The California's bikers

Chapitre 5

Je ne sais pas quel heure il était, ni si j'étais ici depuis longtemps. La dernière chose dont je me souvient est que je m'en allait porter plainte chez les flics avant que 2 personne je crois, me mettent un tissu sur ma bouche.

Je me suis endormi après ça...

Et maintenant je me réveille enfin dans une sorte chambre en assez mauvaise état, et pour combler le tout, la chambre est très peu éclairé et je ne vois donc pratiquement rien. 10 minutes après j'essaya enfin de me lever mais je remarqua que un de mes poignet était menotté au lit. J'ai beau tirer dessus, je n'arrive quand même pas à me libérer.

Quelque minutes plus tard j'entendis des pas se diriger vers la chambre ou je suis. La porte de déverrouilla et je tomba sur un grand tatoué, cheveux  brun mi-long, assez musclé, plus que Jacob.

Bizarrement je n'avais pas peur.

Sûrement parce que je savais que Jacob était derrière tout ça. Même si cela me mettais en colère.

-Désolé pour ça, commença t-il, je m'appelle Alex, le meilleur pote de Jacob pour être précis!

Étonnamment, il n'a pas l'air aussi effrayant qu'il en a l'air.

-Jacob ne va pas tarder, je suppose que tu es assez intelligente pour comprendre qu'il est derrière ça, dit-il. Mais il a raison, tu mets notre en club en mauvaise position si tu racontes ce qui s'est passé.

-Mais vous êtes tous des assassin ici enfaite! Ce que vous faites est illégal, et, il a tué une personne devant mes yeux! Et je continua en disant, de plus on va se rendre compte que je ne suis plus là!

Donc maintenant je devais resté ici pendant je ne sais combien de temps seulement parce que j'allais dénoncer des meurtriers et peut être pire! Qui sait!

-Ne t'inquiète pas pour ça, on a tout prévus pour le moment. Jacob ne sait pas encore ce qu'on va faire de toi.

-Tuez -moi au pire, on est plus à ça près!

Je sentis des larmes couler sur mon vissage. C'était trop pour que je puisse encore rester dans un état correct.

-Laissez moi partir, je vous en supplie je dirais rien!

-Malheureusement je t'ai déjà laissé une chance, dit une voix plus rauque.

Jacob.

Il avait un œil au beurre noir, je ne suis même pas étonné de le voir comme ça.

-T'es supplice ne te seront d'aucune utilité car tu ne partiras pas d'ici avant que je le décide. Alex, laisse moi avec elle s'il te plaît.

Je n'avais vraiment plus aucune chance de sortir d'ici. J'étais fini, chaque fois qu'il se passe quelque quelque chose de bien dans ma vie, il faut que cela soit détruite par quelconque élément de ma vie.

J'avais enfin trouvé une amis qui maintenant ne s'occupera sûrement plus de moi, ou ne sera pas là pour moi.

Je m'étais promise de ne plus m'attacher a quelqu'un...

Merde! C'était censé être un simple club de motard normalement non?

Je ne pourrais même pas validé mon année si je reste coincé ici. Et qui sait si je serais capable de la finir un jour...

-Tu auras le droit à 4 pose toilette et tout ce que tu veux à mangé, fait le juste savoir à Christ, dit Jacob. Je veillerais sur toi la plupart du temps mais moi j'ai des études à finir si je veux passé le plus inaperçu.

-Je ne veux pas de nourriture je veux sortir d'ici, dis-je.

Quelque seconde plus tard, j'aperçus un flingue près de la cheville de Jacob, et dans un geste rapide je m'en empara.

-Ne bouge pas ! Lui criais-je.

Mais le seconde d'après je sentis un autre pistolet posé sur ma tempe.

-Pose-le chérie, tu veux? Je sais que tu en ai pas capable, je n'ai pas envie de tuer quelqu'un, ni de jouer le mafieux. Il enchaîna en disant, j'ai déjà assez d'enmerde comme ça.

Il décida de m'attacher l'autre poignet sans que je puisse y placé une et décida de me laissé avec Christ, un mec moins musclé que Jacob avec d'assez beau cheveux blond.

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Le lendemain

Je me réveilla en sursaut après avoir entendu des bruits de tir, ils se faisaient attaquer et j'espérais bien que ce soit les flics mais je sentais des bruits de pas s'approcher de la porte ou je me trouvais et 5 secondes plus tard un type tatoué de partout surgissait dans ma chambre flingue pointé vers moi.

Meme si je ne connaissais rien en biker, je savais que le gars n'avait pas le même logo sur son cuir que Jacob. Je commença donc à paniquer. J'essaya de me libérer mais avec ces menottes qui me faisait mal, j'étais incapable d'aller quelque part.

Il s'approcha de moi toujours le flingue pointé sur moi et je supplia que Jacob débarque ici malgré les tirs qui se faisait toujours aussi nombreux dehors.