Chapitre 59 : Nos Derniers adieux ..

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~~◦°˚⌊⌋𝙴𝚝 𝚜𝚒 𝚌𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚛é𝚎𝚕?⌊⌋°˚°✬~~
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[ PDV de Xiao Zhan]

Mes mirrettes s'ouvrent d'un fragment de seconde, remontant et descendant d'un rythme rapide, la respiration comme sortie d'un apnée qui n'avait que trop duré. Le blanc englobait l'entièreté des lieux, il ne fallut une seconde que je reconnaissais l'endroit. Ce silence abyssal, l'odeur âcres et humide rappelait la mort. Comment oublier ? Une expérience où l'on ne souhaiterait même pas à son pire ennemi.
Mon abdomen était intacte, il n'avait aucune blessure par balle, je n'étais définitivement pas mort mais étais-je vivant pour autant ? J'hurle des noms qui me venait en tête sachant tant bien que c'était inutile, l'écho de ma voix me revenait sans aucune réponse. Je marchais des centimètres à la suite, des pas imaginaire, puisque que je suis toujours au même endroit. Aucune existence dans ce néant! Désespérée, s'écroulant sur le sol, je voulais abandonner.

– Autant mourir qu'une telle torture, je marmonne.

Qui sait ? si c'est peut-être déjà le cas. Le sentiment de ressemblait à un enfant défaitiste ne me fit lutter, je suis resté vautrer pour ruminer ma contrariété. Le paradis blanc que les croyants ventaient tant n'était peut-être pas ou je me trouvais, celle-ci était l'enfer, l'endroit que je croyais considérer ne méritait pas. Faut croire que je me suis trompée. Ma tête déblatérait à s'en fatigué des pensées qui ne faisait qu'augmenter ma frustration.

– Je ne peux pas mourir ici, sans même savoir si Yibo est saines et sauf, je rouspète comme si je pouvais changer quelque chose.


– Zhan! une voix m'appelle.

Cela m'a remis sur mes deux jambes hallucinant par sa présence. Wei Wuxian était debout devant moi de son costume noir, le ton affable. C'est comme un moment de déjà vu. De la compagnie me rassurais mais je m'interloque sur la raison de sa présence ici. Depuis combien de temps il se trouve dans ce lieu? La solitude que procréait cet endroit était assez fort pour conduire à la paranoïa, j'espère me trompais et que l'explication soit tout autre. Wei Wuxian est le diantre qui fut encombré d'être seul tout sa vie, si part ma faute il dû revivre cette éventualité, ce serait injuste.


— Tu étais ici tout ce temps ?

– Oui! Il réponds quelques peu restreint. Je dois t'avouer que les jours où les semaines, je ne sais plus trop, fut assez coriace. Pour autant j'étais persuadé que ça n'allait pas durer, et te voilà.

Cela devait être horrible! Comment lui dire que moi-même j'ignore la manière pour sortir de cette situation? je ne vois pas pourquoi ma venu changerait quelque chose. Le noiraud ne pouvait ôter ce sourire soulager sur sa besace qui ne faisait que me mettre mal, il s'approche de moi me louchant de manière insistante lorsqu'elles descendent à mon cou, celui-ci se volatilisa.

– Zhan le collier, exclame t'il de stupeur noire, lorsque ses doigts se posent sur l'objet, une sensation rapide électrisait nos corps. Une onde qui traversa ma colonne vertébrale jusqu'aux bouts de mes ongles.

– C'était quoi ça ? Je questionne.

— j'sais pas mais c'était comme si j'avais déjà ressenti cela.

𝙴𝚝 𝚜𝚒 𝚌'𝚎́𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚛𝚎́𝚎𝚕..[𝙱𝚎𝚜𝚝 𝚙𝚊𝚛𝚝 𝚘𝚏 𝚖𝚎]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant