LE DERNIER BAISER DE L'ANGE

LA RENAISSANCE

Angelina

2 semaines plus tard , domaine de la rose noire.

Cela fait deux semaines que je suis enfermé dans cette chambre.
Mes seules visites sont Mariska et Alexei.

Giulia me manque tellement, je veux retrouver ma vie d' avant.
Même si je sais que c'est impossible,
je suis rentré dans un monde sombre et le seule moyen d'en sortir c'est la mort.

Alexei venait souvent me tenir compagnie et discuter avec moi.
S'excuser encore et encore.
Mais sa seule présence dans la pièce me donne la chair de poule,il me dégoûte.
Je veux voir sa tête sur une pique.

J'ai appris qu'il avait relâché ma mère et Ania.
Mais Anastasia n'a pas eu cette chance elle est dans un coma depuis quelque semaine causer par la douleur de ses blessures.

ILS LUI ON TRANCHÉ UN DOIGTS PUTIN !

Sans compter toutes les entrailles et tout les coups qu'elle a reçu.

JE NOUS VENGERAIT !

Il y a deux semaines j'aurais pu baisser les bras me laisser mourir dans ce lit.
Mais quand j'ai vu Anastasia allongé dans ce lit comme une morte.
Je me devais de me battre pour elle,pour nous et pour toutes les autres qui subissent ça.

Je serai le poison qui exterminera la mafia.
Je fais le serment que je détruirai Pierre par Pierre l'empire de la Bratva et emmènerai Alexei Miloviç avec dans sa chute .

Je suis tirée de mes penser par Alexei qui viens m'apporter mon déjeuner.
Comme à mon habitude je ne jette même pas un regard, ni un mot.

-Tu devrais manger plus, tu as perdu beaucoup de poids. me dit il

je lache un rire jaune entre mes dents.

-A qui la faute ? Je pense que tu es à l'œuvre de ceci. Je lui crache ses mots au visage comme du venin.

je vois la tristesse dans ses yeux.
Je sais qu'il regrette.
Il ne dort plus, il ne mange plus.
Mais ça m'est égal.
Je suis une coquille vide.
Et plus jamais je lui accorderai ma confiance.

- Je veux récupérer mon téléphone et rentrer chez moi.
au Michigan.

Il était hors de question que je reste dans cette maison où même dans ce pays.
Mais je ne rentrerais pas au Michigan j avais d autres plan.
Mais sa il n a pas besoin de le savoir.

- Tu ne peux pas... me dit il dans un murmure.

Folle de rage je me lève d'un bon, lui fait face et le regarde droit dans les yeux.

- Pour qui prends-tu pour me dire ce que je peux ou pas faire ?
Je sortirai de cette maison que tu le veuilles ou non.