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viola

tu étais la pluie le vent la tristesse
en apparence
tu avais toujours des poches violettes et
un regard brisé
mais moi seul savais ce que tu étais vraiment
la rosée du matin sur l'herbe délicate
la douce brise printanière qui fait bruisser les feuilles
tu n'étais pas triste, tu regrettais le passé
les nuits blanches passées à te remémorer l'avant
te creusaient des cernes
et, sans cesse, dansaient devant tes yeux
les erreurs que tu avais fait

viola, ne t'inquiètes pas, j'irai mieux

𝒱iolaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant