Il était un jour, un jour comme les autres, un garçon d' à peu près 19 ans nommé DJOUNA . Comme d'habitude, sortant de l'école , il allait dans un resto nommé : Resto-Bongo, son plat préféré était le pilawou ( plat comorien ). Il commande quand il voit une jeune demoiselle entrant du resto ( coup de foudre pour le garçon ).
Quant à la fille accompagnée par un homme costaud qui s'est avéré être son garde du corps surnommé BÂBA . Elle commande à son tour le même plat . Ils mangent jusqu'à ce que le garçon termina son repas . Il ne cesse pas de river ses yeux à la fille et voilà qu'elle remarque qu'elle était observée, cependant elle tourne l'attention du jeune garçon en lui faisant coucou des mains ( cœur qui bat 1000 fois par seconde pour le garçon ). Il est dépassé par les émotions, répond en retour et là par sa maladresse , BÂBA le garde du corps remarque la discussion . Cependant , sans aucun ordre, BÂBA fonçant sur DJOUNA ( il le cri dessus ) t'avises jamais à lui parler sal mendiant. Quant à elle , en voyant cette scène , a eu pitié de lui . Quant à DJOUNA , baisse la tète et sort du resto ( désolé ) . Le chef ( énervé ) sachant que DJOUNA est l'un de ses clients quotidiens , chasse la fille et BÂBA .
DJOUNA , se trouvant dans son lit , repensé et repensé , de cette humiliation .
Le lendemain , en sortant de l'école , DJOUNA , s'est renseigné sur la fille et s'est avérée être la fille du ministre . Ses espoirs un à un ne devenaient que des chimères . Ce temps là , Anissa sort de la maison vers le resto , pour voir si , elle va trouvé , le jeune garçon , mais en vain , elle ne le trouve pas et laisse une message au chef pour lui transmettre .
Deux jours passèrent sans allé au resto . Deux jours plu tard ( suffisant pour qu'il oublie cette scène torride ) retourne au resto comme d'habitude , commande son plat et termine , voulant partir, le chef lui remit le message qui disait : << Chère garçon , sache que je regrette amèrement ce qu'il s'est passé l'autre jour , je n'ai jamais voulu te faire de la peine et je suis désolée si j'ai été blessante . C'était mon garde du corps , en quelque sorte , il pensé agir pour la bonne cause . Et je tien beaucoup qu'on se rencontre face à face si tu veux bien sûre . Chaque jour je t'attendrais au parc des amoureux à l'espoir de te revoir . Merci !! ( rit aux éclats ), le chef demande ( avec un air joyeux ) que ce passe-t-il ? J'ai gagné au loto ! Répond-t-il .
En arrivant chez lui , prend une douche , met ses parfums , ses beaux habits , allant au rendez-vous , et revoit ses espoirs plus que jamais réalisable , trouve son amoureux éternel assise sur un banc , croisant les pieds , admire le couché du soleil avec une livre dans ses mains et lui dis ( avec tendresse ) : << Bonsoir >> , bonsoir ! Répond-t-elle ( avec joie ).
Ils s'assoient chacun gêné par l'autre , une minute de silence . Et là DJOUNA demande à ANISSA , que penses tu de
cette vie ? Et lui répond : cette vie que je suis la fille du ministre , il ne saurais m'imaginer avec toi , c'est pas pour te minimiser mais c'est pour te dire que mon père en le connaissant ne vas pas voir cette relation au bon œil . Non ! Sursaute DJOUNA , je vais lui parler . Elle lui calme et reprirent leur discussion tout en admirant le couché du soleil jusqu'à ce que la fille penche la tête sur son bien aimé et se mit lui aussi à son tour à cligner légèrement les yeux jusqu'à ce qu'ils soient toutes les deux endormis .
Quant à la situation à la maison , l'absence de leur fille semble causée de problème pensant le pire .
Ils sortent ( le père et BÂBA ) allant chercher ANISSA , fouillent aux endroits qu'elle aimée aller jusqu'à ce qu'ils les aperçoivent au parc , trouvant sa fille dans les bras d'un type , il se précipite et l'arracha des bras . DJOUNA fut surpris quand il se trouve dans les crochets du garde du corps et la fille avec son père . Le père qui accuse DJOUNA d'avoir voulu violer , kidnapper , traumatisé sa fille . BÂBA à son tour l'emmène au commissariat . Pendant ce temps là , le père embarque ANISSA ( attristée ) dans la Mercedes rentrant toutes les deux à la maison .
Au commissariat BÂBA et DJOUNA sont accueillis par un gendarme , avec les explications mensongères de BÂBA , le gendarme embarque le jeune garçon en le menottant . Quant à ANISSA , s'échappe de chez elle pour aller au commissariat et quand elle voit son adoré enchaîné , menotté dans une cellule , elle ne peut que verser des larmes . Elle s'approcha de DJOUNA , quand le gendarme la stop . ANISSA suppliant, le gendarme Mais en vain , il l'a rejetée totalement. Elle sort du commissariat restant assise dans les escaliers chagrinée, effondrée, émotionnée par l'emprisonnement de l'amour de sa vie .
Son père , à la maison , appelle BÂBA , le garde du corps d'ANISSA pour lui demander si sa fille était là-bas.
Une heure plus tard, sa mère débarque au commissariat et aperçoit sa fille attristée, les yeux gonflée par les larmes. Sa mère qui la lui demande : qu'éprouves tu de lui ? J'éprouve de l'affection , ce n'est qu'avec lui que je peux m'éloigner de cette vie d'une fille isolée ! Avec lui je me sens en sécurité. Il est si beau, si bon, si charmant, si timide, si motivé...
Mère je ne veux que lui , s'il vous plaît sortez le de cette enfer . Tu es sûre de ton choix ? Demande sa mère . Je suis sûre que jamais mère ! Répond ANISSA . Ton père qui voulait te marier avec le fils du maire . Non mère ! Je veux pas ! ( sursauta ) J'ai déjà trouvé mon amour et il est là entrain de souffrir . Ok ! Si c'est ton désir qu'il soit ainsi. Je vais voir ce que je peux faire.
Quelque minutes plu tard , rentrèrent à la maison. Le père furieux, voit sa fille et la donne une claque qu'elle n'est pas prête de l'oublier : comment peux tu t'égaliser avec ce type ? Non ! ( colérique ) il a un nom , c'est DJOUNA . Beaucoup de filles seraient fier d'avoir un ministre comme père. Non , père ! Je crois pas, vivre une enfer t'elle que celle-ci n'est pas le rêve que souhaiterait qui que ce soit.
De toute façon, il est en prison , tu seras épousé par le fils du maire . Jamais je n'épouserai personne à part DJOUNA ! Maman écoute moi , si vous ne libérez pas DJOUNA , je ferai en sorte que tout le monde disent que la fille de Mr le ministre a tuée le fils du maire . ( la salle reste bouche bée )
Après une minute de silence, le père sort de la maison, ANISSA monte dans sa chambre et la mère qui se trouve seule paniquée par la situation.
Le lendemain, le maire et son fils s'invitent à la maison, sonnent à la porte et c'est le ministre qui va ouvrir. À quelle honneur ? Demande-t-il. Nous sommes là pour parler du mariage. Ah oui le mariage, justement, sache que ma fille est très impatiente. Après une longue échange de paroles , ils supposent la date de mariage. Ils se saluent et puis s'en vont . Le père allant annoncé la nouvelle aux filles , mais quand il entre dans la chambre c'était trop tard, elles avaient toute entendu et partirent au commissariat libérés DJOUNA . Cependant, le père appel BÂBA pour qu'il le ramène au commissariat.
Pendant ce temps là, la mère enlève la plainte contre DJOUNA et fut libéré . ANISSA qui , folle de joie se jette dans les bras de son amoureux éternel , quand ils entendent le moteur du Mercedes , s'enfuient et la mère qui essaie de jouer l'héroïne en les donnant des fosses pistes mais en vain , BÂBA remarque la robe d'ANISSA de loin et les poursuis jusqu'à ce qu'il pointe son arme sur DJOUNA en disant : arrêtez vous sinon je tire ! Et continuent toujours à courir, BÂBA tire sans hésiter sur l'épaule du jeune garçon et c'est ainsi qui s'évanouit, quant à la fille tombe elle aussi dans les pommes en voyant cette acte ignoble . Alors que les parents sont loin , BÂBA veut s'innocenter et tire sur sa cuisse et jette l'arme . La mère et le père vont arrivés dans la scène et voient cette scénario et appellent une ambulance. Heureusement il y'avait un témoin qui a tout vu et accompagne les ambulanciers et les parents. Arrivés à l'hôpital, ANISSA se réveille mais elle n'a qu'un mot dans sa bouche : DJOUNA .
Après que la situation se stabilise, les interrogatoires commencèrent. Ils interrogent la fille et la fille raconte toute au long du débat la situation et rajoute : ils voulaient nous tué . Qui ? Demande le policier. Mon père et mon garde du corps ! Répond ANISSA . Maintenant c'est au tour de DJOUNA , il répond en disant que c'est le garde du corps qui lui a tiré dessus et là c'est à BÂBA de parler . Ils lui demande ce qui s'est passé : c'est DJOUNA qui voulait tous nous tué et violer la fille du ministre et en essayant de lui raisonner il était rapide et prit l'arme puis tire sur ma cuisse , il s'est tiré sur lui même à fin de ne pas le suspecter. Les policiers étonnés par sa prestation, c'est pas logique, comment un soldat comme toi , un costume, formé dans des camps militaires s'est retrouvé impuissant devant un faible si jeune que DJOUNA . Et enfin le témoin qui a tout dit sans aucune exception .
Cependant après l'analyse de l'arme , ils ne trouvent aucun ADN de DJOUNA et justifie son innocence.
Ils embarqueront le ministre et BÂBA . Ainsi le père est condamné à six ans de prison fermé et BÂBA sept ans et demi .
Une semaine après, le jeune DJOUNA sort de l'hôpital et sera accueilli dans la maison par sa future belle mère et dans la chambre voit ANISSA avec une robe de nuit transparente, DJOUNA tout excité commence à dire : Nous avons marché contre-courant , on a franchi des obstacles et même échappé à la mort , tellement notre amour est pure qu'il nous a rendu indestructible .
J'aime tout de toi , tu sais ? J'aime ta beauté, ta bonté , le désir de toi n'est simple qu'une vérité. Avec ton visage accoisant qui m'attire vers toi : JE T'AIME .
ANISSA à son tour : regarde moi droit dans les yeux et surtout enlace moi et donne moi un baisé .

VOUS LISEZ
Amour infernal
RomanceDJOUNA, un lycéen tombant amoureux d'un seul regard à la fille du premier ministre ( ANISSA ). Ainsi les deux jeunes amants, l'amour est réciproque. Mais une obstacle s'y oppose, le père de la fille essaiera de couper le lien. Mais malgré ses effort...