Chapitre 13 : Un sommeil éternel

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Il marchait le long d'un couloir sombre, avec simple lumière, les rayons de lune qui s'éclaire sur les baies vitrée. De petits pas, il continue d'avancer, le ventre noué par la peur.

« Est-ce que je suis en train de rêver ? » se dit-il.


- Pourquoi il n'y a personne dans cet hôpital ? se murmure-t-il

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- Pourquoi il n'y a personne dans cet hôpital ? se murmure-t-il .

Le tonnerre qui grondait tous les minutes, amplifia encore plus cette ambiance effrayante. Le jeune homme se tourne vers une porte qui était entre ouverte et au moment de l'ouvrir, la porte se referma toute seule. L'homme perdu et effrayé recule sa main tremblante. Il relève la tête et aperçu une silhouette passer à toute vitesse sur la petite vitre de la porte.

« Qu'est-ce que c'était ? »

Il plisse les yeux pour améliorer sa vision, en même temps qu'il rapprochait sa tête de plus près, quand...



- N'y va pas ! chuchotait une voix derrière lui. Il se retourne de sursaut mais constate qu'il n'y avait personne.


- Qui C'était ? Dit le jeune homme, le corps tremblant et le rythme cardiaque accéléré.



- Qui est-ce ? Montrez vous ! Criait il.




Mais c'était le calme, le seul bruit que l'on pouvait entendre était sa respiration saccadée et les battements rythmiques que son cœur faisait.
Soudain, un grincements se fait entendre derrière lui, ce bruit était désagréable. Elle était semblable à celle d'une personne qui écrivait sur une surface en fer. Il se retournait doucement malgré la peur et les avertissements de son instinct. N'étant pas prêt à ce qu'il aller découvrir, ses jambes reculent d'elles-mêmes.


« Mais...? »


Il pouvait apercevoir une main qui était un entrain d'écrire quelque chose, sur la vitre depuis l'intérieur de la pièce à l'aide de ses griffes, paralyser par la terreur, il n'arrivait plus à bouger.

« Laisse le entrer! »


Voilà l'inscription finalement. Subitement, un autre son résonnait dans tout le bâtiment, jusqu'à lui donner l'impression qu'il allait percer ses tympans. Ce bruit intensément horrible ressemblait à une flûte très mal jouée. Chaque fausse note était une torture qui allait le rendre fou. Sous la douleur, il s'assoit à croupir les mains qui recouvraient ses oreilles.

- Arrêter ça ! Grimaçait son visage de souffrance.

- S'il vous plaît! Stop c'est horrible ! Il hurlait à nouveau les yeux fermés.

- Aaaaaah! Stoop!

Puis subitement, tout s'arrête.

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𝙴𝚝 𝚜𝚒 𝚌'𝚎́𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚛𝚎́𝚎𝚕..[𝙱𝚎𝚜𝚝 𝚙𝚊𝚛𝚝 𝚘𝚏 𝚖𝚎]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant