Une vie a tes côtés

III

Assane: Kali va t'accompagner jusqu'à ta chambre, chez moi c'est chez toi mes hommes sont partis chercher toutes tes affaires dans ton appartement. Je te laisse t'installer tranquillement et ce soir j'organise un grand dîner pour te présenter à mes enfants.

J'hoche la tête quand la porte s'ouvre sur une femme qui doit avoir une trentaine d'années, ses cheveux sont noir crépus attachés en chignon haut, ses yeux sont marron, elle a un teint métisse, elle est petit et ronde.

Kali: Bonjour je viens pour montrer les appartements de Madame.

Assane: Tu peux y aller on se voit ce soir, j'ai hâte de te présenter à tous mes proches.

J'hoche la tête et je suis Kali.

Nous montons les escaliers devant les autres personnes qui semblent avoir tous les yeux braqués sur moi, je n'y porte pas attention et continue mon chemin.

Kali: Voici ta chambre.

Quand je rentre dans la chambre je vois qu'elle est assez obscure, elle compose d'un grand lit double avec deux table de chevet sur les côtés du lit. Il y a un grand lustre qui éclaire à peu près la pièce, il y'a aussi une grande salle de bain et un balcon qui donne vu à la mer.

Kali: Les hommes de Mr. Souaré ont déposé vos affaires vous pouvez aller à vos occupations je vais m'en occupe.

Je la regarde outrée car elle est tellement bienveillante dans la façon dont elle parle mais je peux ranger mes affaires toute seule.

Moi: Je n'ai pas besoin d'aide ne t'inquiète pas.

Kali: Mais c'est mon rôle d'advenir à vos besoins et ça ne me dérange pas au contraire.

Moi: Je t'assure que je n'ai pas besoin d'aide et tu peux me tutoyer et m'appeler Nahira.

Elle me fait un grand sourire.

Kali: Je peux au moins t'aider ?

Je lui souris et hoche la tête.

Quelques heures plus tard

Point de vue Assane

19:20

J'ai réunis tous mes enfants dans le grand salon pour leur annoncer une nouvelle.

Moi: J'ai une grande annonce à vous faire.

Garçon 1: Qu'est-ce que ça va être encore ?

Moi: Tais toi Amari, j'ai accueilli une personne qui va vivre dès aujourd'hui parmis nous.

Garçon 2: Est ce que tu te fou de ma gueule, tu la connais au moins ?

Il me regarde énervé car il n'aime pas les gens, c'est l'enfant le plus insociable au monde.

Moi: Hakim cesse de m'insulter et oui je la connais.

Hakim: Et pourquoi est elle ici, on est pas des recruteurs de personnes tu sais très bien qu'on des choses plus importantes que d'accueillir un étrangère.