before died

Chapitre 10

PDV : MALO

La sonnette de chez moi sonne, ce qui est bizarre c'est que je n'attends personne. On est mercredi soir et mes parents se sont absenté pour une soirée en amoureux.

Un peu parano par les nombreux films d'horreur que j'ai pus mater enfant (beaucoup trop tôt d'ailleurs) je me précipite vers la cuisine.

Avec le temps a passé tout les deux dans cette grande maison et a nous inspirer de tous les films et série que nous avons vue, un plan précis a étais mis en place avec mon frère :

1. fermer toutes les fenêtres et porte à part une mais rester en dessous cacher

2. un de nous va voir dans l'œil de la porte (je suis tout seul je vais devoir me sacrifier)

3. Si c'est un inconnu, on prend nos nerf et ont se cache sous la fenêtres non fermer a clé.

Malheureusement pour moi je suis seul et les nerf ont étais vendu depuis longtemps, c'est pour cela que je me trouve dans la cuisine a la recherche de se qui peut me sauver (un peu plus que les nerf), un putain de Couteau. Une fois mon arme trouver je me précipite sur toute les ouverture à l'extérieur possible et imaginable de la maison.

Pendant que je me précipite dans les escaliers pour monter fermer les fenêtres de l'étage la porte sonne encore une fois mais la personne de l'autre côté et très très presser.

presser de me tuer ? je me force à faire taire mon de cerveau de parano et avance.

Les coups continus et un éclat de voix que je ne connais pas se fait entendre ce qui fait palpiter mon cœur de plus belle. J'essaie de descendre les escalier sens faire de bruit mais la maison en a décider autrement, j'ai l'impression que plus j'avance, plus la maison fait du bruit, mon couteau toujours dans mes mains j'avance doucement vers ma porte, plus mon visage se rapproche de troue plus mon cœur bats dans ma poitrine.

Mais quand je pose mais yeux sur ce qui se trouve derrière cette porte de suis tout suite rassurée, les sourcils froncé Alex me regarde de travers. Un long souffle s'échappe de mes lèvres et je tourne enfin la clé dans la porte pour lui ouvrir.

Il na même pas le temps d'ouvrir la bouche que la mienne et collé a la sienne. Ces lèvres m'avaient tellement manqué... bien sur je ne lui dirais jamais.

Depuis que Idis nous a remonter les bretelles lundi, ont à décider de ne plus se voir pour nos petits moments en priver (c'est-à-dire dans le placard à balai très romantique).

Quand nous nous décollons enfin il me regarde de haute en bas et bloque au niveau de ma main.

-pourquoi tu a un couteau ! cris-t-il avec les yeux écarquiller

Un rire m'échappe, suis-je s'enserre dire la vérité qui est que je suis une grande flipette et que j'ai tout fermer chez moi par ce que j'ai entendu la porte sonné ? je suppose que oui.

-j'ai eu trop peur quand j'ai entendu sonner, comme je n'attendais personne. C'est aussi pour ça que j'ai pris du temps a t'ouvrir, j'ai fermé tous les fenêtre et porte de la maison. Avoue-je un peu gêné en me grattent la nuque.

Cette fois si c'est à lui de rire. Je c'est que ne n'est pas un rire moqueur, juste je pense qu'il ne s'attendais pas a ça.

-bon je vais le reposer avent de faire une connerie.

-oui c'est mieux pour notre sécurité vue comme tu es adroit dit-il avec un sourire, que je lui rends instantanément.

Une fois arriver dans la cuisine et le couteau reposé je lui demande.