Chapitre 1

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PDV : IDIS

1er tafe, je regarde la fumer se mélanger au brouillard de la nuit, d'ici on peut voir les étoiles briller et je peux la voir, je suis persuadé qu'elle est là pour me protéger et pour veiller sur moi. Un bruit m'extorque de mes pensée, des pats, je décent la tête pour regarder qui s'approchent devant moi et grâce aux lumières colorer qui provient de la maison je peux apercevoir la silhouette d'une fille, plus elle s'approche de moi plus j'arrive à reconnaitre les traits de son visage, je la connais mais n'arrive pas à mettre de nom sur ce visage. Elle s'approche encore et me demande une cigarette, je porte la mienne a mes lèvres pour me dégager une main et sort mon paquet de ma poche et lui tant. Elle le prend une cigarette avent de me le rendre, elle s'allume ça cigarette et se pose contre le mur a cotée de moi. Nous continuions de fumer en silence, elle la fini avent moi et quand je jette mon ego par terre pour l'éteindre elle réplique :

- Putain je déteste les vogues

- Mais si tu n'en voulais pas tu n'avais qu'a pas m'en demander dit-je en partant vers la porte pour rentrer.

D'un pas déterminer je me dirige vers la maison mais une main me rattrape et en quelques seconde je me fais plaquer contre un mur. Je me tourne vers l'inconnu et croisa sont regard qui faisaient des allers-retours entre ma bouche et mes yeux. Je sens la tentions monter et à ce moment-là je réalise combien j'ai tellement envie de l'embrasser, elle s'approche de plus en plus et mon corps réagie de plus en plus, alors dans un élan de je ne c'est quoi je ronds les centimètre entre nous et je l'embrasse, d'abord surprise elle amplifie le baise et je sens sa langue qui essaye de se frayer un chemin jusqu'à ma bouche. Je ne résiste pas et je me sens guidée par l'alcool qui coulent dons mon sang. Nous continuions notre baiser encore je ne sais pas combien de temps. S'entent des mains remonter le long de mon haut pour venir toucher le bord de mon soutif, je prends l'inconnu et la dirige à l'intérieur de la pièce où nous somme toutes les deux sorties auparavant. je pousse les affaire du bureau puis inconnu me prend par les jambes pour me poser sur celui-ci. Elle continue à infiltrer ses mains sous mon haut et je la laisse faire. Je ne couche pas aussi facilement d'habitude mais la c'est différent. Elle continue ses gestes et commence à m'embrasser dans le cou tout en tirant les bretelles de mon soutif, elle passe ses mains dans mon dos pour le dégrafer et commence a descendre le long de mon cou puis le long de mon buste pour arriver a ma poitrine, je pousse en soupire en s'entant ces baiser et elle continue petite a petite a descendre encore le long de mon ventre pour arriver au bouton de mon jean quelle déboutonne avec lenteur et tout en me fixant. Une fois le jean tomber au sol et retourne à ma bouche pour m'embrasser, je passe mes mains sous sa robes moulante qui lui fais par ailleurs un corps magnifique et sa robe qui rejoint bien vite mon jean et mon haut. Je prend un petite temps pour l'observer et je lui donner ma place sur le bureau, je descends lentement le long de sont corps pour arriver a sont string que je fais glisser le long de ces jambes sens la quitter du regard. Je commence a approcher mon visage ce qui a le dont de la faire soupirer, me mais a genou devant elle et commence a faire des va et vient avec ma langue. Elle lâche des gémissement de plus en plus fort et je réalise que dans la précipitation nous avons oublier de fermer la porte je me lève et fermer la porte, le temps que je revienne elle était déjà debout devant moi puis dans un geste brusque me soulève est me mais sur le bureau a la place ou elle était il y a quelle seconde et échange les rôles. Cette fois c'est moi qui manque de crier mais elle me retient en plaquent sa mains sur ma bouche pour remonter vers moi pour m'embrasser et continuer dans mon cou me faire un suçons. Au moment où elle s'est détachée de mon coups je prend son menton entre les doigt pour la forcer a me regarder dans les yeux et lui demande :

- Tu t'appelles comment déjà ?

-Je ne sais pas ma belle tu peux m'appeler comment tu veux, du moment que c'est adresser qu'a moi.

before diedOù les histoires vivent. Découvrez maintenant