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Une fois hors de l'appartement je prends quelques coups d'air fraîches.

Je ferme les yeux pour me calmer mais une main se pose sur mon épaule soudainement ce qui me fait sursauter.

« Tu fais quoi ici? » me demande Jungkook.

« Tu fais quoi ici? » me demande Jungkook

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(Imaginez-le sans masque svp.. )

« Qu'est-ce que tu fo* là? » dis-je surprise. « Comment tu sais que je suis venue ici? »

« J'étais juste curieux, j'ai placé un dispositif de pistage sur ta voiture. » dit-il sérieux.

« Dégage. » dis-je sec.

« Je ne veux pas. » dit-il en croisant ses bras.

« C'est pas à propos de BangBang donc dégage. » dis-je froidement.

« Je ne veux pas. » dit-il en affichant un sourire.

« Conn*rd! » dis-je énervé.

« Oui c'est moi. » dit-il insistant.

J'appelle le responsable de l'appartement pour regarder les enregistrements de la caméra en 1999.

Il me convoque directement sachant que je suis police.

« Bonjour. » dit-il en nous accueillant avec un sourire dans une salle sombre illuminée juste par l'écran de l'ordinateur.

« Bonjour, c'est Lee Na Eun. » dis-je en montrant mon badge de policier. « Je voulais regarder les enregistrements de cette appartement la soirée du 20 décembre 1999. »

Le meurtre s'est passer en face de l'appartement, le convenient store se situait en bas de la rue.

« Oh.. 1999? Je pense qu'en l'an 2000, les enregistrements d'avant on été supprimé. » dit l'homme le regard baissé.

« Comment ça?? Sachant qu'il y a eu un meurtre ils ont quand même détruit la seule preuve?? » dis-je énervée.

« Ce n'est pas moi, le responsable d'avant a décidé de les supprimer suite à un ordre donné. Je suis désolé. » me dit le pauvre homme.

« Aish!! » dis-je en donnant un coup sur la table.

« Viens, on regarde autre part. » me dit Jungkook en me poussant vers la porte par les épaules.

« Lâche-moi! Je peux aller seule. » dis-je en le repoussant.

Je sors de la salle puis nous nous rendons à plusieurs magasins qui sont aux alentours qui peuvent attraper une petite image au moins de ce sauvage.

La nuit tombait, et les magasins fermaient leurs portes. La route avait prit beaucoup de temps, je n'ai pas pu venir plus tôt.

Je n'ai toujours rien mangé, je ne voulais pas. Je ne le mérite pas.

Monsieur l'agent JeonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant