Je me réveille cette-ci fois dans mon lit mais je suis accompagné de mélia. Nous avons pris l'habitude de dormir ensemble, je me tourne vers elle et la regarde attentivement.
Mélia : la vue te plaît ?
Dit elle les yeux toujours fermésAria : elle est magnifique.
Elle ouvre les yeux, me regarde et me sourit avant de se redresser et de m'embrasser le front. Je frissonne à son contact et elle rigole. Je me lève et pars vers la cuisine, elle me suit.
Aria : mon père me manque.
Elle m'arrête en posant sa main sur mon épaule.
Mélia : je me doute aria, tu veux en parler ?
Aria : non, fin je pense pas.
Il se passe quelques secondes sans que l'une de nous parle avant qu'elle n'ouvre les bras.
Je m'avance et pose ma tête sur son épaule et elle m'enroule de ses bras.Je la lâche et pars dans ma chambre en courant presque.
Mélia: Aria ?
Elle se met à me suivre mais je ferme la porte avant qu'elle ne rentre dans ma chambre.
Je m'assois contre ma porte et pose ma tête sur mes genoux.
Pourquoi est ce qu'un simple câlin de sa part me fait autant d'effet..
Me demande-jeMélia: Aria, j'ai fais quelque chose ?
Mon cœur palpite en entendant sa voix..
Aria : non t'inquiète Je suis juste fatigué..
Mélia: je peux entrer ?
Aria : je..je sais pas. Après peut être.
Mélia: tout va bien ?
Aria :oui putain !
Dis je en criant.Je m'en veux d'avoir crié, elle ne répond pas, soit elle est partie soit elle est choquée.
Mélia: bien..
Dit elle très bas.Je lève la tête et des larmes commencent à couler, mais pas parce que je m'en veux, enfin..si mais pas que. Ça fais deux jour que je me retiens de pleurer.
Je ne suis toujours pas sortit de ma chambre depuis que j'ai crié sur Mélia, j'ai bien trop honte de lui avoir fais ça alors qu'elle tentait de me réconforter. Il est dix-neuf heure et j'entends la sonnerie. Je N'entend pas Mélia aller ouvrir j'y vais donc moi même. J'ouvre la porte, devant moi: un grand homme, habiller d'un jean noir, un colle roulé noir et une veste noir également, il a une capuche ce qui fait que je ne vois pas son visage, ça m'inquiète et je me recule légèrement de la porte.
L'homme lui s'avance et m'attrape le bras d'un coup sec avant de sortir quelque chose de sa poche, je n'ai pas la force de crié, prise de panique je ne réagis pas, seul mes yeux réagissenten se remplissant de larmes. Il pose une lame dans mon cou et trace un trait fin avant d'enfoncer son couteau dans le bas de mon ventre et de le ressorti. Je hurle de douleur et j'entends un gros bruit. Comme un coup de feu puis un deuxième et un troisième. Je m'éffondre de douleur au cou et au ventre; surtout au ventre je sens des mains se poser sur mon bras.Mélia : Aria.. aria ! Elle prend son téléphone et téléphone à quelqu'un, sûrement l'ambulance. Elle se rapproche de moi et se met à pleurer.
Mélia: mais c'est qui ?!
Aria: sûrement un mec qui était payé pour me tuer.
Je dis ça sur le ton de l'ironie mais je vois bien que ça ne fais pas rire mélia qui pleure.J'ouvre légèrement les yeux et remarque que l'homme qui va peut être causer ma mort est la, coucher à terre. Sûrement sans vie.
A peine deux minutes plus tard j'entends des sirènes et des policiers monter les marches devant la maison.
Police: c'est une urgence ! Blessure profonde proche de la carotide et une au niveau du bas du ventre ! Transférez la à l'hôpital !
Des hommes me déposent dans un lit et une femme commence de suite à soigner la plaie profonde.
Aria : mel..ia
Deux autres hommes vont chercher l'homme qui a tenter de me tuer.
Police : nous allons vous amenez au poste de police..
Mélia : c'était de l'auto- défense !
Je me met à pleurer, j'ai mal.. très mal.
Policier: c'est pas moi qui fais les lois madame.
Mélia : s'il vous plaît laissez moi venir à l'hôpital le temps de m'assurer qu'elle va bien et puis vous m'emmenez ou vous le souhaiter.
Police: bien..
Mélia monte dans l'ambulance avec moi et me tient la main.
Infirmière: madame, ne bougez Pas, je sais que ça va faire mal mais je vais devoir comprimé pour stopper l'hémorragie au ventre surtout qu'il a enlever le couteau et c'est très dangereux .
Mélia me prend l'autre main et l'infirmière appuie sur la plaie.
Je hurle et Mélia caresse ma main pour me rassurer. Une fois arrivée à l'hôpital il me prenne toute suite en charge. Mélia me suit mais elle se fait arrêter par un médecin.Je me réveil dans une chambre d'hôpital et Mélia est à côté de moi. Elle a sa main sur la mienne et la tête posée sur le lit ou je me trouve. Je tente de lever mon autre mais mais c'est bien trop douloureux de bouger ce coter de mon corps. Mélia lève la tête et se met à pleurer en me voyant.
Mélia : j'ai cru que tu étais morte !
Je souris et lui répond:
Aria : non je vais bien , enfin je crois ?
Mélia me sert.
Aria : tu vas aller en prison ? Mais il ne me reste que toi !
Les larmes coulent sur mes joues et Mélia les effacent avec son pouce.Mélia: normalement non ! Il ont fait des recherches et chercher dans mes dossiers je n'ai aucun antécédents ou cassier judiciaire. J'ai un bon avocat. J'ai juste une audience au tribunal et mon avocat m'a dit qu'au pire des cas je devrais faire quelques mois de prison et qu'il feront saisi de mon arme.
Je lui souris et elle fait de même.
Aria : je suis désoler de m'être énervée tout à l'heure. Je voulais pas c'est sortit tout seul.. mon corps change c'est étrange même mon comportement.. j'ai toujours été très réservée mais à toi je dis tout, quand j'entends ta voix je frissonne, quand on se fait un câlin aussi et quand tu m'embrasse le front également..
Mélia sourit et s'approche de moi, elle regarde mes yeux puis mes lèvres et repasse à mes yeux quelques seconde avant de repasser à mes lèvres. Je fais de même inconsciemment.
Mélia se recule un peu.
Mélia: j'ai.. j'ai envie de t'embrasser je crois..
Je souris.. je suis satisfaite de sa déclaration, je sais que j'en aie envie aussi.
Aria: moi aussi, Alors fais le.
Elle sourit et pose enfin ses lèvres sur les miennes, je sais qu'elle sourit car je sens ses lèvres s'étirer sur les miennes.
Elle s'écarte et continue de sourire je lui fais donc remarquer:Aria: on dirait un enfant qui vient de recevoir ses cadeaux de Noël
Dis je en souriant.Elle se tourne vers moi
Mélia: j'ai attendu ça depuis le jour où tu es entrée dans le bureau de ton père en mini short Aria !
Je rigole et lui fait signe de s'approcher. Ce qu'elle fait pour m'embrasser de nouveau.