Chapitre 1

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AKASHI KEIJI

> Je me réveille avec le plus gros mal de tête que j'ai connu depuis des années. J'avais été forcé d'accompagner Atsumu en boîte de nuit hier sous prétexte que « ça m'aidera à l'oublier ». J'avais malgré moi accepté espérant au fond de moi que le faux blond est raisons. J'avais tord. J'ai passé la soirée à me bourrer la gueule devant un Sakusa qui étais à de doigts de se la foutre dans Atsumu en public. D'ailleurs ça a peut être eu lieu mais je n'en ai plus aucun souvenir.

Je sais pas comment je fais pour me lier d'amitié avec Miya Atsumu sont frère étant pourtant plus mon style d'ami mais j'en ai quand même fais mon meilleur ami et ce depuis le lycée. Comme on dit les opposés s'attire et malgré sont comportement enfantin je ne pense pas que j'aurais surmonté la... le départ de Bokuto sans lui.

(NDA: y'aura pas UNE histoire (concernant haikyuu) sur mon compte qui n'aura pas un Atsumu important dedans. Donc ce qui n'aime pas... vous pouvez prendre la porte ou alors ça vous dérange pas et dans ces cas là 🫶🏼 sur vous. Nan en vrai prenez pas la porte lisez quand même, je veux pas passer du temps à écrire pour que ça plaise pas ;-;)

Je descend de mon gigantesque lit mezzanine, met mes chaussons pour éviter à mes pieds le froid du carrelage et me dirige rapidement vers la cuisine. Je me rempli un verre d'eau que j'englouti d'un traité avant d'en reprendre un deuxième avec lequel j'avale un Doliprane 1000. Un frisson me prend alors et je remarque que la fenêtre de mon petit salon est grande ouverte. Je me dépêche d'aller la fermer, un homme marche d'un pas lent vers la supérette. Un grosse touffe de cheveux noir se tient aplati  sous une casquette San Francisco et se yeux sont couvert par une paire de lunette. On dirait un homme rechercher par la police. Je me dis alors qu'un deuxième frisson me parcours.

Après cette étrange scène je me dépêche de refermer ma fenêtre et de rejoindre ma chambre qui a, elle, préservé la chaleur de mon sommeil. Moi qui comptais m'habiller pour aller faire quelques courses je le retrouve finalement allongé dans mon lis toute l'après-midi jusqu'à ce qu'Atsumu m'appelle en me demandant de le rejoindre chez lui. J'accepte malgré moi et me dépêche d'enfiler un jogging Panzeri noir accompagné d'un t-shirt Element blanc. Je met mes chaussures et prend une veste au cas où une brise gelé déciderais de se pointer et me dépêche de sortir de mon appartement que je ferme à double tour de clé.

J'étais arrivé à la station de tramway avec 5 minutes d'avance m'étant informé des horaires. Je n'ai jamais pris ce métro à cette heure la, je me dis en mettant mes écouteurs pour écouter un peu de Benjamin Alec.
C'est une étape à ne pas ignorer lorsque je m'apprête à aller voir Atsumu semble avoir un vers dans les fesses.

Le tramway arrive enfin et je me dépêche de rentrer dedans tout envoyant un message à Atsumu pour prévenir mon arrivé dans 10 minutes. Je relève alors la tête et regarde autour de moi, étonnés du peu de monde présent dans le tramway.
Une sueur froide se fais sentir sur mon front quand je vois à coter de moi, l'homme couvert de la tête au pieds de la supérette. Je ne peux le certifier du fait de ses lunettes mais je suis quasiment sur qu'il me fixe et ce sans aucune discrétion. Je fais semblais de ne pas le voir pendant deux arrêts, concentrer du mieux que je peux sur ma musique ce après quoi il se décide enfin à sortir.

Une personne normal serrais sortie du tramway et parti sans plus attendre. Lui, cette homme la s'est retourné face à la porte et alors que la porte se fermais, je croise pour la premier fois son regard. Ses grand yeux d'or posée sur moi comme si rien n'avait changé. Je cours vers la porte mais c'est trop tard le tramway s'éloigne du quai et je me retrouve seul face à mon reflet. Suis-je fou ? Je savais que ce rêve irréalisable de le revoir est stocker en moi comme l'alphabet mais jamais une imagination ne m'a paru aussi réel. Jamais je n'avais croisé son regard, jamais depuis qu'il étais parti je n'avais revu ses grand yeux d'or.

Je descend par automatisme à l'arrêt suivant me forçant à croire que j'ai rêver, que l'alcool qui n'a pas quitté mon corp me joue des tours. Mais l'image est nette dans mes tête, je ne vois que ça, que ses yeux..

- Kash' ? Tout va bien ? Osamu dis que ça fait dix minutes que t'es planté devant la porte. je sursaute en entend la voix d'Atsumu n'ayant même pas remarqué mon arrivé chez les Miya.
- Euh. Ouais, j'étais ailleurs désolé! Je lui répond, toujours secouer par les événements.
- Je sens que t'as des choses à me raconter!! Il dit d'une voix plus excitée que celle d'un enfant de cinq ans venant de recevoir sa petite voiture de rêve.

Je le suis donc dans sa chambre saluant évasivement Suna et Osamu. Je pose mon sac au coin du lis d'Atsumu et m'allonge en étoile de mère sur sont lit.

- Je crois que j'ai vu Bokuto. J'annonce enfin.

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895 mots

C'est un chapitre très cours qui sers à vous mettre dans le bain de la suite! J'espère que ça vous a plus car c'est le début d'une nouvelle fanfiction comme vous l'aurez probablement devinez!

A bientôt! 🧡
Elena

Everything you never had - bokuaka(fr)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant