LA FAUCHEUSE

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ALEXEI

Aéroport de Chicago, 21h26.

24h dans une foutu journée ,1440min pour être plus précis.
Et pas une seule seconde, je n'ai pas pensé à la soirée d'hier.

BORDEL QUESQUI MA PRIS!

Mais je ne supportais pas ses regards malsain et sa main sur sa peau.
J'étais dans une rage folle comment oses-il salir cet ange. Mon ange.

Il a osé l'insulter, elle qui est si pure personne ne parlera d'elle comme ça .
Je n'avais plus le choix.
Je devais buter cette merde,
J'aurais tellement voulu lui faire bien pire.

Je suis arraché de mes pensées noires par Sergei, mon bras droit.

- Tu repense encore à la soirée d'hier ? me dit il avec un regard accusateur.

- Bien sûr que non. je répondis avec un grognement et des éclairs dans les yeux.

Sergei a toujours su lire en moi comme dans un livre ouvert.
Ça m'agace au plus haut point.

- J'ai reçu un appel de Nox, il a trouver la taupe.

Enfin! je vais pouvoir me défouler et me vider l'esprit.

- Qui? je lui demande avec animosité.

- Nicolo Vitalei... Nox a retrouvé des dossiers appartenant à la Bratva dans son ordinateur privée. Et il a réussi à intercepter des messages entre lui et La Cosa nostra.

BANDE DE FILS DE PUTE DE SICILIEN!
Il pense pouvoir me baiser, MOI ! ALEXEI MILOVIÇ !

- Demande aux hommes d' allé rendre une petite visite à Nicolo chez lui.
Qu' on me l'installe dans la salle rouge. je lui ordonne entre mes dents.

- Bien, Pakhan.

17h49 , Domaine de la rose noire, Moscou, Russie.

Je ne perd pas de temps. Je me dirige directement vers l'entrée des cellules.
Mon endroit préféré, où je peux laisser place à ma créativité et à toute ma haine.
J' ouvre la porte et constate que mon invité m'a reconnu. je lis de la peur dans ses yeux, non pire que sa de la terreur.

- Alexei je t' en supplie, je n ai rien fais. me dit il en pleurant.

Je m' approche lentement de lui en le fixant dans les yeux.

- Mon cher Nicolo, sais tu ce qu'il arrive aux traîtres ?

Il me regarde avec panique et pleure encore plus fort que précédemment.
Quesque je déteste les gens faibles.

- Tu vois Nicolo tu as deux options qui s' offre à toi.
Soite tu meurt à petit feu dans d'atroces souffrances.
Soite tu me donne les noms de tous tes complices.Et je permettrait peut être que tu es une mort rapide et sans douleur.

LE DERNIER BAISER DE L'ANGE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant