Plus que toute attente.

1 : Eria

Je suis assise devant mon bureau, vérifiant chaque contrat que j'ai sous les yeux.

Vous devez vous demander quels genres de contrats ?

Eh bien c'est pour des têtes.

Je suis une tueuse professionnelle et chef de la plus grande mafia de drogue d'Europe les autres mafia n'ont pas l'étoffe. J'ai tout le gouvernement, les flics et une partie civile dans les poches. Sans compter toutes les entreprises légales que j'ai : 3 hôpitaux, 7 crèches, 5 écoles de tout niveau et plus encore.

Ça va faire 7 ans que je suis mon propre patron.

Bien sûr, je tue qui je veux, mais là majorité des gens que je tue c'est pour des contrats ou des enemis. Des gens sont horribles, ils utilisent les femmes et enfants, où ils les vendent ou d'autres choses répugnantes. Personne ne peut faire tout ça sur mon territoire, ni le trafic d'humains, ni la vente de drogue. Et je compte m'étendre encore.

Généralement, c'est un membre de la familles des cibles qui font des contrats contre mes cibles. Et ça paye bien. Même si je montre pas temps que ça mon argent -c'est pas mon genre de me venter-.

Actuellement, je trie les contrats par date et dangerosité.

-Eh regarde ! Il y a le frère de m'sieur connard Renev ! Lit le contrat pour voir s'il sont pareils pour ses horriblités ! Sara vient de parler, encore dans ma tête.

Ma jambe commence a tressautée violemment sous le bureau.

-C'est vrais ça ! Eria, tu savais qu'il avait un frère ? Erine maintenant..

Ma vue commence a se brouiller.

-Lis ça ! "Florent Renev, meurtres et violes sur femmes, il est nécrophile". Aaaaah beeuurk. Sara.

Ma respiration s'accélère.

-Ta gueule Sara, tu donnes mal au crâne !

-Mais non Erine !

- Vos gueules putain !!!

-Rohlala du calme la folle. Crache Charline qui parle peu sans son venin envers moi.

-Non je me calme pas ! Vous êtes dans ma tête et vous gueuler comme des piafs ! Vous cassés les couilles sérieux !

Et voilà.. mes altères se taisent. Je commence a faire des exercices de respiration pour calmé ma crise d'angoisse lentement.

Maintenant que je me suis calmée, je reprends mon travail. Florent a une réception demain, je devrais est préparé en chic et me faire passer pour une donatrice de donc pour soi-disant les orphelins. C'est fou ce que les connards comme ça font pour avoir de l'argent.

Un rire s'échappe de ma gorge. Un rire qui s'arrête sec en vue de la colère qui remonte.

Quel connard. Il fait croire qu'il est bienveillant mais c'est un voleur, assassin, violeur et par dessus tout un putain de nécrophile de merde.

Pire que mon ancien tortionnaire.

J'attrape ma tasse de café brûlant, un café noir sans sucre. Je bois la dernière gorgée puis me lève de mon siège, laissant la chaleur du cuir s'éloigner de mon dos et les cuisse.

Je contourne mon bureau, puis me dirige vers la porte de sortie de la pièce a grande enjambées. La porte doté d'un capteur de mouvement s'ouvre, je sort et ma dirige vers une petite boîte avec un clavier pour y mettre mon mot de passe afin que la porte ne s'ouvre pas avant mon retour.