𝙴𝚝 𝚜𝚒 𝚌'𝚎́𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚛𝚎́𝚎𝚕..[𝙱𝚎𝚜𝚝 𝚙𝚊𝚛𝚝 𝚘𝚏 𝚖𝚎]

Chapitre 60: Sans un au revoir.

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[PDV de Xiao Zhan]

Mes cils fustigent avant de trouver leur repère, un grand souffle pénètre dans mes poumons comme en vie. Une personne apparaît près de moi, le sourire affectueux qui suivit d'une autre, d'un troisième pour à la fin être entouré d'une petite comité dans cette pièce. C'est avec émotions que je découvre le soulagement de les revoir, partageant ce sourire qui les illuminent. Tout à l'arrière, il était là, debout avec des béquilles, vêtu d'une blouse d'hôpital, un bandage sur l'épaule qui dépassait de son cou et un plâtre sur sa jambe. Son visage se voulait être discret mais son bonheur était plus-qu'éblouissant. Yibo répondue à mon sourire en faisant attention de ne pas être aussi démonstrative face à la présence de mes parents.

Je n'étais plus ensevelie par toutes ses machines et ces tubes. Plus aucune douleur, je me sentais même meilleur. Pourtant combien de jour était passé ?

– Zhan tu vas mieux ?  Demande mon père et je secouais la tête.

– On était tous inquiet pour toi. Le médecin avait dit qu'après l'opération il n'y avait rien de grave pourtant tu as mis une semaine à te réveiller, fit Cousine Lulu.

Une semaine ? Pour moi ça avait l'air de quelques heures seulement, le temps d'une petite sieste.

– Tes amis ont beaucoup veillée sur toi, surtout le petit Yibo, j'aperçois la gêne dans son regard à cette appellation de ma mère. Je lui déjà dit de passer à la maison pour un repas prochainement, je tiens à lui remercier correctement de t'avoir sauver, elle attrape ses mains.

– Ce n'est rien Madame Xiao.

– Je t'ai déjà dit que tu pouvais m'appeler Ma' voyons!

Yibo voulait s'enterrer, son visage était rouge comme jamais. Les personnes de la pièce gloussaient à le voir aussi mal à l'aise, qu'est-ce qui est de plus rare que de voir ce personnage à la réputation inébranlable être dans cet état? Ma maman était très avenante et affectueuse, Yibo n'allait pas être à son premier malaise. Ce début d'interaction me fait plaisir, je veux que ma famille s'entendent bien avec lui et qu'il se sente intégré.

– Tu vas bien? Je lui adresse enfin mes premiers paroles et il me regarde.

– C'était juste une balle à l'arrière de l'épaule mais ça va mieux, il répond d'un ton assez apaisé et je partage son sourire.

Mon plus beau tableau! pensais-je gagner par la niaiserie. Nous n'avions pas remarqué que ce regard dura et une atmosphère assez ambiguë planait.

– Ahem! En tout cas tout est bien qui finit bien, intervient Zanjin. Ziyi ne sera pas acquitté après sa convalescence. Elle risque une peine d'emprisonnement et pas seulement elle mais aussi son père et ses complices. C'est la furie sur internet en ce moment.

– Je n'arrive toujours pas à croire que Ziyi était capable d'une chose aussi horrible, fit ma mère.

– Je pense que personne ne s'y attendais Mme Xiao, fit il. Parfois on croit bien connaître les gens jusqu'à ce que l'on découvre qui ils sont réellement.