ressens. 

Mais j'ai bien compris depuis le temps que les gens normaux eux, parle, s'exprime, savent mettre de côté leur rancoeur, leur émotion négative et néfaste pour la discussion, pour avoir une discussion logique et agréable pour régler n'importe quelle situation. Sauf moi.

Moi je cris, hurle et pête littéralement  un câble, j'ai aucune emprises sur mes émotions, je ne fait que lâchais prise car c'est beaucoup trop dur de les contenir. Je suis littéralement submergé par se surplus d'onde néfaste pour moi. À tel point que quand je sors d'une pièce je ne me gère toujours pas, je hurle je lance tout sur mon passage, avec seulement 2% de mon esprit (intact) me disant que c'est peu être trop, le seul moyen de le contrôler ? 

La musique.

Celle qui fait littéralement hurler tes tympans, celle qui anesthésie tous se qui se trouve autour de toi. J'ai besoin de me retrouver seule avec moi-même avec cette colère insatiable, incontrôlable. Jusqu'à la profondeur du sentiment de ce décevoir, d'être folle, d'être incapable de se géré. Les pleurs, la haine envers moi-même et si forte qu'elle terrasse tout. 

Ma vie, mon esprit, mon âme. Pour ne laisser que des débris de ma personne.

Mon être n'est plus dans c'est moment-là, comme si je n'avais jamais réellement existé.

Oh docteur

Oh docteur

Plus rien ne vas,

Tout vas mal,

Je suis peut être folle, peut être un danger.

Oh docteur

Rassurez-moi

Oh docteur,

Je vais mal, très mal.

C'est un SOS, un SOS silencieux.

Vous savez quelle est l'ironie de la situation ? Je demande à être sauver de moi même. C'est si drôle, si drôle..

Je tombe dans la folie à petit feu. Petit à petit.

Et vous savez j'aimerais en parler, mais à qui ? Qui m'écoutera ? Mes amis sont parfait mais me prendrais en pitié (je le sais j'ai essayé). Ma mère ? Elle comprendrai pas. J'ai pas de père. Ma grand-mère elle va assez mal comme ça. À qui ? À qui je pourrais en parler dans ce putin de mon pourrie.

Chaque parole à une conséquence. Les psy, la protection de l'enfance, merde quoi. Pourquoi ont peut plus parler de rien sans avoir de conséquences ? Pourquoi le monde et aussi mal foutu ? Le stresse l'anxiété, la dépression, les crise (autant de panique que de colère). 

J'aide, je sauve je soutiens tout le monde, mais je suis incapable de le faire avec moi. Je les sauves en me coulant moi-même en me jetant moi-même dans ma tombe. J'ai tellement le goût de tout lâcher du jour au lendemain, de me dire nouveau départ les gens, mais j'ai trop de poids en moi. Tellement que je me fait peur, d'avoir autant de rancoeur, de haine. De mauvaise onde tout simplement. 

Sur le moment briser des vies avec des mots cruelle au possible ne m'atteint pas, carrément je me délecte de leurs désespoir pour apaiser le mien. Je suis une bombe à retardement qui ne demande que d'exploser. Jusqu'au jour, où il n'y auras plus de limite et pas de « Happy and » juste j'aurais lâché tout le monde, je me retrouverai enfin (et aussi malheureusement) seule.

Tout serais tellement plus simple si j'étais la même personne que les autre me décrivent. Si j'étais celle confiante, heureuse, intelligente. Mais la vérité et tout autre je suis juste perdu, paumé, malheureuse, et bête.

Mais j'adore la vie.

Cette Histoire c'est la mienneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant