II

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Moi: Qu'est-ce que tu m'as fait ?

Homme 1: Je t'ai injecté un anxiolytique t'inquiète pas je vais pas te tuer mais mon patron peut être.

Moi: Je vais..te....

Mes yeux commencent à se fermer et d'un coup plus rien...


Quelque heures plus tard

17:50

J'ouvre difficilement les yeux quand mon regard se pose sur un homme d'une cinquantaine d'année qui se tient devant moi. Il a des cheveux noir et courts ses yeux sont marron foncé, il a le teint noir et il est un peu grand de taille. Il porte un smoking noir avec des mocassins marron et un canne qui sert à être que pour son style car il a l'air de plutôt bien tenir debout.

J'étais allonger sur un lit, je regarde autour de moi et je remarque que je suis dans une chambre.

Je regarde l'homme qui me regarde avec attention et je le dévisage du regard j'essaye de me lever malgré mes difficultés pour aller ouvrir la porte mais malheureusement elle est fermé à clé.

Moi: Où suis-je ?

L'homme: Tu te situe chez moi.

Moi: Laisse-moi sortir d'ici.

L'homme: Tu ressemble tellement à Abena et Nakia.

Je me tourne vers lui et me raidis quand il prononce les prénoms de mes parents.

Comment les connait-ils ?

Moi: Comment vous les connaissaient ?

L'homme: Permet moi d'abord de me présenter. Je suis Assane Souaré, j'ai connu tes parents quand nous étions jeune ton père et ta mère était de très bon ami à moi c'est grâce à moi qu'ils se sont connus, d'ailleurs comment vont ils ?

J'essaye de fuir son regard car je ne savais pas comment expliquer que ses amis d'enfance sont décédés.

Moi: Euh....ils....

Assane: Ils sont quoi ?

Moi: Ils sont morts assassinés.

Il me regarde choqué et attristé a la fois, a ce moment là je repense au jour de leur mort, quand je l'ai est vu au sol en sang, j'étais jeune mais ce moment là je m'en rappellerais toute ma vie.

Assane: Toutes mes condoléances, t'es parents étaient de bonne personnes.

Moi: Merci mais ils ne m'ont jamais parler de vous ?

Assane: C'est à cause de moi je leurs est dis que je voulais pas qu'ils prononce mon nom en public. Je sais pas si tu as remarqué mais tu est dans une maison de mafieux.

Quand il a prononcé le mots mafieux je me suis raidis la seul chose que je voulais c'était sortir d'ici.

Moi: D'accord c'était un plaisir mais je veux partir maintenant.

Assane: Je suis désolé Nahira mais ça ne sera pas possible.

Moi: Et pourquoi donc ?

Une vie a tes côtés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant